Je suis musicien, auteur & manager. Avec ma demande de Justice exprimée dans « Press Conference » nous verrons que je suis bien victime dans la ville de Rennes d’un « emprisonnement administratif » sous curatelle abusive & menace de « HDT » Psy (hospitalisation à la demande d’un tiers) des plus illégales dans le but de maintenir un système de chantage des plus cruels afin de permettre la poursuite des vols ou pillages de mes Å“uvres, consulting & stratégies de succès pour des enjeux internationaux, des profits & des montants financiers colossaux sur un marché culturel international de plus de 3000 milliards d’euro chaque année soit environ de 78 000 milliards d’euro & dollars depuis plus de 26 années où je suis victime de ces vols, pillages & violations. Tout cela sous une corruption silencieuse des plus étranges des Tribunaux alors que « la Police » (ou plutôt « sales flics » en ce cas ») semble bien agir dans un sens contraire à toute idée du sens de Justice que demande leur Job. Il s’agit encore d’une forme de « terrorisme » psychologique que je dois endurer depuis plus de 12 années sous la privation & la spoliation de mes revenus sous contrôle illégale de mes comptes bancaires alors que je n’ai jamais été condamné ni commis de malfaisance en France comme dans n’importe quel pays du monde. Je dois encore souffrir d’un « Bug » criminel qui bloque les ventes internationales de mes ouvrages sur le Web depuis 2011 (déjà 40 références book & e-book avec 50 Å“uvres en attente d’être publiées) que je gère avec ma société « Golden Spring (Provisory)» (une SAS non immatriculée au RCS pour cause de curatelle abusive). Ce « Bug » révoltant me prive donc des importants revenus de mes droits d’auteurs alors que je suis maintenu en exil dans la ville de Rennes en Bretagne où j’ai été déraciné malgré moi depuis 2007 suite à la curatelle abusive dont j’ai été victime.

mardi 27 juin 2017

TESTAMENT JUIN 2017 A VOCATION PRIORITAIRE (Ma vengeance n’est que celle d’une Justice légitime) Part 02



                   (Suite de la page Blog précédente)

JUSTICE, PEOPLES & AVOCATS

            Ma vengeance n’est que celle d’une Justice légitime
                                                     (Notre vengeance est aussi la vôtre !)

                   A vocation testamentaire & priorité de mon héritage
    (les cibles, les noms, les adresses, les chocs, les coups, les clash, les crash & les blessures)

Recouvrements de créances mortels & règlements de comptes définitifs par tous moyen en légitime défense & sans aucune limite jusqu’à la mort & la destruction complète de toutes ces ordures & ignobles salauds comme de leurs sociétés ou leurs lieux de travail, leurs habitations, leurs biens, leur entourage, leurs Å“uvres en copier-coller, leur sale progéniture & cela quelles qu’en soient les races, les couleurs, les religions, les fonctions, les statuts, les fortunes ou les courants politiques jusqu’à leur anéantissement total.


                                   Sommaire


                                     Synthèse de la situation (Part I) Page 001

. Ces salauds s’amusent à massacrer un grand artiste qu’ils ne seront jamais - Qu’ils s’attendent au pire (le scandale est à la une) - J’avais joué la carte de la Justice, de la civilisation & de l’intelligence (alors que tout risque toujours d’exploser en catastrophe) - Arracher le cÅ“ur & la destinée d’un grand artiste (avec les « COPIER-COLLER » Bretons, crapules & socialistes puants à la marche à l’ombre) - Sur les 2 plateaux de la balance (sans oublier les petites grenades explosives !) - En rappel pourtant de toute évidence  (pour remettre les pendules à l’heure) … Page 001

. SOMMAIRE « Ma vengeance n’est que celle d’une Justice légitime » … Page 004

. Rappel de questions, synthèses & constats antérieurs - La grande question (notes brèves de réflexion à voix haute) - En conclusions du Potiron - Toujours des flots de chagrin (dans une solitude du bout du monde)  « Est-ce que c’est bien ma société internationale BG° GOLDEN SA & mon catalogue qui va prendre la suite ? Ou bien est-ce que tout cela se fera sans moi mais avec tous les vols dont je suis victime ? » … Page 007

. Press Conference Synthesis (Tout larguer - S'installer autre Pays - Refaire Fortune - Se Venger) 2016 To 2017 (French) … Page 008

. Extrait du Dossier de Presse 2017  (Journalistes, Médias, Avocats, Peoples & Diplomatie) Une déchirure de cÅ“ur qui pisse le sang à chacun de mes pas - Le propos (Présentation de synthèse)  … Page 011

                                              Blessures & crimes (Part II) Page 013

. Encore un document majeur de témoignage & de crimes « JUSTICE - JUGE TUTELLES & Cie - APPARTEMENT A RENNES (Bilan assassin des plus mortels) JUIN 2017 » Liste des malfaisances, crimes, sabotages & violations - Mise à jour de mes dossiers de gestion (& toujours ces violations de sales gueux à ne plus pouvoir respirer !) … Page 013

. Actions en légitime défense pour recouvrement de créances (& libération) - Sur tout l’horizon j’ai entendu « Tues-les ! » - Restitution des blessures en accord avec les lois (de la légitime défense) … Page 016

. Crash Car, corruption, blessures & meurtres de mes petites chéries (Sanctions Européennes, populaires & internationales) – Conséquences - Nous avons dit (ils ont dit) - Quand ce massacre de ma vie va-t-il cesser ?! … Page 017

. CRASH CAR Juin 1987 (Compléments d’enquête 2017  en Extraits)  … Page 019

. CRASH CAR Juin 1987 (Enquêtes 2003 To 2017 en extraits & Pub Crash Car)  … Page 022

. Certificat médical coups & blessures de Mai & Juin 2017 (éléments nouveaux pour la Juge des Tutelles) … Page 054

                                    Règlements de comptes (Part III)  Page 060

. Cycle de l’addition mortelle  - A la mode des petites grenades explosives (les zeux de pâques in the garden) - Papiers de levée de curatelle abusive & premiers paiements (Autrement c’est Clash !) - Tout est terminé à Rennes la sadica (je reprendrai ensuite lorsque j’aurai plus de place en toutes libertés) - Deuils, adieux & catastrophe (les USA hypocrites doivent payer le bug book !) - Objectifs Immédiats (échapper à ces cinglés, ces pilleurs & assassins pour sauver ma vie, mon Å“uvre & mon avenir) - Clash (héritage & prix d’un grand homme assassiné comme Emmanuel DIGNAT) … Page 060

. LISTE  - Arracher le cÅ“ur & la destinée d’un grand artiste (avec les « COPIER-COLLER » Bretons, crapules & socialistes puants à la marche à l’ombre) - Sur les 2 plateaux de la balance (sans oublier les petites grenades explosives !) - Ce n’est pas une injustice mais seulement les 2 plateaux de la balance quand il en est réellement pour moi d’une véritable injustice qui s’éternise depuis plus de 12 années de cruauté mortelle (ces ignobles salauds sont bien monstrueux !) - Actions en légitime défense pour recouvrement de créances (& libération) - Double remboursement « in vivo »  (& in less !) - RENNES & PARIS (sorry) (en légitime défense) - Les vraies questions (if they want to die they will die, die and paye !) … Page 063

. BOOK TERMINATO (Extraits)  - (Voici juste le début) - Journalistes (& peoples) - Immense déception toujours (& encore) – plus film Terminato  … Page 067

               Enjeux & motivations (L’Héritage de EMMANUEL DIGNAT) (Part IV) Page 105

. Testament 01 OCTOBRE 2015 … Page 105

. PLAINTE JANV 2017 Mairie de Rennes & Gouvernement François Hollande (Système d’escroquerie avec CARREFOUR MARKET & U EXPRESS) Extraits … Page 108

. Emmanuel DIGNAT - Inventaire biens & fortune (20 Septembre 2015) … Page 125

. Å’uvres, Consultings, Compétences & Sociétés de Mr Emmanuel DIGNAT (Aperçu) … Page 127
Emmanuel DIGNAT (CV, Compétences, Productions, Sociétés & Fondation) … Page 127
LISTING  de Fichiers - Voir les documents IN DOSSIER PRIMAIRE « Plainte BUG FRANCE EUROPE (USA) OK »  … Page 138

. EMMANUEL DIGNAT - HERITAGE EMMANUEL DIGNAT (Stand-bye -cruauté - meurtre & coutumes) Extrait - Criminal Enquieries  (Synthèse) - Eléments de témoignage (Extraits du « Journal des étoiles » & PLAINTE Système d’escroquerie) - Extrait « Journal des étoiles » du Dimanche 19 Mars 2017 (Suite)  - Départ de France (& Big vengeance) - Témoignage du jour (& des blessures)  Extraits du « Journal des étoiles » du Vendredi 07 Avril 2017 … Page 148

                                                           TESTIMONY (Part V) Page 159

. Témoignage - Toujours de l’arnaque d’une manière (ou d’une autre) & jamais rien à vivre ! (Notes) En terminer définitivement avec cet ignoble chantage sous menaces de mort ! … Page 159

Un éclair de tonnerre fracassant  (sous la colère des Cieux) - Sur les 2 plateaux de la balance  (120 000 morts à Rennes pour commencer!) - 3 à 4 fois le montant des préjudices (& mise en exécution de la Liste des blessures !) - Toujours emprisonné à Rennes dans un labyrinthe mortel  (à se faire dévorer ses dernières lueurs de survie) - Le jeu de Crève-cÅ“ur continue (dans un scandale d’injustice toujours à la une) Toujours des jeux de mort, de pousse au crime & de dead line (rien n’a changé & il n’en est que pire) - Ces salauds ne font bien toujours que piller puis détruire tout ce que je créé à tuer ma vie (c’est pourquoi toutes ses activités professionnelles sont suspendues en attendant son départ de France) - Priver un homme de son compte en Banque & le voler de ses revenus (c’est bien encore une forme de meurtre & de tuerie de son existence) - Victime de risques d’un ACV mortel ou hémiplégique à Rennes (suite à de l’eau du robinet empoisonnée à domicile) - La confirmation d’une Å“uvre artistique magnifique de grande valeur (en explication d’évidence des crimes, blessures, chantage & corruption dont est victime Emmanuel DIGNAT !)  - Je compte bien me défendre (& en finir définitivement avec cette ville de cinglés) - Je ne vais pas me laisser assassiner sans rien dire ni rien faire (tues-les tous & détruit tout) - Meurtre d’un grand artiste (Scandale, catastrophe & hécatombe) - C’est bien un Printemps assassiné avant même d’être né (& la mort qui plane sur 190 000 pelés à Rennes) - Si les valeurs de la Convention Européenne existaient vraiment à Rennes ou à Paris (il n’aurait pas été obligé de porter plainte) - Légitime défense (pour en finir définitivement avec ces ordures de Bretagne & Cie) - Une blessure pour une autre (un sale coup pour un autre ! - Sans aucune pitié ! (à Paris ou ailleurs) - Ces 190 000 vies des bidonvilles en Afrique ou 190 000 morts à Rennes (Levée de curatelle abusive & début des paiements en réparation des préjudices) - Ce n’est pas une injustice mais seulement les 2 plateaux de la balance quand il en est réellement pour moi d’une véritable injustice qui s’éternise depuis plus de 12 années de cruauté mortelle (ces ignobles salauds sont bien monstrueux !) - Une écriture comme d’un dernier souffle (pour essayer de ne pas mourir noyé) -  SUITE en épée de Damoclès (Vengeance !) - Tragique, mortel & catastrophique à 90% de probabilité (hécatombe, scandale,  massacre, liquidations, effondrement & ruines en série)

. TESTIMONY de conclusions … Page 165

Qu’est-ce que fait un homme de mes compétences dans un tel lieu & dans une telle situation !?  - Les négociations Présidentielles & Bretonnes sont terminées (c’est les papiers & les chèques demandés ou le carnage & la catastrophe) - C’est donc le choix de la guerre, de la roublardise & de la souffrance (& non les petits goûters de la petite école, ni la croisière MILKY WAY ni moins encore les 2.5 millions de Jobs en France) - Un gros clash de violence dès le réveil (pour une déchirure de cÅ“ur à n’en plus finir) - Derniers rappels avant fortes mortalités à Rennes & Paris (les papiers de curatelle & chèques !) - Le lapsus d’un MOI bouffé par CES autres (comme de LA caisse au lieu de MES revenus) - Demander de l’argent pour partir - Conclusions (tues-les tous & détruit tout !) - Création de « ED » (« extermination directe » votre épicier bien aimé) une nouvelle société légale spécialisée en règlements de comptes mortels (Quand plus aucune négociation civilisée n’est possible il convient de tous les abattre !)

. Les erreurs fatales (Toujours de l’arnaque d’une manière ou d’une autre)  … Page 167

            Conclusion : à l’aube d’un scandale mortel & d’une catastrophe Française, Bretonne & Internationale en légitime défense (Part VI)  Page 0177

. Réponse à la Cour Européenne (page  296) … Page 177

. JUSTICE - EMMANUEL DIGNAT - DES PIRES EVENEMENTS DE MA VIE (Testimony) MAI 2017 … Page 204

. Emmanuel DIGNAT - TESTAMENT OLOGRAPHE LEGAL 21 JUIN 2017 (WORD) … Page 216

. JUSTICE - CONTRAT INTERNATIONAL (Je paye aux résultats) 23 JUIN 2017 … Page 222

. LISTE DES BLESSURES II - Tendances actuelles de la nouvelle mode en légitime défense (Juin 2017) … Page 227

Documents complémentaires … Page 228

                                                    (Suite)


                                                           Quel est le « vecteur » ?

Une description, analyse, existe. Elle a été faite par l’Institut Pasteur qui a essayé de « mettre au point », de « fabriquer » un antidote « sur-mesure » au début 1988… la série de piqures tous les jours pendant 3 à 6 mois, 1 à 2 piqures par jour…

Le volet osseux a été irradié 3 ou 4 fois… Dans quel « Centre de Traitement » le volet a-t-il était traité, irradié ? Le Centre était-il toujours le même ou y en a t-il eu d’autres ? Qui s’en est occupé ? (7 Mars 2004) Désinfection, enlèvement du volet osseux, traitement antibiotique puissant, plusieurs mois, cicatrisation complète, traitement du volet par irradiation, il n’y a donc plus aucune forme de « vie » et de vie microbienne ou de bactéries sur l’os… ni « d’emprise » possible

                                (donc normalement pas de nouvelle ostéite possible)

Intervention chirurgicale en Neurochirurgie, théoriquement extrêmement aseptisé, pour la repose du volet osseux, à nouveau antibiotiques puissants, hospitalisation en neurochirurgie, soins intensifs, avec désinfection, pansement quotidien, « emballage » de la tête, style « homme invisible », puis remontée des soins intensifs pour chambre seule en neurochirurgie… Poursuite du traitement… Idem cicatrisation, puis ablation des fils à la cicatrisation complète, on attendait toujours deux ou trois jours de plus, par précaution (9 à 12 jours) A l’extérieur, traitement antibiotique puissant, évolution dans un cadre de très bonnes conditions d’hygiène et de vie…

                                     Comment infection possible ?

                             Et cela 4 ou 5 fois, et toujours exactement au même endroit ?

                                                                             (9 Mars 2004)

                                                       Conclusions


L’accident (Crash Car) dissimule bien et permet (à l’occasion semble-t-il et à défaut d’essayer de tuer quelqu’un lentement) le début des expérimentations sur un jeune être humain que « des salauds » ont désigné et utilisé comme cobaye de laboratoire, in vivo… ça commence par un coup violent sur la tête, très localisé… ensuite, plusieurs « tests » des plus cruels sont expérimentés simultanément… (10 Avril 2004)

Si j’ai réussi à m’en sortir de cet accident, d’où généralement on ne revient pas, c’est aussi parce que j’avais déjà été « rodé » à toute une palette, un peu complémentaire, d’accidents variés… mon « organisme » avait appris et développé une façon de réagir, des réflexes de survie profonds, plus facilement « stimulables » et rapidement réactifs… (20 Mars 2004)


                                                       Souffrance


Au bout de l’Enfer. Un étau d’acier me comprime le crâne, j’ai l’impression que l’os de ma tête va craquer, toute ma tête, mon crâne me brûle à l’intérieur, comme si j’avais en dedans un « casque d’acier brûlant », j’ai l’impression d’avoir le « cerveau » à vif, comme si on m’avait arraché toute la peau… je sentais que mon cuir chevelu était tranché dans toute son épaisseur… (28 Mars 2004)

L’hôpital « La Salpétrière » à Paris. Service « Babinski » après une repose du volet crânien (en 1988) On me remonte des soins intensifs, réanimation, en fin d’après midi… je souffre beaucoup, la nuit vers minuit, insupportable souffrance, j’appelle… il me faudra attendre au moins deux heures ou deux heures et demi avant que je puisse avoir une piqure de calmants… Je n’ai jamais oublié cette souffrance qui aurait pu être évitée (j’ai eu le temps de compter entre les secondes)

                                                       Comment est-ce possible ?

    A part si ça a été « voulu »… n’était-ce pas là les prémisses d’un « marquage » psychologique d’acceptation à servir de cobaye ? (19/12/2003)


       Les « ponctions lombaires » étaient-elles réellement justifiées ? Qui en a décidé ? Sur quels éléments ?


Ma lèvre se déchire, coupée jusqu’au menton, choc, hurlement atroce, douleur, ma bouche arrachée, à vif, pisse le sang… l’os de la mâchoire craque, juste à côté du nerf, fracture aigüe, un goût de sang atroce dans la bouche… immense désespoir… (23 Février 2004)


                                                      Synthèse

          Quand il se passe quelque chose de grave, que tout est bâclé, expéditif, c’est que ça cache quelque chose.

    Quand ensuite des moyens d’importance sont utilisés pour vous « maintenir » la tête sous l’eau, vous « casser » et vous ne savez même pas pourquoi, c’est que vraiment il y a un truc pas clair, injuste, et grave…

Pour ce qui est de « mon accident » de voiture je me suis toujours posé la question de savoir si je n’avais pas reçu un projectile dans le pare-brise… si on n’avait pas « lancé » ou « tiré » quelque chose… voir même si on ne m’avait pas « tiré » dessus en me prenant pour un autre… ou bien même si ce n’était pas un « coup monté »…

J’ai eu souvent le sentiment que j’ai cherché à « Ã©viter » un « truc » qui venait de la « droite »… Toujours cette idée d’une « moto », de la présence d’autres personnes autours du « lieu » comme en « encadrement » du lieu…

Toujours est-il que cet « accident », tout ce qui s’est passé avant, après, autours, n’est vraiment pas clair et laisse présager bien des choses... (20 Février 2004)

                  Et comment ont-ils pu dire que j’avais une « conduite dangereuse ?»

                             Cela veut donc dire qu’ils (les flics) m’ont vu conduire…

        S’ils m’ont vu conduire juste avant et qu’ils arrivent juste après, ça veut donc dire qu’ils ont vu l’accident se produire…

                 Or ce n’est pas ce qu’ils ont dit… Et pourquoi n’ont-ils pas dit la vérité ?

                                     Parce qu’ils étaient très impliqués…

                                                                                                    (21 Février 2004)

On sent bien qu’il n’est pas raconté ce qui a été « vu ». On sent bien, au rapport truffé de fautes, d’erreurs, que cela ne correspond pas à la réalité de l’accident. La « mentalisation » des circonstances montre qu’il y a « omission » donc fabrication.

      Le jeune homme est mourant, il perd tout son sang, on se dépêche de faire une prise de sang pour contrôler le taux d’alcoolémie… comme pour déjà essayer de se « couvrir »… (Préméditation)


                                          LE SUPPLICE

Avec cette infection sur mon os du crâne, proche de mon cerveau, je me sentais en « danger », je redoutais « d’attraper » une méningite… une « propagation » de l’infection… (je crois d’ailleurs que j’avais rencontré un ou une patiente à la Salpétrière qui avait souffert de ça, j’en avais parlé avec d’autres personnes aussi…) Et ce « martèlement » incessant, toujours au même endroit, exactement, c’était un véritable supplice, c’était épouvantable, j’étais obligé à chaque seconde de « prendre sur moi », de faire abstraction… mais ce qui est positif c’est que j’ai appris par la même occasion à avoir une grande maîtrise de moi-même…

                                     « le supplice de la goutte d’eau »

                                                       Hypothèse


La Police a-t-elle été « manipulée » ? Qui les a appelé pour que ma voiture soit recherchée ? A-t-on essayé de me faire passer pour quelqu’un de « dangereux » ? Y-a-t-il eu des « gens » autours, ou certains policiers qui ont « chauffé » la recherche de la « cible » pour que « l’intervention » soit effectuée avec « force » voir « catégorisme » ?

         Ou bien y-a-t-il eu une « confusion » avec un autre véhicule recherché qui aurait commis des « choses graves ? »

Cette confusion, si c’est le cas, est-elle dûe au « simple hasard » (à une simple erreur) ou bien a-t-elle été « provoquée » par une « embrouille volontaire » ?
                                                                                                                 (05/05/2004)


                                       Séquelles & conséquences


                Défiguré, jambe abîmée à vie… risque de problèmes aux vertèbres…

                                               Ma famille, rude épreuve…

J’ai toujours dit, je ne m’en suis jamais caché, que dès que j’en aurais les moyens, financiers, je m’occuperais d’éclaircir cette affaire, je le croyais et je l’ai dit aussi à chaque fois que je venais de terminer un beau projet, que je le présentais, et que j’espérais un financement et une rémunération conséquente. Le travail d’écriture, de réflexion, de conception, de direction artistique, rapporte beaucoup d’argent…

      Est-ce aussi pour cela que certains ont « cassé » systématiquement chacun de mes projets ? Alors qu’ils auraient du me rapporter beaucoup d’argent ?

Dans un même temps toujours des expérimentations de résilience ? Ce qui n’empêche pas non plus un « pillage » ou une revente du projet en d’autres lieux…

     Cela montre que ces gens-là sont très informés et disposent de moyens d’importance…

A chaque opération au fond de moi j’ai assez peur, je redoute d’attraper une infection, une maladie du sang, je suis parfois un peu effrayé… je ne veux pas y aller, j’ai déjà trop souffert, 160 centimètres de cicatrices recousues sur tout le corps, je ne veux pas me faire recoudre, on m’a déjà ouvert la peau du crâne 5 fois, au même endroit…

L’endroit semblait étrangement calme, d’un faux calme annonciateur qu’un « coup » est en train de se jouer, le genre d’ambiance inquiétante, l’air de rien, où l’on se sent la proie, on a le sentiment autour de soi que d’autres attendent, guettent, savent ce qu’il « doit » se passer, ce qui est déjà calculé par avance, ou ce qu’ils ont « prévu » de faire faire par personnes interposées, par la manipulation…

         A l’époque je n’étais pas en mesure de faire le décryptage que je peux faire actuellement


                                                                            Cauchemar

La scie électrique… une lame circulaire, dentelée de pointes coupantes, qui tourne à toute vitesse, se rapproche de moi, veut me « porter » des coups…

Nouvelle infection, nouvelle opération chirurgicale. Je suis en état de choc, ma vie bascule, je n’ai même plus la force de hurler de chagrin, je sens la peau de mon crâne fendu, le sang, je sais qu’il faudra…


                          Un « coup de volant », « brutal » (Réflexe ?)
                                … sur la gauche… »


                                            Pourquoi « sur la gauche » ?

. parce qu’il n’était pas possible « d’aller à droite »

. parce que « quelque chose » venait de la droite et me « coupait la route »… (ou en face et en ce cas qui se permet de rouler « en face » sur une route ?)

. parce que un « projectile » m’a atteint et j’ai « basculé » sur la gauche…

                                            Pourquoi « brutal » ?

.  parce que quelque chose a surgit rapidement

.  effet de « surprise »

.  « choc », impact soudain ultra-rapide de « quelque chose »…


    Pourquoi n’y a t-il pas eu apparemment de « freinage » « brutal » de ma voiture qui aurait éventuellement laissé des traces de gomme sur la route ?

     J’étais habitué au « triple freinage » - frein à pieds -  frein à main – rétrogradation en  « séquence » ultra-rapide

                      la « déviation » de mon véhicule était « prioritaire »


    le freinage « brutal » était-il rendu impossible » par la présence ou l’arrivée rapide du « véhicule » qui me suivait ? Voir me collait ?

Il n’y avait paraît-il pas de traces de freinage sur la route… mais il est possible, éventuellement, « d’effacer » des traces de gomme sur la route…

      (le coup du « bout de ferraille » sur la chaussée qui  « déchiquette » un pneu… comme le Concorde… comme par hasard… c’est un peu gros)


    Les fractures de la jambe gauche (qui a encaissée le choc) et du bassin montrent et prouvent que j’étais en « posture », en attitude de « bon conducteur », avec les 3 points d’appuis… cela prouve aussi mon « Ã©tat » d’éveil et de vigilance, un état de réactivité potentielle…

J’ai toujours pensé, j’ai toujours eu l’intime conviction que l’accident de voiture dont j’ai été victime n’était pas dû de mon seul fait…

A part la « conséquence » d’une ou plusieurs « actions extérieures » je ne vois vraiment pas d’autre « explication » possible… Je ne me mets pas « hors de cause », peut-être n’ai-je pas su réagir d’une manière mieux adaptée, si toutefois cela eut été possible…


                                                         « Ã©couter » le lieu de l’accident

Plusieurs fois je suis retourné « méditer »… de jour mais aussi de nuit, aux alentours de minuit… et je suis resté pour « Ã©couter » le lieu… en essayant d’adopter plusieurs « regards » possibles… Sur le « pylône » il y avait seulement une légère trace de choc, à peine enfoncé, j’ai d’ailleurs été surpris de cette simple « Ã©gratignure »… C’est un endroit « dur », il y a beaucoup de fer, de métal, d’acier… La première fois que j’étais repassé « devant » en voiture mon père m’avait dit « C’est là… »… « Où ça ? »… J’ai été un peu étonné…


                          Il semble y avoir une « INCOMPATIBILITÉ de BLESSURES »


Suite à un traumatisme crânien, qui se signifie pas particulièrement qu’il y ait un hématome extradural, pourquoi et quand a t-on décidé de placer un « cathéter » ? Suivant quel diagnostic ? A quel « endroit » place-t-on habituellement cet « appareil de mesure » ? Pourquoi le choix de cet emplacement sur ma tête, mon crâne ? (en plein front)


                                               fracture de la mâchoire

Mes parents sont venus me voir 2 ou 3 jours plus tard. Je les ai reconnu (selon eux) j’avais beaucoup de mal à parler puisqu’on venait de me recoudre la bouche, j’avais des fils… Je « rouspétais » car j’avais très mal à la mâchoire… je souffrais énormément en raison de la proximité du nerf… Effectivement j’avais une fracture de la mâchoire qui n’avait pas été diagnostiquée…

                       Comment cette fracture a-t-elle pu échapper au diagnostic ?

                             Cette fracture a-t-elle eu lieu après le diagnostic ?

                                              Comment ? A quoi est-elle dûe ?

              Peut-on « dater » avec précision une fracture ? un Choc, un impact sur le corps ?

C’est un dentiste qui a pris une radio et a apporté la preuve de cette fracture… Pourquoi des fils ont-ils été oubliés dans ma lèvre… ce qui a entrainé une véritable opération chirurgicale très douloureuse… il y avait même un bout de verre qui était resté dans la lèvre…

   Pourquoi est-ce que n’ai aucune « blessures » ou égratignures aux avant-bras ou aux mains ?


Je suis quelqu’un qui a d’excellents réflexes, notamment de « protection » du corps, du visage, cela aussi car j’ai pratiqué le karaté intensément pendant plusieurs années… Je n’ai pas eu non plus de blessures au dos, à la nuque, à la colonne vertébrale

                                Le « coup » sur la bouche c’était pour m’empêcher de parler ?

                                        Si toutefois je retrouvais rapidement la mémoire ?


Il semble certain que beaucoup de « choses » ont été faites ou oubliées pour causer un maximum de douleur…


                                                               ACTUELLEMENT
                                       (Janvier à Avril 2004 à Paris)


Bien entendu des « attitudes » très inquiétantes dans la rue, de la part de certains que je ne connais pas. Je me sens toujours « pisté », « Ã©pié », « ciblé », « proie »… j’ai parfois l’impression qu’on me demande « Dis-nous tout ce que tu sais sur cet accident … »

Certains ont même placé dans ma rue, presque en face de l’immeuble où j’habite, une voiture rouge-bordeaux de couleur similaire à celle que je conduisais, avec un gros choc de tôle sur la portière droite, côté passager (Peugeot 309 – 296 MEW 75)

       Et pourquoi me demande-t-on maintenant, de dire tout ce que je sais, alors que j’ai bien d’autres choses à faire et que le moment n’est pas spécialement propice pour moi ?


Parce qu’il est facile dans ce studio piégé, étudié et prévu pour « l’observation », la « surveillance », l’espionnage, facile de surveiller mon travail, de copier, de voler et de savoir où j’en suis dans mes « recherches »… et de pouvoir ensuite et bien sûr « anticiper », « fabriquer », « effacer », « faire disparaître »… « sur-mesure »…

Ceci est donc bien la preuve que des « gens influents », des réseaux qui ont des moyens d’importance sont bien impliqués dans cette « affaire »… et qu’ils n’ont vraiment pas la conscience tranquille….

Dans tous les cas « ils » sont coincés, ils savent que leur coup a raté, qu’ils sont démasqués, il n’y en a plus pour longtemps… je redoute qu’ils me tapent dessus…

                  JE VEUX PARTIR D’ICI… « ILS » ME  TUENT… C’EST UN MEURTRE…


                                        Synthèse


Je suis en parfaite condition physique (natation, conditions de vie…), j’ai bu quelques pastis mais je ne suis pas « sou » ni ivre, je suis quelqu’un d’exceptionnellement résistant, comme je l’ai prouvé, j’ai bu aussi des cafés, j’ai grignoté, je suis très conscient de mon « Ã©tat » et je m’adapte en conséquence, avec prudence. J’ai une très bonne expérience de la conduite, dans différentes situations, je suis un bon conducteur, très attentif, j’ai des capacités physiques, sensibles, et intellectuelles largement au-dessus de la moyenne…

                                               Et il y a le Crash…

J’avais ma ceinture de sécurité, je la mettais toujours, systématiquement, même pour les petits trajets, et j’obligeais aussi le passager à la porter.

C’est la jambe et le bassin qui encaisse le choc, et puis aussi les bras, les mains, les épaules… je suis en excellente condition physique et j’ai beaucoup de force, j’ai donc réussi à tenir le volant de mes deux mains et c’est probablement pour cela que je n’ai pas été blessé aux avant-bras, cela prouve encore que j’étais en parfaite situation de conduite… la ceinture de sécurité aussi permet d’encaisser le choc, ce qui provoque quand même, vu la violence du choc, une contusion pulmonaire… et peut-être aussi un éclatement de la rate… je dis bien peut-être…

J’avais bien ma ceinture de sécurité, autrement j’aurais été « tué » directement (regardez les dégâts d’une petite voiture lancée à 40 km/h contre un obstacle fixe… voir crash tests…).

          Cela montre et prouve aussi que je n’aurais pas dû être atteint à la tête et au visage comme je l’ai été…


Or la police qui est arrivée tout de suite après a dit que je n’avais pas ma ceinture, ils ont dis aussi que je l’avais peut être détachée moi-même pour essayer de me libérer… en raison notamment du « début d’incendie »…

                                             Pourquoi ont-ils fait cette supposition ?

Nous rappelons que l’extincteur des policiers était déjà vide, inutilisable… et qu’ils ont menti en disant s’en être servi pour que le rechargement soit payé par l’assurance…

         Parce qu’ils savaient très bien que j’avais ma ceinture de sécurité, et que quelqu’un l’a détachée… et s’ils sont arrivés 2 mn après le choc, comme ils l’ont écrit dans leur déclaration, l’incendie n’avait pas eu le temps de démarrer…

                         Pourquoi a-t-on détaché ma ceinture de sécurité ?…

Pour pouvoir me donner un uppercut à la mâchoire afin de me faire perdre connaissance, me mettre KO, puis me taper la tête contre le volant de la voiture ou bien me déchirer la bouche avec un objet métallique tranchant…

Il est possible aussi qu’on m’ait cassé un morceau de pare-brise sur le visage… ce qui expliquerait le bout de verre sous la paupière, ceci aussi pour que ça pisse le sang et « faire croire que »…

Le bout de verre retrouvé dans ma lèvre n’est pas du verre de pare-brise… c’était un bout de verre plus « fin »… et « cassable », de faible épaisseur, transparent légèrement grisâtre, plutôt tranchant… contrairement au bout de verre retrouvé sous ma paupière et qui ressemblait bien à un bout de verre « caractéristique » d’un éclat de pare-brise…

     L’éclat de verre ne provient pas d’une « projection », il était trop « enfoncé » sous la paupière…

         Lèvre déchiquetée par quelque chose qui « arrache » et coupe aussi… un tesson de bouteille ?

            Le choc à la tête a-t-il été donné pour essayer de m’achever, de me tuer ?


Ou au moins essayer de provoquer des « dommages » sur mon « cerveau », ma mémoire, voir de me plonger dans le « coma » avec tous les risques de dégâts que l’on sait ?

                       Ou bien ai-je reçu un « projectile » qui m’aurait atteint sur le front ?

                                      Qu’est-ce qui a causé ce choc à la tête ?

                            Mon visage, ni ma tête n’a pas heurté le pare-brise, ni le toit…

               Le « cathéter » a-t-il été placé là, précisément, pour « masquer » la trace, la cicatrice d’un « impact » sur mon front ?

Ce choc ne semble pas être dû suite a un contact avec du « fer », ni du métal, ni du verre… ni du bois… mais avec un « matériau » plus « souple »… plastique souple, « caoutchouc »… un choc très violent mais qui ne « déchire » pas la peau…

Il est impossible que ce choc ait eu lieu ni simultanément ni dans une chronologie « mécanique » de la « trajectoire » du corps suite au choc et aux « mouvements » de force physique que cela entraîne, avec les autres blessures, bouche, Å“il, mâchoire… et puis surtout la jambe gauche…

                                il y a bien incompatibilité de blessures…


Si ma tête, mon visage avait heurté le pare-brise, j’aurais certainement eu d’autres éclats de verre sur le visage… (voir hôpitaux, blessés au visage par pare-brise…) et non pas un seul bout de verre qui est là comme pour « faire croire que… »

Un endroit sans « témoins » potentiels, sans vie, isolé, qui ne sert que pour des gros flux de circulation…

       Cette nuit là, aux alentours du lieu de l’accident, des gens en voiture ont-ils été détournés de leur itinéraire, c’est à dire « qu’on » leur a « fermé » des routes ?


                                    MA TÊTE N’A PAS PU HEURTER LA VOITURE


       Si je n’ai pas eu de blessure au dos c’est que j’ai fait « corps » avec mon siège… par conséquent ma tête, mon visage, n’a pas pu « heurter » ni le volant, ni le pare-brise, ni le toit…

                                      J’ai fait « bloc » avec la voiture…

Autre preuve que ma tête n’a pas pu heurter quelque chose c’est la jambe, qui était bien « ancrée » en force avec mon corps, le sol (la route), toute la charpente solide de la voiture dans laquelle j’ai « puisé » une certaine « Ã©nergie », en « onde », lien, « ressenti » avec le centre de gravité de la voiture… probablement un « petit coup de volant » de « dernière seconde » sur la droite je pense… qui a évité un choc « frontal », a permis aussi de faire dévier la « masse » du moteur sur le côté… j’étais en « ultra-réceptivité »… Cela montre une position du corps « basse », « ancrée » au sol… « prêt à encaisser » le choc, en « repli » contre le siège, en appui 3 points (2 mains volant, jambe gauche)…

J’ai eu peur qu’on me blesse les mains, qu’on me coupe les doigts… C’est aussi une peur qui m’est arrivé d’avoir ces derniers temps suite à des menaces et intimidations…

   Le chirurgien m’a dit… il y avait un « léger » hématome extradural, on a hésité à opérer, mais on l’a fait quand même pour ne pas prendre le moindre risque ( ! ) … et puis comme vous êtes jeune… on connaît la suite…

                         Pouvez-vous prouver la réalité de cet hématome ?


Les cicatrices que j’ai à l’Å“il gauche ressemblent à des « coups de couteaux »… est-ce qu’on a voulu me crever un Å“il ? Et que ces plaies ont ensuite été déguisées en me cassant sur le visage du verre de pare-brise ?

D’où m’est « venu » toute cette « force », physique, nerveuse, pour que mon corps soit aussi « mobilisé » et que je puisse « faire face » à un tel choc ?


        Indépendamment de « comment c’est arrivé » j’ai toujours eu le sentiment qu’il s’agissait d’autre chose que d’un « simple accident »… que j’avais été victime de cruautés, d’autres violences…

         Qu’est-ce qui relève du Programme ESCH ? Qu’est-ce qui relève des « opportunités » d’expérimentations ?


      Est-ce une tentative de meurtre « déguisée » en accident de voiture ? Qui me visait ? Qui visait ma famille ? Qui voulait « empêcher » des projets que d’autres avaient sur moi ?

 Y a-t-il eu volonté de « tuer » ? Ou bien de « massacrer », me défigurer, essayer de « m’handicaper », de m’infliger une grande souffrance ?

Ce soir là je m’étais très bien habillé, j’avais mis mes plus beaux habits, je ne sais pas pourquoi, j’étais comme un Prince, c’était un Dimanche, jour de la fête de la musique, premier jour de l’été…



                                               CHRONOLOGIE DES BLESSURES


Les « chocs » reçus, le « traumatisme » ne correspond pas à un « accident de voiture »… Cet accident est bien « fabriqué », car il y a trop une « recherche » de « il faut que ce soit « Ã§a » absolument », mais c’est sans les « détails »… et c’est trop « réfléchi »… « assemblé »… recherche d’un « schéma » qui se veut d’être « trop évident »… trop « propre », trop « facile », pour une « lecture » « facile » aussi…

On dirait que ça a été « tracé » sur un « papier » par avance, un « croquis » des lieux a été dessiné… pour établir le « plan »… le plan du crime…( 07/05/2004)

Une « embuscade » sournoise, beaucoup de lâcheté, une violence effroyable, une attaque de lâches, de médiocres, à plusieurs contre un… de la traitrise, par des lavettes armées, des brutes, violentes, des assassins… mensonge, tromperie, dissimulation… ils sont moches, laids, idiots, criminels…

J’ai cru revoir un assassin qui conduisait une voiture de police avec deux autres personnes quand j’attendais le bus vers 22h05 rue Custine, un tortionnaire que j’avais le sentiment d’avoir déjà « vu »… qui en tous cas semblait me connaître… il a « dissimulé » son visage… Faisait-il parti de ceux qui sont impliqués dans l’affaire de l’accident de voiture ? (07/05/2004)

Il y a des témoins… certains savent ce qui c’est passé… ils ont « entendu », ils ont « vu »… ils en ont parlé à d’autres… qui en ont parlé à d’autres… Voilà pourquoi beaucoup de « choses » commencent à se savoir… même s’il a fallu du « temps »… (08/05/2004)

Le but de cette série incessante de souffrances, n’est-ce pas aussi pour m’empêcher d’y voir clair, de m’empêcher de me souvenir de souffrances « initiales », de vouloir m’empêcher de me rappeler des souffrances antérieures qu’on m’a infligées… et puis vouloir me forcer à « accepter » un « triste sort », d’avoir été « utilisé » pour des « expérimentations » et essayer de « casser » mes « ressorts de réactivité »… Je suis bien victime de tortionnaires, d’assassins…

Le fait « qu’ils » te maintiennent dans une situation difficile, en « accusé », et en usant pour cela des moyens les plus violents, effroyables, c’est aussi pour t’obliger à rédiger une « défense » juridique par « avance », sous « surveillance », cela prouve qu’ils n’ont pas la conscience tranquille… et que mon domicile, mes travaux sont bien aussi sous « surveillance »…

                             Ils ne font qu’essayer, une fois de plus, d’inverser les rôles…


Le fait qu’ils utilisent autant de moyens, aussi violents, effroyables, prouve aussi qu’ils ont beaucoup de choses à se reprocher, qu’ils sont donc très impliqués, et pour des choses extrêmement graves… Leur culpabilité est à la hauteur des violences qu’ils ont exercées contre moi ainsi que des effets de tromperies, « d’embrouilles »… Ils sont donc coupables. N’inversons pas les rôles. Je ne vais pas redouter d’être « accusé » suite à des supercheries de flics et de truands… de toute façon il y a des témoins… et depuis longtemps(08/05/2004)


      Tu fais de belles choses, tu ne fais de mal à personne, et puis soudain, la violence débarque dans ta vie… tu ne sais même pas pourquoi… cela m’est arrivé plusieurs fois dans ma vie…

Je ne sais pas s’il y en a beaucoup parmi vous qui savent vraiment ce que c’est que d’avoir envie de mourir. Je parle de mourir en « toute lucidité », parce qu’il y a trop de souffrance dans votre vie, trop de désespoir, trop de chagrin dans votre cÅ“ur, une absence presque totale « d’intelligence », de « compréhension », d’amour vécu autours de vous, et que vous n’espérez plus rien ni de personne ni de la vie… trop de déceptions, d’injustices, de bêtise, de cruautés…

      « L’envie de mourir », qui est injuste pour un homme de bien, peut aussi se « transformer » en « envie de tuer »… Sans doute est-ce ce que veulent ces criminels, ces assassins qui me harcèlent… (Voir aussi Rennes 2014 & 2015)

J’ai eu envie de mourir après une opération chirurgicale… et plus tard aussi… la violence, les chocs que j’avais reçu, les traumatismes, le traitement inhumain dont j’ai été l’objet… plusieurs fois ils m’ont placés dans des conditions de souffrance effroyables... je ne sais pas comment j’ai fait pour survivre… (21 Mars 2004)

                                                    La voiture sur un « rail »
                                               Des « patients » pas par hasard…


                               Réanimation & Soins Intensifs


La nuit je suis « attaché » dans mon lit. Je réussi à m’échapper… je vais m’asseoir dans un fauteuil… Mes poignets sont attachés, mon thorax aussi et peut-être le cou aussi, ce sont des « scratchs » que je réussi à défaire avec mes dents, ou bien en bougeant les poignets, il faut ensuite que j’enjambe les barrières qui entourent le lit, et là que je me laisse glisser le long du lit, en faisant très attention et en me retenant d’une main. Il est possible que je réussissais aussi à replier une des barrières sur l’un des côtés…

Pourquoi est-ce qu’on m’attache ainsi ? Mais que dans un même temps on laisse replié ma jambe blessée, qui aurait dû avoir une « gouttière »… ce qui a provoqué un « flessum »… ? Et ce qui m’a obligé ensuite à aller au centre de rééducation du Vésinet ?


                                     Pourquoi ce désir de « s’échapper » ?


Alors qu’au contraire j’aurais dû me sentir « protégé », rassuré ? Que s’est-il passé pendant les premiers jours des soins intensifs ? Plusieurs fois j’ai été « trimbalé » en pleine nuit pour passer des « examens ». De quels examens s’agissait-il ?

                                        Parfois même on m’a réveillé en pleine nuit…


                                                      Synthèse des Synthèses


L’exploitation maximale d’un cobaye humain… car c’est « ultra-risqué » à mettre en place, à exploiter, il faut que ce soit « ultra-rentable », tout ça coûte très cher, les risques sont énormes, il faut aussi payer des gens très cher, en cash, il faut donc que ça rapporte beaucoup, d’une manière ou d’une autre, les expérimentations doivent « tendre » à être dans « l’innovation », en « pointe » d’une « demande », de réponse à un « besoin » et qui, déployés sur une large échelle doivent « rapporter » des sommes colossales, ou permettre d’occuper une « place » de choix dans tel ou tel domaine, par la connaissance d’une « certaine » information « ultra-rare », parce que très « difficile » à « obtenir » , pour les raisons que l’on sait, d’où des « expérimentations » « ultra-rares » car « ultra-risquées » qui semblent « ultra-« stratégiques » »… et quand ils « tiennent » un cobaye, qu’une chose à marché, et que ça marche encore, ils poursuivent le « cycle d’exploitation  maximale » et prévoient même les phases finales d’assassinats « l’air de rien »…

                                                                                                                  (20/05/2004)


                                                              Synthèse

                                                     10 Juillet 2015 à Rennes

On va bien dans cette enquête une volonté de tout clarifier avec une approche objective.

On voit bien aussi l’incohérence des points de vue de la police (ou des flics) ainsi qu’un manque de perspicacité évident de la Justice...

Certaines hypothèses ont été posées malgré tout avec nuances comme il en est aussi de « méthodologie » avec les réajustements que permettent le recul du temps ou les événements nouveaux survenus par la suite particulièrement à Rennes de 2012 à 2015

                                                     Les motivations

  Avec le recul de toutes ces années et tout ce qui est arrivé encore systématiquement à chacun de mes succès pour briser mes élans de vie, cela confirme bien l’existence de personnes et de volontés criminelles qui portent atteintes à ma vie, ma fortune, mes succès, mes libertés...

   La seule motivation à cette tentative de meurtre en 1987 ne peut être que la volonté de briser ma vie, mes succès, mes bonheurs...

                                                   Internement Psy abusif

L’internement abusif de Juin 2004 prouve bien l’espionnage dont j’étais victime à l’époque à Paris dans le 18 ème arrondissement, cela prouve aussi la criminalité des agissants, leur culpabilité alors que de ma part il n’en était dans l’ensemble que « d’hypothèses » même pour certaines très probables, eux savaient bien au fond d’eux mêmes qu’ils étaient réellement bien coupables...

                                                   Les systèmes de pillages

A la suite du « Crash Car » de 1987 les systèmes de pillages qui sont mis en place en 1992, 2000 ou 2002 jusqu’à 2006 à Paris puis ensuite à Rennes en 2010, 2011 jusqu’en 2015 sont preuve que ma vie était « suivie » régulièrement comme un « cas à surveiller » ce qui a permis aussi de découvrir que je rebondissais à chaque fois avec un grand talent une incroyable motivation de vie, de succès avec toutes les fortunes ou autres profits qui les accompagne...

                                       AVOCATS

                                                                                             QUESTIONS


                              Qui a monté un « dossier » sur ma vie privée, mon parcours ?

                Qui a demandé la « mise sous surveillance » de mon domicile, mon travail, mes déplacements ? Pourquoi ? Depuis quand ?

              Pourquoi toutes ces agressions et malfaisances dont j’ai été victime ont-elles été classées « sans suite » ?

                           Qui sont les responsables de mon « enlèvement psy» ? Pourquoi ?

              Pourquoi les 2 agresseurs de Grenoble n’ont-ils toujours pas été retrouvés ?

        Pourquoi les « pressions » et tentatives d’étouffement de « l’accident de voiture » ?

Comment se fait-il que des « inconnus » soient informés de ce que j’écrits et de ce qu’il se passe dans mon domicile et atelier de travail ?


                                   Beaucoup de questions encore…

                                                               CONCLUSIONS

Il s’agit bien d’un « plan de cassage » et d’exploitation, de pillage d’un Auteur… (raisons « idéologiques », politiques, « moralisatrices », concurrentielles)

            Victime de chocs, de traumatismes que d’autres se sont amusés à rappeler…


                                Il y a aussi d’autres « choses »…

                             SYNTHÈSE



       Seuls des flics ou des « services spéciaux » ont la « possibilité » de mettre en place un tel « système » sans respecter les lois, une « garantie d’impunité », en restant « secret », en disposant d’autant de moyens… (je n’accuse pas la police dans son ensemble).

    Ils utilisent aussi des « réseaux », des individus « ambivalents » du « milieu »… (actions par personnes interposées)…

                               Ils sont en liaison avec des « partisans politiques »…

        Si la police ne m’a toujours pas donné d’explication malgré la gravité de ce dont j’ai été victime, c’est déjà la preuve de leur culpabilité… c’est sans doute pourquoi ils dépensent autant de moyens pour essayer de me « culpabiliser » (tentative d’inversion des rôles)…

          Des ressources, des disponibilités financières parallèles de grande importance…


                                               SYNTHÈSE (03/03/2005)

J’ai beaucoup travaillé, presque jour et nuit, pendant des années et des années, je n’ai pas été récompensé de mes efforts, pendant que d’autres ont profité de mes travaux, sans mon consentement, et sans me reverser ce qui m’est dû...

                                            Je suis découragé...


Avec mon « enlèvement psy», la séquestration dont j’ai été victime et toutes les cruautés que j’ai dû endurer, j’avais atteint un niveau de musique très élevé, particulièrement dans l’improvisation à la guitare basse, cela malgré un « environnement » très hostile, agressif, détracteur et pire encore de la part de « certains », mais aussi grâce au soutien de nombreux amis et amies... Cette séquestration prolongée, accompagnée de tortures psychologiques, morales, affectives, avait aussi pour but de « briser » tout mon travail accompli, mon niveau élevé en musique, dans un même temps il y avait sabotage de mon matériel musical informatique. Ce niveau élevé m’aurait permis de séduire artistes, producteurs, publics, et donc d’obtenir la signature d’un contrat, de bien gagner ma vie.

C’est ce projet, encore une fois, comme tant d’autres, « qu’ils » ont essayés de briser. Ils m’ont fait perdre un temps précieux, m’ont fait endurer de graves souffrances, m’ont infligé de profondes blessures, et une fois de plus m’ont fait retomber dans la « galère », la souffrance, m’ont empêché de m’en sortir… Cette cruauté « expérimentale » est inadmissible… ils ont ensuite encore une fois profité de mes réflexions « after choc »… comme à chaque fois… Je demande Justice…

                                                      

                                                                     


           Agression préméditée du 30 Mai 2004 à Paris XVIIIe (blessures à la lame de rasoir – affaire classée sous corruption)

Emmanuel DIGNAT                                                                         Procureur de la République
12 rue Lécuyer                                                                                  4 Bd du Palais
75018 Paris                                                                                        75001 Paris France
Tel. 06 15 97 35 73
Emmanuel.dignat@wanadoo.fr
                                                                                                               Paris le 20 Mars 2005

Mesdames, Messieurs,


Je suis très étonné de n’avoir reçu aucune réponse concernant les courriers que je vous ai adressés pour des affaires extrêmement graves qui m’ont causé de grands préjudices.

Tout d’abord une plainte contre X que j’ai déposée le 11 janvier 2004 avec une demande d’ouverture d’une enquête judiciaire et une demande d’explication sur la mise sous surveillance par la Police dont j’ai fait l’objet.

Dans une lettre du 16 janvier 2004 un dépôt de plainte, pour harcèlement et violences dont j’ai été victime.

Une plainte pour vol et viol de domicile dans un courrier du 5 Mars 2004.

Une plainte contre X que j’ai déposé le 10 Mars 2004 concernant l’accident de voiture dont j’ai été victime le 22 juin 1987 à Le Pecq dans les Yvelines (78) pour lequel il est très possible qu’il y ait des liens avec l’affaire d’agression dont j’ai été victime le 30 mai 1980 à Corenc (Isère 38) pour lesquelles j’ai demandé une réouverture des dossiers (Cour d’Appel de Grenoble, Chambre Correctionnelle le 3 novembre 1984 et TGI de Grenoble Dossier 11/86 décision du 15 janvier 1987). Ces événements obligent aussi à rouvrir le dossier du Jugement concernant le licenciement abusif et escroquerie dont j’ai été victime (Cour d’Appel de Paris, Arrêt du 29 octobre 1993 / 18’ Chambre, section E / RG 8315-91 / réf. 93-31350).

Un courrier du 25 mars 2004 pour demander d’effectuer un complément d’enquête concernant le cambriolage dont j’ai été victime le 24 décembre 1989 à mon domicile pour lequel j’avais porté plainte.

Autre plainte le 9 avril 2004 avec menaces de mort, insultes.

Dans un courrier du 27 mai 2004 j’ai demandé des compléments d’enquêtes concernant les plaintes du 16/01/2004 et du 09/04/2004.

J’ai aussi demandé une enquête concernant les vols de courriers importants dont je suis victime depuis plus d’une année (renouvellement assurance habitation, factures et correspondances EDF, RATP, CPAM…)

En résumé, ces dernières années j’ai été victime de nombreuses agressions et malfaisances, j’ai porté plainte 5 fois aux Commissariats de la rue de Clignancourt, de la Goutte d’Or, et du Général Eisenhower, j’ai aussi déposé plusieurs plaintes par envoie de courriers. J’ai notamment été victime de 2 agressions rue Ordener, une agression rue Myrha, deux agressions rue Lécuyer, où j’ai été défiguré, une agression rue Ramey… Toutes ces agressions ont été classées « sans suite ». Pourriez-vous m’expliquer pourquoi ?

Compte tenu des circonstances il serait approprié de me faire parvenir votre réponse en lettre RAR avec copie par Internet. Je vous remercie de mener les recherches qu’il convient.

                                                                  Avec mes salutations distinguées,

                                                                        Emmanuel DIGNAT
                                                                   Carte ID No 000875T00942


Le but était évidemment de casser le projet de Comédie Musicale d’Orphée, de casser la vie et la réputation d’un Auteur, de casser la carrière d’un musicien.  / Avec une tentative de détruire les capacités intellectuelles, la mémoire, le cerveau, la confiance en soi… / Et puis bien sûr d’empêcher toute demande de Justice pour d’autres crimes et délits antérieurs…

                                            CONCLUSIONS

            Il s’agit bien d’un « plan de cassage » et d’exploitation, de pillage d’un Auteur… (raison « idéologiques », politiques, « moralisatrices », concurrentielles, ou autres…)


                                                   (Suite page Blog suivante)




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire