Sommaire
. EXPERTISE INTERNATIONALE 2016 (Oeuvres & Compétences Emmanuel DIGNAT)
. EXPERTISE PRODUCTION (Around) Best Bass Player & Orphée (avec la jolie Sandy)
. EXPERTISE COMEDIE MUSICALE 2001
(Orphée & Sandy - Roméo & Juliette)
. EXPERTISE COMEDIE MUSICALE (2)
2001-2016
. EXPERTISE COMEDIE MUSICALE 2016 (3) Business Market France
. EXPERTISE COMEDIE MUSICALE & BUSINESS (Universal,
Ali Baba, Elvis, C & C & Demoiselles Rochefort)
. EXPERTISE - INTERNATIONAL BUSINESS (Sous
extorsion stratégique) Monoprix, Hollande & Naouri
. EXPERTISE AUTEUR - LANGAGE LINEAIRE & EXPRESSIVITE SPHERIQUE (STUDENTS IN
FAC)
.
EXPERTISE MOVIE - TENDRE BAISERS (Présentation, Motivation &
Sociologie).docx
. EXPERTISE AUTEUR BOOKS -
AU RELAIS H (Luchini, Carrere, Pape François, Polnareff, Rifkin & Cie)
. EXPERTISE - MUSIC STORIES (01) Comète de Halley, Bill, les Chats,
Dick, Christophe & Aline
. EXPERTISE - MUSIC STORIES (02) Comédies musicales France, Inde,
Nigéria, films, Love Message, Croisières monde
. EXPERTISE - MUSIC STORIES (03) Alice in Concert, Michel, Johnny,
Deschamps,The Best Bass Player & Chérie Love
. EXPERTISE BUSINESS STRATEGY -
Universal Danger (une stratégie catastrophique)
. EXPERTISE BLOG GOLDEN 2015 (Oeuvres & Compétences Emmanuel DIGNAT)
. EXPERTISE MUSIC & BUSINESS - PASCAL NEGRE (Dubble President) SAVE L’EAU & FREE CLIPS
. EXPERTISE PSY CINEMA - De
Tueurs Nés à Lucy (le « Cabinet du Dr Besson »)
. EXPERTISE - VIVENDI-UNIVERSAL
& FNAC SPYING (les suites de la saga des
Gogols) & les chutes à la Bourse
. EXPERTISE COMEDIE MUSICALE 2016
(Oeuvres & Compétences Emmanuel DIGNAT)
. EXPERTISE COMEDIE MUSICALE (ça chiffre lourd) Estimation Préjudices 1200
Millions euro
. EXPERTISE - RECOUVREMENT DE
CREANCES (BUDGETS ETAT, SOCIETES &
PARTICULIERS)
Copies des Expertises
(Suite page Blog précédente)
EXPERTISE AUTEUR - LANGAGE LINEAIRE & EXPRESSIVITE SPHERIQUE (STUDENTS IN
FAC)
CONSULTING AUTEUR -
LANGAGE LINEAIRE & EXPRESSIVITE SPHERIQUE (STUDENTS IN FAC)
ABOUT
« PRESS CONFERENCE »
(Journalistes,
Medias & TV)
Encore toute
une nuit de travail à terminer la rédaction de ma « Press Conference » pour
établir rapidement un sommaire afin de rendre plus aisé la lecture de ces 170
pages en concentré de réflexions qui couvre plus de 20 années de crimes &
de vols dont j’ai été victime en France à Paris comme à Rennes et qui
impliquent aussi les USA. Le sommaire d’une demande de Justice comme d’un livre
d’ailleurs (ou d’une Thèse) le sommaire est
donc très important pour se faire déjà une première idée du propos comme de la
structuration de son exposition où l’on doit déjà ressentir un sens qui emmène
sur « une vérité » avec si possible une approche ou un vrai style
original, le tout dans la plus grande clarté possible comme c’est le cas avec « Press
Conference » malgré toute la complexité qui doit être exprimée au regard de la
réalité des faits puisqu’il s’agit aussi d’un récit de témoignage avec des
preuves à produire devant les Tribunaux ce qui demande de rédiger un récit de
manière simple à comprendre même s’il en est au global d’une grande évidence
des plus évidentes. Il en est encore de mettre en valeurs plusieurs types de
« cohérences » avec différentes approches sur des registres
différents issus de la réalité d’une même affaire ou d’un même propos qui
forment ensuite une cohérence globale où chaque cohérence entre en
complémentarité des autres pour former un « tout » d’une grande
cohérence « logique » même afin de démontrer la réalité d’une
situation dans mon cas inhumaine rendue volontairement floue ou embrouillée par
des adversaires meurtriers, voleurs, assassins & menteurs sans respect de rien ni de l’être humain ni
de Lois pourtant justes et qui ne reculent devant rien (surtout
à la vue des enjeux, des profits ou des milliards d’euro que cela représente) pour
essayer de démolir par tous moyens des plus cruels ou illégaux l’expression
d’une vérité démontrée qui les condamne sans appel possible.
LANGAGE
LINEAIRE & EXPRESSIVITE SPHERIQUE
(STUDENTS IN FAC)
Une petite
réflexion sur le langage montre bien que quand on lit un texte écrit par
« des caractères d’imprimerie » qui se traduit ensuite par « des
lignes de mots » écrites par des caractères sur une page il n’en est pas
vraiment d’une « linéarité » de ce qui est exprimé mais que les mots,
phrases, ensembles de mots ou d’idées représentent bien en vérité une « expressivité
sphérique » de ce qu’un Auteur (ou une Auteuse)
à envie de dire. Les mots qui s’assemblent & se répondent permettent donc
de faire naître « des formes de sens » au-delà des lignes ou des
caractères par lesquels ils sont transmis afin de créer une sorte de
« langage commun » abordable d’usage par le plus grand nombre de gens
ce qui fait alors penser aux « Kanji » Asiatiques écrits comme des
petits dessins à l’encre du pinceau ou de la plume avec des symboliques qui
s’assemblent ou se complètent en fonction de dimensions concernées par le
propos. Cela permet de ne pas se laisser « enfermer » dans une
mécanique de transcription d’un langage mais de pouvoir davantage
« ressentir » l’idée du propos exprimé ou le cœur même de cette idée
en conservant toujours une approche de communication lumineuse qui reste en
harmonie avec la recherche d’une vérité en onde d’un sens de vie bien
réellement ressenti. Cette réflexion m’est venue alors que je cherchais à
traduire en Français les expressions « i’m
still alive » & « Stay alive » à l’occasion de projets
que je décris dans ma « Press Conference ».
EXPERTISE MOVIE - TENDRE BAISERS (Présentation, Motivation &
Sociologie).docx
FILM « TENDRE BAISERS »
(Présentation,
Motivation & Sociologie)
Encore toute
une nuit d’efforts & de travail pour rédiger ma « Press
Conference » (& déposition devant les Cours
d’Assises) une rude épreuve aussi aux souvenirs d’une telle
maltraitance. Quelques bisous de mes jolies Chéries je dors un peu plus
longtemps mais quand je me réveille vers 16h30 c’est à nouveau le vacarme de
cette route maudite avec des chiens insidieux qui me mordent le tibia avec rage
provoquant des cuissons très vives sur mes plaies. Ce n’est pas là mon premier
roman intitulé tout d’abord « La Plaie Silencieuse » car chaque
jour je suis obligé de hurler de douleur. Ce titre en était pour traduire une
grande détresse d’une jeune génération « oubliée » ou même
« sacrifiée » mais lorsque j’en ai fait l’adaptation en scénario pour
un film de cinéma j’ai préféré insisté sur la relation amoureuse de la jolie
« Pétale » & de son amoureux « Tonio » d’une tendre
vérité bien que sujette à de nombreux tourments en périphérie de leur amour
c’est pourquoi j’ai intitulé ce film « Tendre Baiser » qui était
aussi une façon élégante de dénoncer un certain mépris cynique de certains
pouvoirs assassins qui ne s’inquiètent de la jeunesse que pour en dévorer le
cœur. Je pense que ce film magnifique en 1994 aurait pû rencontrer un grand
succès où plusieurs générations même auraient pû se « reconnaitre »
avec le sentiment de se sentir aimé et qu’il en naisse encore l’espérance de
changements sous l’aura d’une véritable considération humaine à leur égard. Je
pense qu’aujourd’hui toujours en 2016 et peut-être même plus encore il en
serait toujours d’un grand film et peut-être même davantage encore lorsque l’on
a maintenant un certain « recul sur le temps » avec toutes les
évolutions souvent promises mais qui n’ont pas eu lieu. En plus d’une histoire
d’amour magnifique cela permettrait aux publics de pouvoir prendre une certaine
« hauteur » sur les événements d’une époque, se délier des mensonges
& entraves actuelles pour se permettre de ressentir ou de dessiner un autre
avenir qui se doit maintenant de leur appartenir afin de réaliser des
projectives plus heureuses.
EXPERTISE AUTEUR BOOKS -
AU RELAIS H (Luchini, Carrere, Pape François, Polnareff, Rifkin & Cie)
« AU RELAIS H »
EXPERTISE AUTEUR BOOKS - AU
RELAIS H (Luchini, Carrere, Pape François, Polnareff, Rifkin & Cie)
Puisque nous avions parlé « de livres & de
culture » avec ma Mère j’en ai profité pour aller regarder les nouvelles
parutions au « Relais H » de la Gare quand je suis sorti chercher du pain. Je n’ai
pas eu le temps bien évidemment de regarder toutes les parutions des éditeurs (&
éditrices) qui montrent cependant une offre
de choix assez large d’œuvres, de styles ou de points de vues des plus
diversifiés (très
alléchante). Mon regard s’est porté tout
naturellement en premier lieu sur les livres que venaient d’écrire certaines de
mes relations ce qui donne (dans le désordre) tout d’abord mon ami & ancien voisin de « Paris
Montmartre » (le bien aimé acteur
« Fabrice Luchini ») qui nous
propose son premier livre « ça a
commencé comme ça » pour nous
faire partager sa passion de magnifiques auteurs (comme Céline, Rimbaut ou La
Fontaine) dont il a découvert les œuvres
en écho à sa Biographie (& ses feeling). Je ne sais pas s’il a parlé du petit restaurant
« le Pupillin » à Paris (rue des Martyres ?) où nous nous étions rencontrés en 1983 ou 84 à Paris
alors qu’il avait déjà été très remarqué (dans « les Nuits de la
Pleine Lune »). L’écriture
révèle un vrai style original (parfois un peu timide) avec des pensées audacieuses qui prennent leurs envols
dans la simplicité de la vie quotidienne. En fait je me suis aperçu que « Luchini » aimait tellement les grands auteurs qu’il n’en avait pas
osé écrire lui-même pendant bien des années car à la lecture de son premier
ouvrage au fil des pages (qui nous séduisent) on se dit tout de suite « Mais comment ça se fait qu’il n’a pas écrit plus
tôt ! »
Je ne sais
pas si « Patrick
Modiano » a commencé à écrire ses premières œuvres littéraires à 17 ou 18
ans (comme « Mimi Lion’s ») mais
après une trentaine de romans ornés souvent de prix prestigieux (avec même le Nobel de Littérature en 2014)
on apprécie toute sa gentillesse dans son ouvrage « Pour que tu ne te perdes pas dans le
quartier » ce qui ne risque pas de m’arriver ici en exil car je sais très
bien aller à la Gare (par tous les
temps). Il en est encore du dernier livre de « Emmanuel
Carrere » toujours à parcourir « la presse » ou les riches Terres
des pays de l’Est « Il est avantageux de savoir où aller » qui
nous entraine cette fois dans un jeu de cache-cache avec « Dracula » (& bien des mésaventures journalistiques) réchauffées
encore par bien des bribes d’intrigues (romantiques à
l’Italienne). Je ne sais pas si en fait notre Auteur s’est bien
documenté mais nous pouvons lui dire que nous avons la quasi certitude que les
origines génétiques « du Vampire Dracula » seraient plutôt à
rechercher du côté du milliardaire breton « PPR ».
Je ne sais
pas non plus ce qu’en pensera mon confrère « Jeremy Rifkin » qui fait
paraître un nouvel ouvrage sûrement aussi passionnant que les précédents (même s’ils ne sont pas toujours d’accord sur tout)
c’est pourquoi je me suis empressé de regarder attentivement le sommaire de « La
nouvelle Société du coût marginal Zéro » (« The zero cost marginal society »)
qui en emmène aux conclusions de sa proposition d’une « économie de
l’abondance » (les grandes lumières se réfléchissent dans
la nuit) comme de par le monde puisque l’une des projectives
majeures de mes nombreux Consultings consiste à permettre de générer « la
Société de l’abondance ». Nos approches respectives sont cependant
différentes puisque « Jeremy Rifkin » effectue un travail de
réflexion plus « Universitaire » (ou économique)
qui s’appuie sur de nombreuses études ou informations pragmatiques de la réalité
qui couvre la plupart des cultures (ou des
Continents) afin d‘en saisir des « tendances » de même
que mettre en clarté bien des « risques » ou des
« difficultés » qui lui permettent alors de dessiner des propositions
pour l’amélioration de la vie dans nos sociétés (avec
des portées très pragmatiques) comme il nous l’a déjà montré par
exemple dans son précédent ouvrage « La Troisième Révolution
Industrielle » consacré à l’émergence d’un nouveau « paysage
énergétique mondial » pour encourager la naissance d’un avenir plus
heureux (pour notre planète) avec
« l’énergie solaire ». Quand je parle d’une « Société de
l’Abondance » mon approche est plutôt
issue d’un sens « marketing » avec un feeling
« psychosociologique » des populations que je côtoie au quotidien à
l’écoute de la sensibilité (des
consommatrices) comme de mon sens instinctif (ou intuitif) pour des « personnes
humaines » parfois un peu déconcertées dans l’attente de nouvelles
possibilités « matérielles » (ou
« commerciales ») ou encore de « facilités »
qui tiennent compte encore (d’une réalité
monétaire) parfois même un peu « dramatique »
Je ne sais
pas en passant ce qu’en penserait mon ami « le Pape François » qui nous
propose justement un magnifique ouvrage « le Nom de Dieu est miséricorde » qui
comporte bien « des petites réflexions » issues de la vie de nos
sociétés qui reçoivent alors un éclairage (si simple de
grande lumière). Cette très belle écriture montre encore une
« philosophie » des plus humaines comme d’une source d’espérance prodigieuse
(pour la vie de chaque jour). On est
d’ailleurs un peu stupéfait rien que par la clarté du style qui à partir
« de petites choses » (qui souvent ne
devraient pas être oubliées) fait naître une grande beauté de
pensée comme il en est de l’œuvre d’un grand auteur.
Avec un
style un peu différent je retrouve maintenant un écrivain
« populaire » très renommé « Philippe Djian » qui nous
avait déjà charmé lorsque l’on avait découvert « 37.2° le matin » (une love story tournée en film avec « Béatrice
Dalle »). Dans son nouveau roman «Dispersez-vous,
Ralliez-vous » on retrouve toujours son écriture
« des mots de tous les jours » qui sonnent même un peu comme des
chansons griffonnées (quand il en est
de sentiments) j’ai cru apercevoir justement au bas d’une page
que notre personnage semblait vouloir (partir en Jet)
c’est pourquoi je serai ravi de lui présenter ma jolie « Coconut’s »
pour en discuter (All Rights Reserved). Cela
m’amène maintenant à parler d’un autre livre qui vient juste de sortir sur
lequel « j’ai flashé » c’est celui de mon ami chanteur « Michel
Polnareff » (toujours à
titiller d’audace) quand il ne chante pas « Tout Tout pour ma Chérie ma Chérie » avec sa première
autobiographie des plus originales (comme
d’habitude) intitulée « Spèrme » avec un
titre un peu surprenant mais qui comporte encore (une
dimension philosophique) ou même « sphérique » car si
l’on veut pouvoir écrire un jour son autobiographie (il
faut bien venir de quelque part). De l’infiniment
« petit » à l’immensité de la vie il en est au fil des pages
« d’une partition populaire » parsemées de plein de petites touches
de couleurs (comme des notes de musique)
bribes de mélodies avec de magnifiques textes de chansons (paroles
d’amour) ou encore le récit d’anecdotes écrites en toute
gentillesse (dans les backstages du « Show
Business »). Je n’ai pû m’empêcher d’avoir des pensées
complices lorsque « Michel Polnareff » nous parle d’une émission TV
où il arrivait tout naturellement avec sa guitare (Cool
cool) faisant alors la surprise du chanteur très célèbre
« Claude François » qui en était stupéfait tant il aimait lui-même en
grand pro (que tout soit rodé au millimètre)
s’amusant ensuite « à des jeux de lumière » (dans
les coulisses) pendant que « Michel » en émotion
toujours dans l’attente de retrouver sa jolie Chérie chantait sur le plateau TV
le cœur à vif « Marylou je suis fou de vous » (avec
son numéro de téléphone écrit discrètement sur le manche de sa guitare)
Après ce
magnifique voyage (entre les mots de l’amour love)
j’ai simplement remarqué qu’il n’y avait pas beaucoup d’ouvrages écrits (par des femmes) alors même qu’elles sont
des lectrices extraordinaires comme si toujours (elles
voulaient tout savoir) mais par contre j’ai été surpris de voir
le nombre de titres de magasines féminins qui leur sont consacrés comme d’un
véritable « flot de vie » (qui donne bien
des envies)
Toujours mes soirées sont cependant bien
étranges alors que je ressens parfois la désagréable impression d’être épié (dans ses
écritures). En prévision de règlements de Justice (& de
comptes) qui ne semblent toujours pas facile alors qu’il ne devrait
en être qu’une évidence j’ai regardé alors par précaution face à de redoutables
meurtriers les modalités légales pour obtenir « un port d’armes » (dans le cas de
légitime défense sous menaces) tout en regardant sur le Web (les catalogues
des dernières nouveautés)
Elle est belle
(tellement belle)
J’ai pû
ainsi terminer (presque en paix) la
magnifique « Thèse » de l’extraordinaire « Mystère Jésou » (bientôt sur vos écrans au cinéma) pour
une magnifique production internationale « BG° GOLDEN SA ». J’en ai
profité pour révéler (à la Presse)
que nous étions vérité en train de créer une grande « Majore »
internationale assortie d’une magnifique fondation (« Be
Happy ») ce qui fera le plus grand bien à bien des
populations ainsi qu’au « PAF » (c’est le
« Paysage Audiovisuel Français »). Comme j’avais
rédigé hier la présentation (en retard)
de plusieurs ouvrages magnifiques que j’avais feuilleté avec grand plaisir au « Relais
H » de la Gare je me suis rappelé soudain que j’avais oublié de
parler d’un livre plutôt fascinant écrit par mon ami Académicien « Jean
d’Ormesson » qui était paru il y a déjà quelques mois « Je dirai
malgré tout que cette vie fut belle ». Il en était
d’une très belle écriture (avec un vrai
sens) qui se lit très facilement pour nous faire parcourir des
réflexions aussi audacieuses (que
séduisantes) qu’elles en viennent encore d’une « simplicité
d’être » au fil de la vie comme l’on écoutait tout simplement parler un
ami proche qui en ferait même oublier tout naturellement en toute élégance (toute la virtuosité de son talent d’écrivain).
Puisque j’en étais à ce moment là à demander (à la
Justice) d’établir des « comparaisons » (à titre professionnel) entre mes propres
œuvres et celles qui appartiennent aux 20% des meilleures (ou
des plus belles) j’en ai profité pour regarder un peu plus
attentivement l’écriture de mon ami « Jean d’Ormesson » (que ça ne dérange pas le moins du monde).
J’en ai conclu que « pour écrire comme ça » (alors
que ça se lit si facilement) sous le charme d’un récit captivant
qui révèle encore une très belle clarté de pensée cela faisait preuve d’une
très grande compétence d’écriture (avec un
véritable sens de lumière). A vrai dire cela m’a rassuré. Il
avait écrit récemment un autre livre remarquable qu’il a intitulé « Un
jour je m’en irai sans avoir tout dit ». J’avais été
complètement séduit par ce titre comme s’il en était d’un lien magique (en ondes de cœur) alors que je venais
d’écrire un « Testament » symbolique que j’avais intitulé « Ce
qu’on laisse derrière soi avant de partir » (ou celles)
« L’œuvre de John Fante »
(Un romancier scénariste à succès)
Si j’aime
beaucoup parler de livres qui me plaisent (après les avoir
feuilletés) en attendant de les lire j’aime bien aussi parler de
livres (qu’il a lu en entier) et
qui m’ont beaucoup plu d’autant que j’ai même parfois lu presque l’intégralité
des œuvres complètes de plusieurs auteurs. Je vais donc essayer maintenant de
présenter l’œuvre « complète » d’un auteur que j’admire beaucoup (il a écrit qu’un seul livre ?) Quand
bien même on en aurait écrit qu’un seul qui soit vraiment bien ce sera déjà ça (ma chère) mais je présente maintenant
l’œuvre magnifique de « JOHN FANTE » qui comporte seulement 8 romans
fascinants qui se lisent très facilement tellement ils sont bien écrits (& très bien traduits de la langue Américaine)
puisque « John Fante » est un Américain d’origine Italienne qui a
vécu une grande partie de sa vie en Californie. Ses romans révèlent le
caractère « autobiographique » d’un auteur qui porte une très belle réflexion
sur son existence avec un récit issu de la vie qui comporte en même temps
toutes les interrogations sur sa propre destinée (comme
sur ses sentiments) parfois conflictuels avec certaines
« valeurs d’une époque » qui en fait naître une sorte de
« sagesse » bien souvent d’une grande beauté dans la recherche d’un
sens (à la vie humaine). Si l’on peut choisir
& lire n’importe lequel de ces 8 romans de façon indépendante il est
cependant assez passionnant de suivre une certaine évolution d’écriture qui
s’accomplit dans la chronologie de ces romans pour en arriver à un véritable
chef d’œuvre de la littérature « Les Compagnons de la Grappe » (&
les copines de passage)
Un autre de
ses romans a connu un succès phénoménal « Plein de Vie » (qui a ensuite été tourné en film au cinéma).
De toute façon je préfère prévenir que dès que l’on a lu un premier roman on ne
pourra échapper à l’enchantement de lire ensuite tous les autres (c’est très vite lu). On remarquera dans « Demande
à la Poussière » une magnifique histoire d’amour love qui sans
doute s’est poursuivie avec le temps sur un autre Continent avec le roman bien
connu « 37.2° » (le matin)
« Bandini »
« La Route de Los Angeles »
« Demande à la Poussière »
« Rêves de Bunker Hill »
« Mon Chien stupide »
« le Vin de Jeunesse »
« Plein de vie »
« Les
Compagnons de la Grappe »
Quelques
ouvrages supplémentaires ont été publiés depuis chez l’Editeur « CHRISTIAN
BOURGOIS » auprès du quel on peut s’assurer de la chronologie exacte (également en livre de poche « 10/18 »).
Ces textes magnifiques de « John Fante » sont traduits en Français
par « Brice Matthieussent ».
« le seizième
round de RICHARD »
(dans le
rôle de sa vie)
Le lendemain
je me réveille encore épuisé. Je me presse de remettre l’eau pour me préparer
car bientôt les rares magasins du Dimanche seront fermés. Temps de pluie (un vent presque glacial) je passe à la
Gare. La Boulangerie « Valentine » est
toujours ouverte. J’achète du pain. Je passe ensuite au « Relais
H » regarder les livres (& les
magasines) que je n’ai pas cependant pas le temps de feuilleter
mais je remarque que le livre de MICHEL POLNAREFF est parti (comme des petits pains) du pain béni sans
doute de même que mon ami Acteur RICHARD BORHINGER (c’est
beau une ville la nuit) vient de sortir un nouveau livre qui me
semble magique « Quinze Rounds » avec sur la couverture une
magnifique photo (noire & blanche) de
lui-même. On peut dire quand même (« qu’il a
de la gueule ») de même qu’un véritable
« regard ». RICHARD est d’ailleurs un « Acteur-Auteur » qui
sait participer d’une véritable création dans ses rôles au cinéma. Il connait
même la campagne Anglaise puisque c’est lui qui tenait le rôle (du cuisinier) dans le film magnifique de
PETER GREENAWAY « le Cuisinier, le Voleur, sa Femme » (& le jardinier) je crois. Un film
tourné comme s’il en était de magnifiques tableaux de peinture. C’est pourquoi
connaissant bien RICHARD je pense qu’il serait (à
point) de lui proposer l’écriture d’un magnifique scénario. Tout
simplement le film qu’il a envie de se voir jouer (le
premier rôle) avec bien évidemment de la poésie mais pourquoi
pas (de la chanson). Il ne s’agit pas de
raconter spécialement l’autobiographie de RICHARD BORHINGER mais plutôt de
l’accompagner dans la création d’un rôle (de sa vie)
avec l’aide d’une scénariste qui lui servira (de
reflet de lumière) sur
mesure. Je sais qu’il en sera sans complaisance particulière mais
surtout d’une certaine recherche de vérité d’autant qu’il pourra choisir pour
cela une ville ou un lieu (de son choix)
tout en étant débarrassé (des soucis
financiers). On peut préciser encore qu’il en est alors d’un
« régime » (de faveur)
car RICHARD est bien évidemment un grand Artiste (&
un vrai)
… Tu vois la météo Beyouce ?
…
Winter !
… En
plein mois de Mai !
… le plouie est
comme le caleçon
… les
« glaçons » tu veux dire ?
… Oui
« Ice »
… C’est
parce que ces manants ont fâché Coconut’s !
… Pourtant
elle est vraiment très gentille
… Elle ne
pouvait même pas s’acheter un beau Tilapia avec ses copines !
…
Alors qu’elle est millionnaries !
… On avait fait
un chef d’œuvre avec notre comédie musicale…
… « Planet
Joy »
… Et toujours pas un sou ni de vraie
liberté !
(ni même de Justice !)
… Et pouis toutes
ces jolies choses encore
… Oui Beyouce j’avais
encore écrit
(« Elle est venue
consoler mes larmes »)
… avec la jolie
« Sool »
(& le chéri
« Cool »)
EXPERTISE - MUSIC STORIES (01)
Comète de Halley, Bill, les Chats, Dick, Christophe & Aline
Emmanuel
DIGNAT
MUSIC STORIES
(in Backstage)
Boop’s is a lovely magic fee !
(Avec toutes ses copines elle sait tout…
ensuite elle me le dit…)
Voici
justement la Comète de Halley… ce qui a donné l’idée à mon ami
« Bill » (Gates) quand il était encore à
l’Université de Harvard de créer son groupe de musique « Bill Halley &
The Comets » uniquement pour draguer les jolies Gonzesses (or Chicks)
d’autant qu’il n’y en avait pas beaucoup à Harvard (seulement 24 % de jeunes femmes bien élevées
en 1970). En
plus « Bill » (déjà très inspiré) s’ennuyait beaucoup
dans les salles de classe de l’Université car il avait toujours l’impression
d’avoir déjà vu tous les cours « quelque part », il se demandait même
parfois s’il n’avait pas redoublé son année sans s’en apercevoir c’est pourquoi
il fini par redouter (que l’on puisse l’accuser d’être « possédé de
Satan »), de faire « des confusions
mentales » ce qui l’aurait alors mené « droit à l’Asile ! »
« Bill »
préféra donc abandonner ses études à Harvard pour prouver qu’il était bien à la
recherche (« d’une
voix de lumière ») et non sous l’emprise du Diable… Il
décida donc à l’aide du langage « masculin / femina » informatique (« 0 » &
« 1 ») de se lancer dans l’exploration du temps (& de l’espace
courbe) avec l’expression de sa représentation
visuelle pour créer une sorte « de fenêtre magique » qu’il appela
« WINDOWS » et qui permettrait de voir (les jolies Gonzesses) à
l’occasion, en projective de l’avenir !
En
un même temps un peu plus loin (sur un autre Continent) au-delà
de l’océan bien des millions de gens aperçurent justement dans le ciel la
célèbre « Comète de Halley » (qui était de passage), d’autres
crurent même entendre
« i find ! »
… si bien qu’en bien des lieux du monde
d’autres encore eurent aussi l’idée de créer leur propre groupe de Music !
En France par exemple on a bien connu « Eddy Mitchell » (& les Chaussettes
Noires) ou plus grave encore « Dick
Rivers » (& les Chats Sauvages) qui
eux aussi d’ailleurs ne faisaient de la musique que pour draguer (les jolies Gonzesses). Les
célèbres musiciens « Les Chats Sauvages » en étaient particulièrement
intenables sur scène (toujours à courir après les Chattes) si
bien qu’à chaque Concert il y avait toujours au moins 2 ou 3 musiciens qui
finissaient au bout de quelques chansons par bondir dans la foule de
spectatrices (à la
poursuite d’une jolie Chatte) sans même revenir ensuite
laissant même parfois le pauvre « Dick Rivers » finir tout seul le
Concert sur scène avant de se faire dévorer ensuite par des spectatrices
assoiffées qui n‘avaient plus que lui (à se mettre sous la dent)
C’est
pourquoi « Dick » décida ensuite d’attacher ses musiciens avec une
corde élastique à la ceinture qui leur permettait tout juste d’atteindre le
bout de la scène avant de revenir à leur place (tiré par l’élastique) ce
qui permettait encore sur le plan musical de leur permettre de jouer (avec une frénésie
endiablée) qui déchainait alors la passion des foules
sous l’œil (de
crocodile) du Producteur qui voyait ensuite les Titres
des chansons grimper au Top 50 !
A
quelques rues de là (bien malheureux parfois)
seul sous les étoiles un autre Chanteur (un peu délaissé par son amour) le
beau « Christophe » s’était épris d’une jolie Gonzesse qui le faisait
rêver du soir au matin si bien qu’un beau jour il l’emmena au bord de l’océan
pour lui dire son amour (Tout son amour) pensant peut-être un peu
sans le savoir à « Un Homme Une Femme » (Chabadabada)
c’était d’ailleurs une bien jolie Chérie « Aline » qui ne s’en
laissait pas conter (ni compter) la très jolie
« Aline » (sans doute assez féline) comme
dans un grand film magique aux lumières de « Fellini ».
Tous
deux marchèrent ainsi sur la plage (au coucher du soleil) regardant
leur destinée amoureuse s’envoler au-delà de l’océan ce qui sans doute donna
une grande idée à la jolie « Aline » qui dit alors à « Christophe »
tout en adoration amoureuse
« Et bien si tu
m’aimes vraiment comme tu le prétends… »
… Aline, comment peux-tu dire
ça ? N’entends tu pas mon cœur qui bat pour toi ?
« Chabadabada…
depuis le temps que tu me dis ça et que je ne vois rien venir… »
… Je ferai un grand
tube’s Aline… je te le jure
« Une femme a
besoin de certitudes et non de promesses… Cher Ami… »
… Aline, mon amour pour toi est plus vaste que ce magnifique océan qui
en cet instant nous unis
« Et bien montres
moi que tu peux m’emmener bien au-delà de l’océan »
… Rien que pour
toi j’irais au bout du monde !
« Très bien, alors si
tu m’aimes vraiment comme tu le dis tu vas aller nager le plus loin possible
dans notre océan d’amour et me crier de tout ton cœur « Je t’aime ! »
… Aline, nous sommes à la fin
de l’Automne, l’eau est un peu fraiche
« Si tu n’es pas capable de
faire quelques brasses pour moi je ne vois pas comment tu pourrais composer un
grand Tube’s ! »
… Très bien, très bien…
Le
beau Chanteur « Christophe » se met alors en caleçon torse nu jetant
ses vêtements ici ou là sur la plage comme s’il était inspiré par le grand
large (il a
dessiné le doux visage d’Aline à la Dali) décidé sans doute
d’en finir au plus vite (avec cette terrible épreuve de vérité…) il
s’élance ensuite à l’eau essayant de faire comme si l’eau n’était pas fraiche,
courant et bondissant (comme un endiablé) puis il se met à
nager une belle brasse coulée (à la « Marc Spitz ») le cou bien dressé hors de
l’eau (c’est
l’homme qui se surpasse) se retournant parfois à
demi essoufflé vers Aline
… Et là ? C’est bien là ? Tu m’entends ?
« Non non, tant que je vois ta tête c’est que t’es pas assez
loin ! »
Ainsi
le beau Chanteur « Christophe » se donne de tout son être nageant
droit vers le grand large (dans un océan d’amour)
pour finalement ne s’arrêter de nager que lorsqu’il se met à suffoquer, se
sentant un peu trop loin de la côte avec une sensation de profondeur
vertigineuse de l’océan sous son ventre (peut-être la peur du bisou d’un requin ?)
tout en pataugeant sur les remous des vagues il se tourne vers la plage, essaye
de lever le bras (pour faire coucou au loin)
s’écriant
« Aline !?
Aline ?! »
(« Gloups »
il boit une tasse)
« Aline… je t’aime ! »
(« Gloups »)
Il
s’écrie encore
« Aline ?! Je t’aime ! Je t’aime ! »
(« Gloups gloups »)
Il
manque même de se noyer semble-t-il (avec en plus une crampe au mollet)
mais croyant toujours à sa destinée (Sans doute devait-il vraiment l’aimer) si
bien qu’il essaye alors de regagner la plage, à ce qu’il dit lui-même il ne se
souvient plus très bien, sans doute probablement fut-il sauvé (par « Oum le
Dauphin ») ou « Flipper » qui l’aida à
regagner le rivage alors que le beau « Christophe » de ses dernières
forces s’accrochait à sa nageoire et c’est ainsi qu’il se retrouve épuisé sur
la plage, grelottant de froid, essayant de ne pas boire la tasse à chaque
montée des vagues, il eut beau regarder tout autour de lui la jolie
« Aline » avait bien disparue et c’est ainsi qu’il écrivit dans le
sable de ses dernières forces (sous le souffle de l’amour)
« Aline »
(Des versets historiques)
« Et j’ai crié, crié… Aline pour
qu’elle revienne »
Le
beau chanteur « Christophe » écrivit ainsi le grand Tube’s promis qui
tout de suite ému le cœur (de millions de jolies Gonzesses)
alors que la jolie « Aline » n’avait toujours pas réapparu malgré ses
nombreux messages sur son répondeur la chanson « Aline » devint donc
un grand Tube en tête du « Top 50 » et il en fut largement récompensé
(&
comblé) tout changea soudain autour de lui, on
l’appelait maintenant « Mr Christophe » il s’acheta alors une jolie voiture décapotable
avec laquelle il adorait faire de belles ballades avec de jolies Gonzesses (qui le comblaient de
bonheur) c’est ainsi qu’un jour alors qu’il se la
jouait sur les Champs-Elysées avec sa magnifique décapotable il aperçu sur le
trottoir une jolie Gonzesse très sexy (avec de jolies fesses)
qu’il sembla reconnaitre d’instinct… il se rapprocha lentement, tourna la tête
vers elle et reconnu alors
« Aline ! »
A
cet instant de notre histoire il y eut plusieurs versions (de la suite)
mais à ce qu’il sembla le beau Chanteur « Christophe » se met alors à
klaxonner, souriant aux éclats (avec toutes ses jolies Pépées pendues à son cou) dans
sa décapotable rutilante, la jolie « Aline » se tourne vers lui, le
beau « Christophe » lui lance alors
« Salut ma Chérie !»
Elle
le regarde stupéfaite (avec des grands yeux étonnés) croyant
peut-être qu’il avait disparu à tout jamais en plein océan, le beau
« Christophe » donne alors un grand coup d’accélérateur pour faire un
démarrage sur les chapeaux de roue (il voulait que « ça décoiffe ! ») si
bien que la voiture bondit en avant si puissamment qu’il alla percuter (« le cul d’un
bus ») qui venait soudain de s’arrêter !
(Boom !)
Heureusement
les jolies Gonzesses en émoi n’en furent que pour leur émotion ce qui ne fut
pas le cas du beau « Christophe » qui continua de klaxonner
machinalement les yeux rivés sur le lointain (sans doute voyait-il l’océan d’amour love) en
se demandant bien ce qu’il venait d’arriver (un « choc de mémoire »
peut-être ?) il ne s’aperçut même pas qu’il avait (un « œil au
beurre noir ») alors que les jolies Poupées
s’affairaient à le choyer de leur mieux, toujours est il que cet incroyable
événement l’amena à réfléchir (sur la profondeur de ses sentiments)
alors que son œil était toujours orné de bleu, il prit conscience peu à peu
combien il aimait toujours « Aline », d’ailleurs c’était sûrement
« le grand destin » qui les avait fait se retrouver sur les Champs-Elysées,
c’est alors que la lumière de l’amour (love) envahie à nouveau
son cœur (et qu’il
fut inspiré) pour composer un second « Tube’s »
pour sa bien aimée « Aline » qu’il intitula
« Je lui dirais les mots bleus… les
mots qu’on se dit dans les yeux… »
Une
chanson magnifique qui une fois de plus émue davantage encore le cœur de
millions de femmes au-delà même des frontières (& des océans) à
nouveau en tête du « Top 50 ! »
Avec
sa pile de « Disques d’Or » sous le bras le beau Chanteur
« Christophe » n’eut plus alors à l’idée que de retrouver sa bien
jolie « Aline » parcourant la ville du soir au matin au volant d’une
toute nouvelle voiture décapotable (de prestige) s’arrêtant presque tous les
10 mètres pour bondir sur le trottoir dès qu’il apercevait de dos (une jolie Gonzesse) qui
ressemblait à « Aline » pour lui demander « Aline ? » mais ne la retrouvant pas (au fil de ses
recherches) il se dit alors
« C’est
fou ce que les jolies femmes se ressemblent ! En attendant de retrouver
Aline je vais prendre une remplaçante… »
En
effet le temps (du Printemps) annonçait déjà l’été c’est
ainsi que par une belle soirée au soleil couchant (teintée de romantisme) se
sentant si seul à nouveau dans sa magnifique voiture comme aux premiers soirs
de leur amour ses pensées l’emmenèrent (à une belle évidence)
« La vie est si belle…
Pourquoi rester si chagriné ?... La prochaine jolie Chérie que j’aperçois
fera mon affaire ! »
Avec
son nouveau look (« New Look ») de
grande Star comme on le sait irrésistible même (ou presque) le
beau Chanteur « Christophe » tout à ses pensées d’amour love prend le
temps de bien se recoiffer dans le rétroviseur rutilant (Tout en ouvrant en
douceur la capote) de sa magnifique voiture décapotable,
il lança au ciel (avec le « feeling love »)
quelques mélodies roucoulantes puis démarre avec style pour rouler doucement
sur la grande Avenue se donnant un air « funny love » lorsqu’à
nouveau après quelques tours (de grand manège) il aperçoit soudain
de dos une belle silhouette ondulante qui attire aussitôt son regard, sa
détermination fut alors à son comble, il voulu faire son entrée en scène (comme un Météor venu
du ciel) donna un grand coup d’accélérateur (à fond la caisse) sa
voiture bondit sur le trottoir en faisant ensuite un demi-tour au frein à main (dans un crissement de
pneus) pour s’arrêter (juste devant la jolie silhouette ondulante) le
beau « Christophe » ouvrit lentement la porte, descendit sur le
trottoir (en
extase) alors qu’il pouvait maintenant découvrir la
joie féline (qui
avait attisée son appétit) et retrouver alors à sa
grande stupéfaction
« Aline ! »
Certains
disent qu’ils disparurent tous deux furtivement (en amour love)
laissant la magnifique voiture en plein milieu du trottoir, dans la grande
capitale la légende dans les backstages du Show Business dit que le beau
Chanteur « Christophe » (avec la jolie « Aline ») en
profitèrent (dans la
suite d’un grand hôtel) pour composer un troisième
« Tube’s » (suite aux « mots bleus ») qui
à ce jour est resté inédit !
(Mais on ne sait pas pour
combien de temps)
NOTE DE STYLE
Dans
nos scénarios (avec des jolies Chéries) ou
des jolies Gonzesses (très « sexy love »)
sans oublier les beaux Princes (ou les beaux mecs assoiffés d’amour love) il
n’y a cependant rien qui doit apparaître comme « tendancieux » (ou « sexuellement
exagéré ») il s’agit en effet de mouvements naturels de
l’amour (en
séduction) avec un langage féminin subliminal &
sublime qui donne forcément bien des idées de bonheur (aux beaux mecs assoiffés
d’amour love)
Les
relations humaines amoureuses de nos scénarios de comédies « funny
love » (ou
« funny romantiques ») sont surtout exprimées par
une esthétique « de joie de vivre » en ce cas (même « Sexy
love ») avec des rencontres amoureuses qui restent
« fraîches de jeunesse » (avec gentillesse & tendresse)
voir « bon enfant » avec cependant une certaine dérision adorable
presque « naïve » parfois qui laisse toute sa place (au charme de l’amour
love) avec toutes les espérances de grandes envolées célestes (qui nous emportent
jusqu’au ciel) et même bien au-delà même dans les bras de
biens jolies Divinitées d’amour (toutes le cœur in love)
EXPERTISE - MUSIC STORIES (02)
Comédies musicales France, Inde, Nigéria, films, Love Message, Croisières monde
Emmanuel DIGNAT
MUSIC STORIES
(in Backstage)
Boop’s is a lovely magic fee !
(Avec
toutes ses copines elle sait tout… ensuite elle me le dit…)
Avec
« la nouvelle vague » de renaissance des Comédies musicales en France
apparue principalement suite à la production de « Notre
Dame de Paris » suivie de « Les
10 Commandements » puis de « Roméo
& Juliette » (sans pour autant faire naître vraiment de nouveaux
« styles ») il en était essentiellement d’œuvres
issues « du répertoire classique » (ou Antique) qui
ont cependant connues de grands succès publics mais sans être vraiment (des œuvres
« originales d’auteur ») comme il en a été par
exemple des grandes œuvres de l’histoire mondiale de la Comédie Musicale créées
par de grands auteurs comme « Leonard Bernstein » & « James
Rado » aux USA ou « Andrew Lloyd Webber » à Londres où la
comédie musicale fait vraiment partie des plaisirs (« d’une culture quotidienne ») de
même à New York dans le magnifique quartier tout éclairé de
« Broadway » avec ensuite cependant des nouvelles œuvres de création
originale en France qui laissaient pressentir de nouveaux « styles
d’auteur » (à venir) comme « Romano
Musumarra » avec « Luc Plamondo » (« Cindy ») ou
encore « Dove Attia » & « Lionel Florence » (« Le Roi Soleil »)
Il
fallait aussi bien prendre en compte que la France ou particulièrement
« Paris » avait plutôt des habitudes culturelles de
« Théâtre » (ou de « Concert »)
plus que de Comédies Musicales sans oublier la littérature ou le cinéma (& « l’Opéra
Bouffe »). De
même le budget nécessaire pour produire et lancer des comédies musicales qui
puissent avoir (un certain rayonnement)
avec même l’espérance de pouvoir être adaptées pour tourner dans d’autres pays
s’élevaient alors à 4 ou 10 millions d’euro ce qui en appelait à produire des
œuvres déjà bien connues du grand public pour essayer d’en
« garantir » (un succès minimal)
Avec
ma comédie musicale « Orphée » (avec la jolie Sandy) j’avais
adopté une attitude différente au début des années 2000 en proposant une œuvre
qui soit plus « originale d’auteur » et qui s’appuyait de plus sur
l’adaptation libre d’un des plus grands succès de l’histoire de l’Opéra
« Orphée & Eurydice » de Glück & Monteverdi avec en plus (pour réussir un grand
succès) une thématique de « love story »
qui répondait parfaitement à des attentes affectives (&
psycho-sociologiques) de bien des populations du monde à la
fois éventuellement pour se remettre de certains « Trauma »
conjoncturels (ou bobo de l’amour) mais surtout espérer
voir naître un monde plus grand et plus ouvert aux autres (avec surtout beaucoup
de bonheur d’amour love)
Avec
encore des compositions & des textes (ou paroles)
magnifiques pour « Orphée » je ressentais vraiment venir un grand
succès au-delà même de « démonstrations marketing » que nous aurions
très bien réussi à produire dans les années 2004 à 2006 et qui aurait même pû
contribuer très fortement non seulement à élargir les publics de comédies
musicales avec en plus une tournée internationale (vu le caractère « universel » de
cette love story magnifique) mais encore contribuer à
relancer une certaine audace de création d’auteur pour faire naître de
nouvelles œuvres originales
C’est ce qui serait très probablement arrivé
le temps de trouver une place (dans le calendrier des productions) si
je n’avais été victime soudain de tous ces coups de salauds (en série) qui
ont fini par détruire ma vie avec en final un bien surprenant séjour (à l’Asyle Psy) en
guise de scène au lieu du Palais des Congrès par exemple (encore une erreur de
« destination »)
Avec
le temps aujourd’hui en 2015 on voit bien que « le répertoire
classique » comme base à une comédie musicale avait été bien repassé,
qu’il n’en est plus alors qu’à essayer de les faire tourner en d’autres lieux
ce qui est aussi très difficile car cela demande beaucoup de moyens financiers
et de connaissance de ces lieux, et à part quelques adaptations plutôt mineures
dans d’autres registres (voir l’historique des productions en France)
avec souvent des thématiques aussi stupides il n’y a pas eu de seconde
« nouvelle vague » pour conforter la première et permettre que ce
genre devienne en France une nouvelle habitude culturelle alors que les
populations en manifestent plutôt le désir.
Je pense que cela est dû en majeure
partie qu’il n’y a pas eu d’émergence de nouveaux auteurs malgré aussi de
belles productions très professionnelles et le seul qui a vraiment réussi est
bien « Walt Disney » avec son adaptation du « Roi Lion »
Dans
un même temps avec tous les mouvements culturels qui animent de plus en plus le
monde entier dans le sens d’une ouverture nécessaire (en parallèle aussi du
nécessaire développement économique) la grande majorité des
populations de l’ensemble du monde ressent bien le désir « de se défaire
d’un certain passé » sans pour autant tout renier mais de voir apparaitre
de nouvelles œuvres de référence qui serviront aussi de repère de valeurs
culturelles (plutôt
humanistes) plus ou moins sincères, ce qui veut bien
dire de toute évidence de voir émerger de nouvelles œuvres originales d’auteur (ou auteuses)
comme il en a toujours été à l’aube de grands courants d’évolutions humaines
prospères (&
bienheureuses)
C’est
pourquoi je crois beaucoup à notre comédie musicale « Ange
& Mélissa » que nous avons créée en Automne 2013 et
qui montre même une certaine renaissance du genre (par sa belle originalité), son
style emporté des plus séduisant tout en s’appuyant sur les « fondements
classiques » (ou Académiques) des « Règles de
l’Art » qui sont aussi une somme considérable de connaissances et
découvertes d’un héritage culturel artistique que nous ont laissé nos
prédécesseurs (auteurs de génie)
Il
en est de même encore pour notre comédie musicale « Kilimandjaro » (It’s snowing on our
dreams) une œuvre complètement originale et plus
internationale encore dont j’avais eu l’idée déjà en 2003 à Paris à la suite de
« Orphée » et
dont j’avais rédigé une esquisse (déjà riche) en 2012 & 2013 alors
que j’espérais bien pouvoir retourner rapidement vivre à Paris pour pouvoir
développer et produire ces œuvres magnifiques vouées à un grand succès
international, reprendre aussi le fil brisé de ma vie par ces salauds (et rattraper encore
une dizaine d’année de sa vie gâchée) avec les nécessaires
paiements des préjudices que ces crapules m’ont fait endurer jusqu’à ce jour.
On
sait bien ensuite tous les crimes (en série) dont j’ai été victime à
Rennes de même que les vols et pillages couverts par une corruption (sous une cruauté) des
plus effroyables et toujours dans l’attente d’être résolus suite aux plaintes
que j’ai déposées pour obtenir le paiement de mes honoraires de même que la
levée du « BUG » illégal qui me prive de mes droits d’auteur (et Royalties) sur
les ventes de mes book & e-book en France depuis 2011 et toujours
actuellement aux USA depuis 2015, de même qu’obtenir la réparation des
préjudices dont j’ai été victime depuis les années 2000 à Paris (et même avant) et
qui porte sur des montants considérables vu l’œuvre (considérable) que
j’ai accomplie, de 700 millions d’euro à près de 6 milliards d’euro sans
oublier les dommages collatéraux d’ordre « humain » presque
inchiffrable mais que l’on peut estimer à près de 30 milliards d’euro pour la
France, l’Europe, les USA & le Monde
Cela
sans oublier « Planet Joy » une
comédie musicale majestueuse que j’ai écrite en 2010 (Principalement en
American-English) et qui montre déjà une œuvre magnifique
d’auteur (en love
story) avec un caractère « universel » contemporain
en réponse (à bien
des questionnements amoureux) ou de la quête de sens à la
vie dans la recherche de soi-même (ou de sa destinée)
Parler
de comédie musicale à la suite de Londres, Broadway (ou Paris)
nous entraine bien évidemment en Inde à Bollywood, une véritable capitale
mondiale du cinéma, deuxième pays producteur de films à égalité avec le Nigéria
(Nollywood
à Lagos) qui produit cependant des films de fiction principalement
en vidéo numérique malgré les grandes qualités de leurs productions au niveau
du scénario, des équipes techniques & artistiques ou de la mise en scène
& des jeux d’Acteurs (& d’Actrices) qui prouvent un
talent et des compétences bien réelles.
Il
en est là bien évidemment de raisons budgétaires qui généralement ne laissent
même que très peu de moyens pour produire les musiques de films originaux dans
un pays (où la
musique est Reine) ou même simplement présenter une
« bande son » aux normes de qualités technologiques habituelle. C’est
dire aussi tout le bonheur artistique, culturel (et musical) qui
prive les spectatrices (& spectateurs) de bien des
richesses connaissant moi-même très bien les chansons ou musiques magnifiques
du Nigéria (comme
les Actrices) même si bien heureusement certaines
productions arrivent de plus en plus à rassembler des budgets suffisants pour
présenter des films qui relèvent de véritables chefs d’œuvres que l’on aimerait
vraiment voir projetés dans des grandes salles de cinéma.
En périphérie des raisons budgétaires il en
est secondement d’un réseau de salles de cinéma très peu développé au Nigéria
comme en Afrique (qui regardent beaucoup ces films en DVD)
avec une possibilité de diffusion sur des chaines TV souvent aléatoire ainsi
qu’une certaine absence de protection des droits d’auteurs qui laisse place à
de fortes ventes de copies pirates peu de temps après la sortie d’un film en
DVD ce qui oblige les producteurs à compresser les budgets de production et
jouer de vitesse dès la sortie de leur film pour espérer en obtenir un retour
financier et amortir ainsi leurs investissements (voir réaliser quelques bénéfices non
négligeables)
Ce
qui est bien réel cependant de ces riches populations c’est le dynamisme
créatif, l’envie de faire des films (et de regarder des films) qui
montre aussi toute l’énergie bien réelle d’un peuple aux nuances de pensées
variées qui accompagne aussi un fort dynamisme économique animé d’un esprit
d’entrepreneur (et de Business) alors qu’il se joue en
trame de tous ces efforts une véritable « course contre la montre »
pour l’un des plus grands pays d’Afrique qui connait un taux de natalité qui
reste très élevé pour une charmante population de 190 millions d’habitant(e)s.
Le
Nigéria dispose encore d’un sol riche (et fertile) qui
en fait le premier pays producteur de pétrole en Afrique, ce pétrole est d’une
telle qualité qu’il parait même que les clients qui en achètent le filtre (pour y trouver des
diamants)
Il est aussi d’autres « Perles Rares »
(Mercy mon Chéri)
Sur
le plan « Culture & Civilisation » pour revenir en Inde c’est un
pays passionné de comédies musicales (de joie de vivre) de
danses (ou de mystères
légendaires), on voit d’ailleurs bien souvent dans les
films des scènes chantées & dansées (souvent des scènes d’amour)
avec bien des couleurs et des mouvements chorégraphiques (des plus charmants).
Bien
que je connaissais déjà certains films produits en Inde (Généralement diffusés
sur la chaine TV « Arte ») où l’on pouvait
découvrir certains cinéastes « auteurs » comme « Satiajit
Ray » (le John
Cassavetes de Bollywood) j’ai découvert le cinéma
Indien « populaire » avec des productions qui disposaient
d’importants budgets (sans oublier ces magnifiques comédies musicales)
grâce à ma grande amie « Princess Joy » (de Bénin City au Nigéria) qui
aimait souvent venir regarder ces films en DVD que lui prêtaient ses copines
lorsque nous habitions à Paris (de 2002 à 2006)
On
découvre ainsi des styles, des tonalités généralement très « funny »
avec des jeux d’Acteurs (& d’Actrices) très élancés, un
certain sens de l’humour (ou de la dérision) sur un mode de
narration scénaristique qui reste globalement similaire à celui pratiqué en
Occident avec cependant des nuances (ou variations scénaristiques)
liées aux thématiques culturelles des histoires de fiction racontées avec
généralement un grand sens de vie (et d’envie de vivre)
Les
scènes de comédies musicales dans ces films proviennent bien du
« Spectacle » (live) de même qu’au Nigéria il
existe de très nombreuses « Troupes de Théâtre » qui se déplacent
dans tout le pays (aussi grand qu’une partie de l’Europe de l’Ouest)
pour raconter (en live) de magnifiques histoires (ou légendes) avec
bien sûr des danses ou des musiques sur des thématiques variées avec encore les
riches nuances des multiples cultures qui s’expriment suivant de vastes régions
géographiques.
Cela
montre bien sûr une forte dynamique de vie (ou de survie)
dans un grand pays qui dispose aussi dans les grandes métropoles de tout le
confort ou le prestige souhaité, des possibilités de consommation (ou de bonheur) des
plus heureuses de même que des hautes technologies avec des populations qui ont
en plus un vrai sens du « Business » de parole (& de contrat) qui
se pratique de façon prospère d’autant plus heureuse lorsque l’on dispose (de bonnes relations)
avec actuellement un taux de croissance de près de 7 % chaque année (contre généralement
0.3% pour la France par exemple) ou à peine plus en Europe
Chose
étonnante, si l’on parle encore dans ce pays magnifique une douzaine de
langages locaux (dans un vaste pays qui en comptait plus de 120)
c’est le « Broken English » qui est reconnu aujourd’hui comme langue
principale (un
« Anglais » simplifié) pour faciliter les échanges
de même que le « Français » en seconde langue officielle bien que le
Nigéria n’a pas encore eu vraiment la chance (& les possibilités) de
pouvoir dispenser davantage l’apprentissage de la langue française ce qui a été
quelque peu « compensé » cependant par le bon goût de ces gens
raffinés qui adorent le Champagne !
J’avais
vu en France qu’un festival du film de Nollywood (de Lagos au Nigéria)
avait été organisé à Paris au Centre Beaubourg en 2012 je crois pour que les
spectateurs (&
spectatrices) puissent venir découvrir & apprécier
tout le talent de ces productions (& de leurs Stars ?)
Bien
sûr ma « Girlfriend » Princess Joy m’avait aussi fait découvrir
beaucoup de musiques (& de chansons du Nigéria), des
plus belles, souvent majestueuses avec un grand feeling souvent virtuose sur
des voix de femmes des plus émouvantes. « Princess Joy » a d’ailleurs
un sens « inné » de la musique & de la danse (comme la plupart des
Africaines) sans oublier son sens des harmonies de
formes ou de couleurs, elle connait une quantité phénoménale de musiques ou de
chansons des plus magnifiques (& magiques) de même qu’une grande
quantité de films qu’elle adore regarder (avec ses jolies copines).
C’est
d’ailleurs très prochainement à « Cannes » (sur la côte
méditerranéenne de la France) que l’on retrouvera bientôt
« Princess Joy » (avec toutes ses jolies copines de Nollywood) dans
cette ville magnifique qu’elle adore pour présenter le film « A Magic Life » (The Legend of love
Star) un film de cinéma co-produit par Nollywood et qui sera
réalisé par une cinéaste Nigériane avec bien des espérances (de Palme d’Or !)
En
2003 alors que je rédigeais le célèbre « WPP° » (avec les jolies
Beauties) « World’s Projective Project° » je
proposais déjà de développer en Afrique ou dans « les Pays chauds »
des cinémas en plein air pour les projections de films (en grand large),
j’avais pû profiter de cette expérience à l’occasion de projections de films
pendant l’été dans les jardins de « la Grande Halle de la Villette »
à Paris (où se
trouve aussi la « Cité de la Musique »)
C’est
d’ailleurs bien souvent le langage de la musique qui est utilisé en Afrique
pour donner des nouvelles (ou envoyer des messages d’amour) car
ce grand Continent est immense au regard par exemple de toute l’Europe de
l’Ouest (où
« la France » dans le monde fait figure d’une « punaise ») les
populations sont donc habituées depuis des millénaires à sentir au loin ce
qu’il se passe autour d’eux (sans même utiliser le téléphone !)
Les
dimensions relèvent donc d’une certaine habitude à pouvoir ressentir ce qu’il
se passe sur des distances géographiques extraordinaires et particulièrement
les femmes (tout
comme en Occident) et probablement dans tous les lieux du
monde qui disposent naturellement d’une grande sensibilité (de survie) qui
leur permet de sentir beaucoup d’événements (ou de troubles) sur
de vastes distances comme une tempête ou l’arrivée de bandes de pilleurs, un incendie
de forêt ou plus généralement « une menace en présence » ce qui
montre encore des êtres doté(e)s d’extraordinaires « richesses
sensibles »
Avec
la magnifique « love Story » qui va suivre et qui se déroule
justement sur le grand Continent de l’Afrique il s’agit peut-être maintenant de
faire l’étude « psycho-sociologique » (à caractère « Anthropologique ») de
modes de communication plutôt ancestraux qui ont connu aussi leurs
développements rythmiques dans bien des lieux du monde comme en Occident (avec le
« Morse » du télégraphe par exemple) et
que l’on retrouve encore aujourd’hui sur des modes contemporains pour faire
passer bien des messages (de type subliminal) ou sublimes comme il
en est d’ailleurs question dans notre magnifique histoire
« Love Message in
Music ! »
(Scénario de film
cinéma)
Il
était par une belle soirée (dans un charmant village) un
bel Amoureux un peu esseulé qui se sentait bien loin (de sa bien aimée) qui
devait l’attendre (l’espérait-il) dans un charmant village à
bien des milliers de kilomètres de là.
Notre
bel Amoureux ne pouvant rester ainsi (dans l’attente & le doute)
voulu alors envoyer un message d’amour (à sa jolie Chérie). Il
alla donc trouver le Musicien de son village (qui faisait aussi office de Postier) pour
envoyer son message d’amour à l’aide de figures rythmiques jouées par le
Musicien sur son « Jumbe » (ou Bongo)
suivant le même principe que le « Tam Tam » des Indiens
d’Amérique !
« Quel est ton message mon
Ami ? »
… Tu n’as qu’à lui dire « Ma Chérie… Je t’aime… J’arrive tout de
suite ! »
Le
charmant Musicien joua donc le « love message » en musique sur son
« Bongo » pour que le Musicien du village voisin puisse l’entendre,
le faire passer ensuite aussitôt au Musicien du village suivant (qui faisait le Postier
pour arrondir ses fins de mois) qui à son tour le répercuta
avec un grand feeling de
village en village (sous les étoiles de la nuit) à
bien des milliers de kilomètres de là jusqu’à parvenir au Musicien charmeur (Postier de garde ce
soir là) du charmant village de la jolie Chérie du
bel Amoureux…
Ce
mode de communication musical était bien sûr plus rapide et bien souvent plus
efficace que d’envoyer des courriers (ou des mails piratés) ou
même des messages (par porteur spécial) généralement
des coureurs de Marathon si l’on fait exception toutefois d’éventuelles fautes
d’orthographe (en rythme) qui parfois pouvaient
donner un tout autre sens au message comme par exemple
« Ma Chérie je t’aime… J’arrive tout de
suie »
(au lieu de « suite »)
… ce qui aurait pû laisser à penser à la
jolie Chérie que son bel Amoureux allait passer par la cheminée pour venir la
voir !
Mais
ce soir là sous les étoiles « le love message in music » fut donc
transmis par « Bongo » (sans faute d’orthographe) avec
en plus l’option « Sérénade » (pour les grandes déclarations d’amour love) si
bien que le Musicien Postier du charmant village de la jolie Chérie alla
aussitôt chercher ses copains Musiciens (en se frottant les mains pour le Cachet)
pour aller dire en chanson le gentil message d’amour love du bel Amoureux à la
jolie Chérie qui justement ce soir là rêvait de lui à la fenêtre au balcon du
premier étage de sa belle résidence (une Princesse sans doute) en
regardant tout au loin les étoiles
Le
Musicien charmeur du village (tout sourire) commença donc avec son
petit orchestre à chanter en musique « la Sérénade d’amour love » à
la jolie Chérie soudain interrompue dans ses rêveries d’amour qui fût plutôt
déconcertée, elle entendit alors le Musicien de son village lui dire (tout sourire)
« Ma jolie Chérie je
t’aime, j’arrive tout de suite, s’il te plait ouvre-moi la petite porte de
derrière la maison »
… tout cela avec son grand sourire charmeur (on pensait à
« Yannick Noa » pour le rôle au cinéma) et
l’on comprend bien qu’il avait complété « le love message » (par des petits mots)
plus personnels si bien que la jolie Chérie troublée dans sa méditation
amoureuse s’écria alors en s’adressant au Musicien charmeur (de la Poste)
« Encore toi ! Vas t-en ! Tu
n’es qu’un manant ! »
Elle
ponctua ses reproches en attrapant un joli pot de fleurs sur la rambarde du
balcon qu’elle jeta aussitôt sur la tête du Musicien enchanteur (de la Poste) qui
continua cependant de sourire tout enchanté (et un peu sonné)
avec maintenant en guise de coiffure (les fleurs de saison)
dodelinantes sur sa tête et qui répondit alors à la jolie Chérie (fulminante)
« Tu veux vraiment que je réponde de ta part à ton Amoureux que
c’est un manant ? »
La
suite de cette magnifique « love story » relève de bien des mystères
puisqu’il parait que la jolie Chérie (fulminante) fut
d’une telle humeur qu’une pluie torrentielle venue du ciel de la nuit étoilée
s’abattit soudain sur le Musicien enchanteur (diabolique) de
la Poste qui s’enfuit en bondissant de tous côtés poussant des petits cris
plaintifs (comme un
pourceau pourchassé)
« C’est pour arroser les fleurs… manant ! » (dit encore la jolie
Chérie princière)
… la pluie averse se dissipa peu à peu
laissant apparaitre en douce lumière la magie d’un immense Arc-en-Ciel sous les
étoiles étincelantes lorsque soudain la jolie Chérie fut agréablement surprise
de voir venir son bel Amoureux tout de blanc vêtu (tout rayonnant d’amour love) si
bien que la jolie Princesse Chérie (maintenant folle de bonheur) en
vertige de l’amour love sauta même du balcon comme une jolie fée pour tomber
dans les bras du bel Amoureux (tout d’amour bonheur) afin
d’échanger au plus vite un tendre baiser d’amour love (sous la magie des
étoiles en Arc-en-Ciel) un bel Amoureux presque titubant
d’amour qui lui dit ensuite tout amoureux (dès qu’il eut repris son souffle)
« Je n’ai pas pû
attendre ma jolie Chérie… je suis venu avec mon Jet ! »
(Bisou
love)
C’est
bien sûr la magnifique chanson « i’m flying love » (de la jolie Coconut’s) qui
sera le « Tube’s » de ce grand film d’amour love, une mélodie
magnifique reprise d’ailleurs avec style pour les publicités internationales
« Falcon » & « Virgin ! » (de la grande
Pub !)
C’est
donc de magnifiques histoires de ce style que l’on pourrait voir en musique sur
les scènes des « Troupes d’Artistes » du Nigéria (ou de l’Afrique) et
probablement bientôt au cinéma dans les plus belles salles (du monde entier)
mais si l’on veut les entendre avec joie (en exclusivité) on
peut aussi en profiter pour partir en voyage (à l’occasion d’un grand séjour d’amour love) en
choisissant sur le Web (à la carte) son séjour ou bien courir (même sous une pluie
d’amour) jusqu’à son Agence de Voyages pour aller
découvrir plein d’heureuses destinations (& de grandes destinées) avec
des voyages ou séjour magnifiques de belles sensations comme en organise par
exemple l’Agence « APSARA » à Paris (Proche du Paradis)
« le Voyage des connaisseurs » une société managée sans doute par un
Artiste (expert
en « Arts & Civilisations ») le
bienheureux « Gilles GAMOND » (comme « GAUMONT » mais avec un
« D ») que j’ai rencontré en 1989 à Paris, un homme
passionné par la découverte du monde & de ses richesses culturelles (en tout confort)
pour des voyages très propices à d’heureuses rencontres avec bien des
sensations d’aventures au choix mais toujours (de belles émotions)
propices encore à un idéal de bonheur retrouvé dans un monde plus libre (ou qui devrait l’être)
Il
s’agit surtout avec « APSARA » de croisières ou d’itinéraires à
vocation « culturelle » (& plaisirs) organisés avec une grande
précision sur tous les Continents à des périodes choisies de l’année avec des
possibilités de choix (très gourmandes) & larges qui vont
de « Saint Pétersbourg » (une ville magnifique)
jusqu’en Afrique du Sud (un pays aussi développé qu’un pays d’Europe)
sans oublier de passer par le « Kilimandjaro » ou encore à
« Ushuaia » en Amérique du Sud (qui a inspiré « Nicolas Hulot » pour
son émission TV magnifique « Ushuaia ») ou
bien (en bon
voisinage) voir les Temples extraordinaires de Birmanie
ou du Laos (en Asie) ou
bien à l’occasion des couleurs chaudes de l’été Indien (où tu voudras) « Quand tu voudras Chérie
love » en profiter pour faire une douce croisière
au Canada ou même découvrir la ville de New York (sous d’autres regards)
éblouissante « Avec les mille facettes d’un monde à l’échelle d’une
ville » (ce sont
les mots même de Gilles GAUMONT) un homme de Lettres
semble-t-il qui aime aussi choyer les voyageurs (ou voyageuses)
pour leur plus grand confort (Gourmandes & Gourmets)
toujours en nuances de style (au choix…) ou à la Carte comme il en
est d’un magnifique « Safari cool » (avec la jolie Sool) en
4 X 4 au Kenya jusqu’aux plus beaux Palais (& Palaces) d’une
Inde majestueuse !
EXPERTISE - MUSIC STORIES (03) Alice in Concert, Michel, Johnny,
Deschamps, The Best Bass Player & Chérie Love
Emmanuel DIGNAT
La
très jolie présentatrice (colorée d’amour love) qui
accompagne le charmant présentateur TV « Vincent Lagaffe » (& son « Big
Deal ») viendra rejoindre le groupe des
« Chérie Love » pour chanter avec la jolie « Boop’s » (tout son bonheur de
vivre). Pour ne pas qu’on puisse la reconnaitre tout
de suite (et
laisser planer le suspense) avant de dévoiler son vrai
prénom nous l’appellerons « Cœur de Soleil » car elle ressemble bien
étrangement à une jolie Chérie (qu’il avait bien connu à Paris) et
qui lui ressemble bien étrangement d’ailleurs (comme 2 gouttes d’eau ?). Nous
avions prévu pour elle une très jolie chanson « Avec moi c’est que des Happy End !»
avec le tournage d’un Clip magnifique à Monaco
(mais sans
« Jean-Pierre Foucault »)
…
Pourquoi sans Jean-Pierre ?
« C’est une blague ! »
En
effet « Jean-Pierre » (comme Saint Pierre) doit
assurer la production exécutive de ce magnifique Clip (avec Classe) les
jolies Chéries love connaitront alors un vrai bonheur (tout de sucre !) elles
auront même la chance de donner des interviews très « funny love »
sur « RMC » (Radio Monté Carlos) une grande chance que
je n’ai moi-même jamais connu alors que je jouais dans le groupe de musique
« Alice » (As « Pink Floyd ! »)
lorsque j’étais musicien Bassiste (au Lycée de Pontoise)
bien que nous étions déjà un groupe de musique très « pro » à
vocation internationale avec un feeling « funny » (très en
« Vogue ») en passe d’un grand succès avec notre
grand Tube’s « Cocotier !» (qui laissait présager sa rencontre avec la
jolie Coconut’s)
A la
suite de notre « victoire » musicale au concours de chansons des
grandes écoles (organisé à l’ESSEC en 1983)
nous avions été invités à passer sur « Radio
star », une radio locale (très en « Vogue »)
dans l’Ouest de Paris. Il se trouve que le Batteur du groupe
« Alice » (C’est pas « Aline »)
n’était pas disponible, de même que le génie des Claviers (« Albert ») de
même encore que le guitariste Leader (« Chris » qui fait crisser les
filles) qui donc tous n’étaient « pas
disponibles » justement ce soir là (à une heure de grande écoute) si
bien que je me retrouvais seulement avec le Chanteur Guitariste
« Sergio » (d’Accapoulco) dans un très beau Studio de
« Radio Star » à
essayer de nous exprimer sur notre style magnifique avec plein de questions
magiques (pour
tout savoir des « Stars ») avec en plus le grand
bonheur de faire écouter (aux Auditrices de préférence) de
faire écouter maintenant notre Tube’s magnifique
« Cocotier ! » dont le Chanteur « Sergio » (de Monté Negro)
avait une copie de concert enregistrée sur une bande pro « 2 Pistes »
C’est
dire aussi mon émotion (de jeune Lycéen déjà « Star ») de
se sentir si démuni face à un micro de Radio comme entouré (en ondes) d’une
foule de fans en attente de la grande écoute, voilà donc le début de notre
chanson « Cocotier » qui sonne sur « Radio
Star », c’est d’ailleurs dans cette magnifique
chanson que je joue mon magnifique Solo de Bass en Slap (et non en Slip)
mais voilà que la bande du magnéto tourne trop vite (légèrement en accéléré) ce
qui entre autres élève la tonalité vers les aigus (et fait disparaître les Basses), comment
dire alors notre stupéfaction de même que celle de l’Animateur Radio qui
aussitôt (en
déconfiture) enchaina sur un interview improvisé avec des
questions « l’air de rien » comme si l’on n’entendait plus la musique
qui tournait trop vite alors que nous nous efforcions de répondre (sans bredouiller) en
essayant de faire un peu « oublier » notre grand Tube’s
« Cocotier » (qui tournait à grande vitesse)
comme si de rien n’était (à l’aise & cool bien sûr)
avec le sentiment d’être vidé de notre âme !
C’est
avec un certain soulagement que nous avons quitté enfin le Studio de « Radio Star » en
se demandant bien ce qu’il en serait de notre avenir d’artistes, le cœur
légèrement attristé mais qu’elle ne fut pas notre surprise cependant lorsque
nous sortîmes sur le Parking d’apercevoir à l’entrée quelques jolies Groupies (toutes adorables) qui
nous regardaient en se demandant si c’était bien nous (« eux »)
magie de la Radio, ce qui nous procura à la fois un grand bonheur mais nous
laissa un peu (dans l’expectative !)
De toute évidence notre jolie
chanson « Cocotier » allait bien devenir un grand
« Tube’s ! »
Sans
savoir pourquoi je repensais alors au magnifique Concert qu’avait donné peu de
temps avant « Michel Sardou » (le Doudou)
auquel j’avais d’ailleurs participé grâce à la bienveillante
« Maryse » (de « Shop Music ») qui
m’avait trouvé un Job (juste à l’entrée du grand Chapiteau)
pour contrôler les billets des spectatrices (venues des Lilas) et
leur montrer leurs places sur les Tribunes (avec petits coussinets pour les fesses). Quelle
ne fut pas ma surprise lorsque je vis soudain à l’entrée devant moi une jolie
copine du Lycée qui était venue avec sa sœur
« Qu’est-ce que tu fais ici ?! »
« Et toi ?! »
J’étais
d’autant plus surpris qu’elle était plutôt « Baba Cool » mais elle
venait simplement (trouver son bonheur) sur les magnifiques
Tube’s de variété chantés par « Michel » (le Doudou)
sans doute surtout pour partager un grand moment d’émotion sous le charme de
« Saint Michel » (le zoulou) qui en était comblé !
On
dit d’ailleurs qu’avant de devenir une grande Star « Michel
Sardou » (le Doudou) voulait monter une boite de
« Streap Tease !» avec ses copains « Les grandes beautés de la vie se partagent » (nous dit Michel avec
innocence) une certaine innocence toute relative et je
ne dirais pas le contraire, la question que l’on se pose surtout c’est de
savoir qui étaient ces fameux « copains » de l’époque sachant que
parmi ses copains de toujours l’on trouve aussi « Eddy Mitchell » ou
« Johnny Halliday » qui lui-même chante toujours « J’ai oublié de vivre ! » l’une des chansons de mon
album préféré avec de magnifiques (chansons d’amour love) à
la fois pleines de passion, d’énergie (& de tendresse)
d’une grande beauté musicale avec une vérité romantique (qui touche le cœur). L’album
est un véritable (bijou), il n’y a rien à changer
mais peut-être pour ces chansons (en accord avec les sentiments de « Johnny ») on
pourrait sans doute reprendre aujourd’hui ces Titres magnifiques chantés cette
fois par les « Nouvelles Stars » avec une direction musicale proche
du style original initial (& toujours beaucoup d’amour love)
Pour
l’enregistrement en Studio on demandera à « Christophe Deschamps » (Musicien Batteur de
charme) de venir jouer la batterie en attendant la
production de son propre album « Super
Nana ! » en virtuose de la Batterie (as a flying Drumer)
« Christophe » que j’avais justement rencontré à Paris en 1983 je
crois chez le Pianiste de « Demis Roussos » & de « Michel
Polnareff », le grand « Philippe Lhommet » (également compositeur) la
veille d’un grand Concert que notre groupe de musique « Alice »
devait donner lors d’un Festival dans l’Est de la France (dans la charmante
ville de Besançon)
J’arrivais
donc assez tôt le matin en Taxi (lovely dreamer) sur le lieu de rendez-vous
à Paris près de la Fac de « Jussieu » avec ma Bass (& son sac)
après une nuit sans sommeil à faire le tour du monde en musique, tous mes amis
musiciens du groupe « Alice » étaient bien à l’heure (avec même des jolies
Groupies) pour le maquillage & la Coiffure, notre
« caravane de voitures » pû alors prendre la route (dès l’aube) alors
que nous étions attendu le lendemain en temps que Groupe de musique
« Star » (suite à du lobbying familial)
pour ce magnifique Festival devant alors jouer en début de soirée (le Samedi Soir)
avec déjà toutes les annonces des Radios Locales !
C’est
bien devant 800 personnes maintenant que nous allons jouer dans un immense
« Hall de Grange » (sur une grande scène très pro) qui
présente les groupes « Phares » de l’époque dans l’attente impatiente
des publics bienheureux (plutôt « funny cool ») que
nous allions rencontrer avec beaucoup d’émotion. Le voyage en
« Caravane » fut des plus plaisants à traverser de nombreuses villes (& des villages)
après avoir baigné dans des paysages de campagne magnifiques où je me laissais
bercer (par une
heureuse destinée), le plaisir d’un petit Restaurant très
accueillant dans un petit village (pour un petit menu du midi) des
plus délicieux avant d’arriver dans une ville (des plus sympathiques)
pour nous préparer à donner notre Concert avec tout le bonheur de pouvoir jouer
en public (dans une
attente frénétique)
La
chaine TV « France 3 » avait même envoyé une équipe de Journalistes
pour filmer des extraits du Festival qui seraient diffusés ensuite au
« Journal » ce qui en valait vraiment la peine (car les éclairages
étaient magnifiques) les musiciens aussi, d’ailleurs on peut
voir une magnifique photo (du Best Crazy Bass player in World) sur
mon Blog « Golden Spring’s Consulting » à la page « Fils de Tube’s ! » (& fille à Pap’s) où
je suis en train de jouer tout baigné de rose (comme « Pomme d’Amour »)
La
scène est magnifique dans une ambiance euphorique (des plus plaisantes)
lorsque nous commençons à jouer une sélection de nos meilleurs chansons les
plus « funky », il en fut rapidement (d’un bon feeling)
lorsque soudain sur scène je n’entends plus le son de ma Bass dans les Haut
Parleurs de « retour » (pour que les musiciens puissent s’entendre) je
me reculais aussitôt vers le gros ampli de basse plus au fond de la scène pour
essayer de m’entendre (sans perdre le Tempo)
tout en lançant des regards (de type « SOS Technology ») au
mec qui faisait le mixage jusqu’à réussir à lui faire comprendre que je
n’entendais plus rien dans les « retours de scène » pendant que mes
amis musiciens « funny » (du Groupe « Alice »)
poursuivaient notre chanson bondissante sans même avoir rien remarqué jusqu’au
moment où j’entendis à nouveau les lignes de basse que j’étais en train de jouer « à
l’instinct » à la Bass (pour une extase musicale) qui
reprit de plus belle à un tel point que dans le morceau suivant
« Cocotier » justement je me trompais de plusieurs mesures avant de
m’en apercevoir juste au moment où mes copains musiciens (passaient au Refrain)
alors que je revenais déjà au Couplet (toujours sans perdre le Tempo)
avec la stupéfaction de me demander en même temps où l’on en était vraiment
dans le morceau sans pour autant (le laisser s’échapper) d’autant
que le moment de mon Solo de Bass (en Slip) approchait à grand rythme,
c’est alors que je retrouvais soudain toute la complicité de tous les musiciens
du Groupe juste avant de commencer à jouer (son Solo de Bass) en
Slap qui ce soir là sous les étoiles emporta bien des spectatrices (jusqu’au ciel) avec
encore des applaudissements & bien des cris passionnés (ou passionnels d’amour
love) qui m’emportèrent moi-même jusqu’au ciel (sur un nuage de
bonheur) tout semblait ainsi nous mener à un grand
succès international lorsque soudain le gros projecteur de « la
Poursuite » s’alluma en plein sur le Chanteur « Sergio » (de Monté Carlos) qui
d’un coup d’œil complice nous dit alors
« Zut… ils m’ont
retrouvé ! »
… il en fut lui-même très surpris car il
s’était justement laissé poussé la barbe (pour pas qu’on le reconnaisse)
mais toujours éclairé sous la lumière puissante de la « Poursuite »
il devait continuer de chanter devant toutes les spectatrices (en folie d’amour love)
comme si de rien n’était alors que nous échangions des
regards interrogateurs en nous demandant bien comment nous allions faire pour
quitter la scène sans nous faire attraper par cette vague surprenante (de jolies Chéries en
effervescence) et après bien des secondes des plus intenses
(en
frénésie d’impatience) il en fut maintenant d’une apothéose
extraordinaire en bouquet de lumières sous un véritable océan d’applaudissements
(&
d’acclamations hystériques) qui nous fit verser (bien des larmes
d’émotion) si bien que dès que la scène fut plongée
dans le noir nous filâmes rapidement (sur la pointe des pattes)
alors que déjà le Groupe suivant prenait place, je croisais alors dans le
Backstage la jolie Chanteuse « funny love » qui allait chanter
maintenant (avec son
look « Cool Punk ») qui me regarda relax toute
joyeuse pour me faire un gros bisou…
« Si tu veux tu peux
aller au Club avec tes copains pour raconter la suite ! » dit
alors Chérie Love un peu
émoustillée
… C’est bien la peine
d’avoir une belle Villa de 600 m2 ! (Répondit Mimi Lion’s)
… ce qui amusa beaucoup toutes les jolies
Chéries qui nous écoutaient avec passion (en palpitant d’amour love) « Que je t’aime, que je t’aime, que je
t’aime… » chanta soudain (A Cappella) l’un de nos invités pour
essayer d’apaiser les humeurs de la jolie Chérie Love (qui en redevint toute
radieuse) alors que je chantais à mon tour « Je rêve i’m dreaming, dreaming,
dreaming… je t’aime i’m dreaming tu es si jolie… » un air que tout le
monde repris ensuite (en chœurs) « Jolie, jolie, jolie, jolie… » comme une magnifique
mélodie d’amour love en harmonie « Jolie,
jolie, jolie, jolie… » qui parcouru même ce soir là sous les étoiles
la Terre toute entière (dans une onde magique d’amour love)
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