Enquête, Témoignage &
Hypothèses
Crash Car
Paris 21 juin 1987 à Juin 1989 / Rennes 2012
à 2015
Accusations
Accident de voiture criminel
Ostéites criminelles
Tentatives
de meurtre
Emmanuel DIGNAT Emmanuel DIGNAT
(avec ses jolies Chéries &
la jolie Daisy de Mc Do !) (With all his pretty Chéries & the lovely “Ô”!)
Golden Spring's Consulting Golden Spring's Consulting
Projectives & Stratégies Culturelles
Internationales International Projective & Cultural Strategies
Consulting,
Creation & PubliConsulting, Creation
& Publishing
… sur honoraires !
(si pratique aujourd’hui de ne pas payer
avec les Computers !)
. Extraits de
son « Journal des étoiles » (Actes
1, II & III) ainsi que des annexes de sa Thèse « GO ! (Thesis) » et « for the best choice »
de Janvier à Avril 2014 (Cass Computer)
puis de Juin 2014 jusqu’à ce jour en 2015
. Suivi de
toutes les réflexions de recherches, enquêtes, études, analyses ou hypothèses
menées de 2001 à 2004 à Paris (voir
« Journal de Justice » écrit à cette époque)
. À
compléter avec ses réflexions en lien avec ces crimes suite à l’infection bactérienne
au Tibia à Rennes de Juillet 2014 à Juillet 2015 de même que l’infection
crânienne de Août 2012 à Rennes encore qui a demandé une nouvelle intervention
chirurgicale à Rennes (CHU Ponchailloux)
avec retrait du volet crânien suivi d’un traitement antibiotique sous perfusion
permanente pendant 2 mois ainsi que des menaces de mort ou d’accident lors de
la repose d’un autre volet crânien d’où un ajournement dans l’attente de
quitter le territoire français pour cette opération chirurgicale
Cruauté, injustice, exploitation
09 Février 2014 / 02:00
J'ai peut-être
encore quelques mois de « sale
régime ! » ici à Rennes « d'une ignoble cruauté » à endurer mais
« eux » ce sera bien des années… Parmi « les chefs d'accusation » on retiendra encore « la prise d'otages multiples »
je leur dis alors « on » va débarquer « synchro » (voir
les films d’action américains pour voir un peu comment ça va se passer...)
Après la
relecture de mon scénario « You
Sea (notes) »
à 08:51 j'ai cru entendre alentour « Petite
tête de con »... « Tu ne partiras pas d'ici vivant » ou la
même chose avec « Merci petite tête
de con »... dans tous les cas mon film « You Sea
(notes) » dont j'ai écrit le scénario fin 2013 d’après mon Blog de
2011 est bien un Chef d'œuvre magnifique, un Blockbuster !
PREUVES
« babies, exploitation sous menace, effroyable cruauté »
Ainsi avec elles
(certaines) & sous menaces des « ils »
généralement armés, ainsi « ils » avec certaines m'ont bien fait suer
à grosses gouttes de larmes « seul » dans mon lit, ainsi il y eut des
inondations dans la région de Bretagne voilà qu’elles en ont été mes
« récompenses » au lieu de pouvoir
m'aimer vraiment (& millionnaire) alors que j'avais
tant donné de mon amour., ma vie aussi... de même lorsqu'ils continuèrent
de m'empoisonner quelques années auparavant les algues mortelles se répandirent
sur leurs plages (Diaboulous Jesous)
… so they try to kill
me now!
Ainsi toujours l'on
refuse de me payer (for
all our shining loves master peaces, so many millions too) tous ces chefs d’œuvres ou
consulting qu'ils ont pourtant pillé, volé en toute illégalité, crime,
déloyauté & corruption... « vous » verrez ensuite combien de
milliards (entre autres) vous allez perdre, de même sans doute pour mes « loves
baby loves » océan de chagrin alors que j'ai apporté
tant de milliards, sauvé tant de millions de vies avec aujourd'hui encore tant
de larmes sur mon cœur, larmes de sang... c'est dire encore ce qui pourrait
survenir… je pensais d’ailleurs que j'allais avoir avec le temps une jolie « baby love» avec la jolie Coconut’s
(so class)
que j’avais rencontré en 2010 cela avait fait naître aussi un bonheur extraordinaire
en moi...
...
survient alors le « Bang Psy 3 ! » à Rennes en
Octobre 2010 !
(Synthèse)
Toujours « le même type de coups » sales
coups frappés dans le dos en rapport avec mon affectif ou mon désir de « futures babies »,
ma sexualité aussi, des sales coups en toute déloyauté suivis d’une série de « Chocs » des plus violents, d’une manière
ou d’une autre comme hier, avant hier... et tant de fois encore de
différentes manière, toujours avec « l'air
de rien » & « comme par
hasard »
Alors
que ces salauds venaient de me faire arrêté à domicile j’étais en train de
terminer l’écriture de ma comédie musicale « Planète
Joy » avec la jolie Coconut’s, bien des chorégraphies
majestueuses encore avec « Sool & Cool » (Sool
c'est Coconut's & Cool c'est moi) je lui chantais ensuite mes jolies « love song »
à l'asile psy en regardant par la fenêtre passer les avions dans le ciel...
(j'ai composé ainsi mon album
« Song's fly »)
PREUVE
« Exploitation
de mes œuvres créées suite « aux amours naissants » ou
« mourants », cruauté, perversion, ostéite crânienne d'origine
criminelle »
Après la relecture de « for the
Best Choice !» (compléments de ma thèse « GO ! (Thesis) » (voir pré-plan page 19 à 21)
Conclusions…
« se délecter de l'amour
naissant » ou des « dernières
lueurs de l'amour » beaucoup de millions d’euros bien sûr l'affaire « Coconuts »
en 2010 est bien en lien avec l'affaire « Mélissa » en
2013 & 2014 similitudes multiples « les dernières lueurs de l'amour » surtout quand « le beau mec blessé,
défiguré » suite à une soudaine « infection
crânienne » est en situation de « perdre sa vie » ou en tous cas d’en vivre un peu
les ultimes instants...
… cela implique donc que cette « infection crânienne » est
bien d'origine criminelle !
La « même affaire » avec « un
cran au-dessus » plus grave, plus cruelle encore en espérant
aussi que la production de l'artiste soit encore meilleure, toujours plus de
millions d’euros aussi pour les meilleurs effets sur les publics ou populations
ainsi que les soit disant « auteurs » ou initiateurs ou « têtes d'affiches » qui ne
sont en vérité que des escrocs, crapules, voleurs ou usurpateurs !
liens crimes, vols,
Bangs Psy Rennes Paris
(& Crash-car)
Cela pourrait aussi prouver que les
infections crâniennes précédentes en série à Paris de Septembre 1987 à Juin
1988 étaient bien aussi d'origine criminelle, cela nous amène donc volontiers à
penser que le « Crash car »
de Juin 1987 n'était pas un accident mais plutôt « une tentative de
meurtre » ou en tous cas une volonté de « briser
quelqu'un » (lui Emmanuel
DIGNAT) un lien évident encore avec les intervenants du « Bang Psy 1 »
ainsi que du « Bang
Psy 2 » (à Paris en 2004 & 2006) et les actions qui ont
menées au « Bang
Psy 3 » à Rennes en 2010
Bien sûr la production artistique de Mr
Emmanuel DIGNAT est des plus heureuses, ultra-positives avec des « arguments » affectifs,
sociologiques particulièrement forts, beaux, magnifiques dans un style unique,
original & authentique le tout ayant de quoi séduire bien des publics ou
populations internationales, Emmanuel DIGNAT est un véritable « faiseur de
Tube's » & de « Best Sellers » comme on le dit pour
les auteurs à grand succès, on peut ainsi estimer les montants des dommages
& intérêts tant pour les book que pour les movie, comédies musicales (ou « love song » )
(Prévoir
sécurité du Palais de Justice à Paris sinon ces salauds se feront tuer par la
foule...)
10 Février 2014/08:48
« Système d'espionnage »,
diffusion d'infos confidentielles sur sa vie privée,
violences, viols, vols de ses œuvres
(S’adressant aux inculpés)
On vous donne des « infos privées »
qui accusent quelqu'un que vous accusez à votre tour, condamnez, frappez sans
même prendre soin d'avoir été trouver cette personne (Emmanuel DIGNAT) ni
demander ou vérifier la validité de ces infos, ni même encore vous interroger
sur la provenance de ces infos... c'est bien que vous êtes complices...*
Il y
a donc bien un « système d'espionnage» (officiel non-officiel) de vol et de « dispatche » des œuvres, réflexions, consulting, attitudes
ou vie privée, intime aussi des plus cruels, toujours sans doute encore ces « expérimentations
psycho-affectives » ou de résilience de toute cruauté pour en
« dispatcher » ensuite les fruits ou la récolte auprès de différents « commanditaires »
ou complices avec aussi revente, profits multiples & Business qui
représente bien des millions & dizaines de millions d'euros sur le dos de
Mr Emmanuel DIGNAT & de ses associées ou partenaires les « loves
beauties » ou « jolies Chéries » un système mis en place depuis
très longtemps en France à Paris comme à Rennes avec un effroyable pillage si
bénéfique de ses œuvres & de sa vie de succès
15 Février 2014/ 20:10
Rappel historique du « système »
(cassage
de personnalité)
Des musiques déjà ou autres projectives
de succès avant le « Crash car » de 1987 à Rueil-Malmaison puis
ensuite encore à partir de 1992 à Thoiry toute la production d'œuvres
littéraires et cinématographiques ou télévisuelles ainsi qu'à Paris ensuite dès
1999 musiques encore, œuvres artistiques de création, comédies musicales,
essais, romans, poésie, création de sociétés, concepts, études, réflexions et
l'on sait ce qui s’en est suivi alors que Mr Emmanuel DIGNAT était en plein
succès, toujours aussi dans le but de faire fortune, devenir millionnaire même
s'il a aussi des vues philanthropiques une arrestation arbitraire, illégale en Juin
2004 (le Bang Psy 1) suivi d’un internement en psy avec un
« cassage de sa
personnalité », de son élan de vie, de succès, de cœur... encore un
même sale coup renouvelé en 2006 alors qu'il avait tout préparé pour demander
Justice... cassage total, effroyable, avec empoisonnement suivi d'un déracinement des plus cruel à Rennes en Mars
2007...
A nouveau bien plus tard en 2009 se relevant
de la « mort » Emmanuel DIGNAT reprend sa production d'œuvres
magnifiques mais il en est encore de pillages, de « cassages de
personnalité » suivis par un troisième internement épouvantable en Octobre
2010 à Rennes avec à nouveau depuis Octobre 2013 tout un système de pillages,
« incitations » qui ne se révèlent être que des fausses espérances,
mensonges, tromperies par de véritables professionnels de l’escroquerie, de
l’extorsion avec des vols en série toujours sous menaces
« administratives » bien sûr, l’enquête doit aussi se poursuivre dans
le village et le voisinage des Parents de Mr Emmanuel DIGNAT à « Mûr de
Bretagne », des parents qui d’ailleurs à la suite de leur installation en
ces lieux ont changé radicalement en la défaveur de leur fils malgré ses
incroyables qualités avec encore toujours de bien étranges coïncidences en
rapport avec des événements relatifs à la vie privée de Mr Emmanuel DIGNAT à
Rennes...
« Le
Vilain petit Canard »
de Boris Cyrulnic
Très
bel ouvrage, émouvant, sensible... un grand pas en avant à propos de « résilience »...
j'en ai lu aussi un autre du même auteur ( ? )
Ceci a
probablement donné aux « auteurs » du « Crash Car » l'idée
de poursuivre leurs « recherches » par d'autres expérimentations
Le « Crash
Car »
(21 Juin 1987 après minuit...)
Je reprends
connaissance 2 ou 3 jours après l'accident de voiture, j'étais en coma « soporifique » c'est à dire artificiel,
provoqué par traitement parce que le corps, le cerveau ou la conscience ne peut
supporter une telle douleur (je n'ai pas été dans le « coma »
habituellement parlé) je reprends connaissance juste avant d'être
embarqué dans un hélicoptère, sur l'aire d'embarcation, j'étais sur un brancard
avec des roulettes, presque sans vie, je voulais qu'ils m'emmènent, l'attente
me semblait longue, ils discutaient comme s'il y avait un doute, j'étais
inquiet, ils m'ont finalement embarqué, j'ai dû perdre connaissance à nouveau,
ensuite je me suis retrouvé dans les airs, j'étais sur le bord gauche de
l'hélicoptère, il était blanc, je crois bien que je voyais le bleu du ciel, on
m'a emmené à Paris...
J’avais été opéré à l’hôpital à Saint Germain en Laye dans la banlieue
Ouest (des
pro) je venais de passer un scanner à l’hôpital Beaujon un peu
plus loin où ils avaient détecté un hématome extradural (entre la dure-mère
qui protège le cerveau et l’os crânien)
Je venais d'être opéré
pendant 17 heures par de grands spécialistes avec des équipes extraordinaires (le Pr Cohen) j'étais polytraumatisé (et ça
continue d'autres manières...) déjà peu de chance de survie (moins
de 5%) il fallait encore m'opérer d'urgence suite au choc (du pare brise
?) sur mon crâne, l’hématome n’était pas très important mais ils redoutaient
cependant que cela puisse faire « pression » et ne voulait pas
prendre le moindre risque... je me retrouvais donc après un vol rapide en
hélicoptère à l’hôpital « de la Pitié-Salpétrière » à Paris en
Neurochirurgie dans le service du Pr Philippon pour une intervention
chirurgicale par le Dr Grob ensuite la réanimation pendant 3 semaines, les
« soins intensifs » (j'aimerais aussi maintenant des « bisous
intensifs »)
… a success to save a life !
MELISSA, ANGELA & MIMINOU (so lovely
in admiration)
As a shining master peace !
J'ai des souvenirs bien sûr (j'écrirais
peut-être un autre livre si on me paye...) dès que j'ai retrouvé un peu de
force je cherchais la nuit à « m'échapper » (dans mon lit j'avais
des attaches en « scratch » et des barrières) je suis doué, avant
je grimpais aux arbres, l’instinct de survie sans doute, j'arrivais quand même
à descendre du lit malgré 5 fractures à la jambe, au bassin, à la mâchoire
aussi... une fois je suis même tombé sur le sol, je me suis fais très mal, j'ai
d’ailleurs été réprimandé par la surveillante qui faisait son tour de garde
mais dans l’ensemble autour de moi
beaucoup d'attentions, de bienveillance, d'humanité aussi mais de
grandes souffrance surtout... je crois que je voulais « m'échapper »
sans doute pour essayer de « fuir » la douleur, le lieu mais surtout
par réflexe de survie... une épreuve très éprouvante à l'extrême limite de ce
qu'une vie peut supporter… et encore... je pense qu'il y en a beaucoup qui
n'auraient pas survécu...
ANGE (artiste
in light hoping other good business)
Finalement,
même si on me payait je n'aurais pas envie d'écrire ce livre !
MELISSA,
ANGELA & MIMINOU (so charming love dreaming love)
Désolé...
We have so many other master peaces to
do!
ANGE (Teeling in
light his life story)
Rien ne peut
m'arrêter...
Je suis sorti de
réanimation 2 ou 3 semaines plus tard, j'étais dans une chambre seule (& seul) il y avait cependant des jolies Beauties de Guadeloupe ou de Martinique
avec un feeling absolument charmant... à peine arrivé dans ma chambre je suis descendu du lit sur une jambe, j'ai
glissé sur un pied jusqu'à la salle de bain et là je me suis vu... je me suis regardé
dans les yeux... je me suis dit quelque chose comme ça
« Putain... nom de
Dieu... »
MIMINOU
(so lovely
dreaming love)
… il va
falloir tout recommencer !
Avant mon
« Crash car » je venais juste d'avoir 23 ans, j'étais dans une (shining way so
shining...) beau, élégant, musicien & compositeur
déjà très doué, un album de « music »
en cours, d'excellentes perspectives professionnelles avec un stage prévu
dans une grande agence de communication avant ma dernière année, j'avais
tellement de points d'avance que je pouvais passer en troisième année avec
seulement 2/20 de moyenne aux examens du troisième trimestre... une jolie copine
aussi (charmante) j'étais très bon
nageur à 5 minutes de la piscine, je pensais une pomme chaque jour, j'en
mangeais une aussi avec l'espérance toujours si forte en mon cœur de revoir
« la belle Noire de Californie »
MELISSA (lovely actress in « You Sea » film)
… qui avait
changée sa vie !
ANGE (lovely lover)
Et emportée mon
cœur !
Et là
je me vois (dans
quel état !) c'était
bien moi... hélas, il fallait « faire avec » ... déjà pour commencer
j'avais maigri de 12 ou 15 kilo (il faisait plus que 53 kg au lieu d'environ 70 pour 1.83
m) ... je ressemblais vraiment à un « rescapé »
avec de la peau sur les os... une
cicatrice encore à vif sur le ventre (plus de 20 points de suture) et
quand à mon visage d'Ange très amaigri aussi la peau bleutée, les yeux noyés
dans le rouge de mon sang, cicatrices violettes sur l'œil gauche (il a manqué
de perdre un œil) la
lèvre inférieure déchirée (lui qui avait une lippe si sexy...) le
crâne rasé (il
avait de beaux cheveux mi long légèrement dorés...) je ne crois pas me souvenir que j'avais un
pansement sur le crâne, je pense au contraire bien voir la cicatrice d'au moins
20 points de suture encore qui me déchirait le cuir chevelu avec encore au moins 70 centimètres de
cicatrices le long de la jambe (et sur la fesse gauche...) c'est
dire aussi la force qu'il faut avoir... dire d'où je revenais... dans
« vos dimensions » vous
pouvez aussi essayer à 90 ou 100 kms à l'heure, sans freins, vous vous tapez un
pylône
MELISSA
(dreaming
lovely hollydays)
… la nuit sous les étoiles
Pour survivre j'étais
aussi « ailleurs » (mais là il faut payer pour savoir) ça se
voit quand même dans mes créations artistiques
ANGE (so magic
man)
Je n'étais pas seul !
« Crash
car »
J'ai écrit « Je
n'étais pas seul » en pensant au moment où je me voyais dans le miroir
mais je pense aussi que lors de cet accident il y a eu une cause
« extérieure »... j'étais déjà un excellent conducteur je disais « Comme un chauffeur de Taxi qui a un
peu de nerf quand on est pressé » ... quand je me suis vu dans le
« miroir magic » j'ai donc pensé « Putain...
il faut tout recommencer... » (une immense dynamique d'évolutions on loves shining
waves...) je me suis regardé dans les yeux...
J'ai vu que je n'étais pas seul
Le soir de l'accident j'étais très bien
habillé... un pantalon large à pince vert forêt, un Liberto, très classe, mon blouson marron clair
de cuir souple Chevignon, mes chaussures Richelieu Weston... une
très belle chemise bleu nuit avec des toutes petites lumières (incrustées)
comme des toutes petites étoiles qu'on voit de loin...
MELISSA (so lovely charming)
Elle est belle ta chemise...
ANGE (lovely
artiste in love)
Qu'est-ce qu'elle m'a manqué(e)
celle-là !
Avec une petite réflexion « free » sur
l'accord du participe passé avec « être » ou « avoir » au
féminin « elle a manqué à moi »
quand le complément d'objet direct « moi » est placé avant pour
finalement en déduire que celle qui « m'a
manqué(e) » féminine donc, s'accorderait bien avec un « e »...
et je me demande encore... (le langage est une dynamique d'évolution, un flux de
richesses...) comme je
le sais depuis longtemps... (d'autres
aussi...) qui ont regardé par dessus mon épaule...
MELISSA (charming love)
Encore
avec « être » « ou » « avoir »
ANGE (on lights
philosophic waves)
Un peu de tendre philosophie...
MIMINOU (dreaming so
lovely dreams)
flying avec toi...
ANGE (lovely “l’air de rien”)
Comme ça avec le « ou » inclusif...
MELISSA (lovely
suggestive)
Ou exclusive...
ANGE (so lovely winner “Chance man”)
On a les deux !
...
à propos du « Crash
car »
A ceux qui m'embêtent parfois
presque à me tuer je ne « vous » le souhaite pas même si je voudrais
vous voir griller en Enfer mais ce n'est pas pour « vous » c'est pour
« le Personnel » car c'est très
éprouvant de voir autant de souffrances, en plus ça coûte très cher (Il a fait
de la comptabilité analytique) aussi pour qu'ils & elles (il y a
beaucoup de elles) puissent se reposer un peu le week-end (cela se comprend aisément...)
(non, non
les 3 petits points ce n'est pas des points de sutures !) je
leur laisse donc la parole pour qu'ils « &
elles » vous disent
« Il y a toujours bien mieux à faire
dans la vie ! »
... for
exemple !
MELISSA (so happy
dreaming love dreams)
Singing love songs...
ANGE (in light aux Anges)
Surtout avec les jolies Chéries !
« Le Cercle des poètes
Disparus »
un beau film avec Robin Williams
autres
flux...
autres flux ?
Dans le corps humain ou humaine nous avons
beaucoup d'eau mais aussi quelques litres de sang during my « Crash Car » j'ai perdu
beaucoup de sang, peut-être ¼ ou 1/3 j'ai donc été transfusé avec des pochettes c'est dire tout ce qui
bouillonne aujourd'hui, moi qui avait déjà du sang Espagnol on pourrait presque
parler d'un « bouillon de cultures »... le sang c'est aussi la vie, il
n'y a qu'une seule couleur dans l'humanité avec de légères nuances suivant les
variations de lumières, je suis donc devenu (un mutant) avec
mon « Mix Blood » (j'ai passé des tests il n'y a pas de
problème...)
« Blood » avec 2 « Ô » comme l'eau et H2O c'est
l'air qui fait la chanson...
La chanson ?
D'amour love...
A nouveau, alors que les choses
avancent pour moi dans le bon sens, avec aussi l'écriture de mon superbe
ouvrage « flying ideas » je suis victime d'un deuxième « Bang Psy ! » fatal en
2006, effroyable abus, effrayante injustice, véritable meurtre (non-life flux)
qu'on pourra analyser (reprendre notes) une Thèse c'est des
années, des années de recherches, réflexions, feelings de différentes formes et
sous différentes formes...
Démonstration par l'exemple concret des
« esprits arriérés »
Entre
autres ce sont des malades qui se cherchent des exutoires (voir plus haut « non-life
flux »)
Web movie's (suite)
Après le deuxième « Bang Psy
! (fatal en Juillet
2006 à Paris) je suis encore un fois complètement brisé (emprisonné en
internement psy 3 mois) où je fini d'écrire « flying ideas » sur des grand cahiers noir(e)s
avec mes dernières gouttes de sang empoisonné gravement avec ensuite des
piqûres obligatoires sous menace permanente d'être interné à nouveau, j'étais à
moitié mort, comme un légume, écroulé toute la journée, je ne pouvais plus rien
faire ou presque. Avant ce « traitement » j’étais éveillé 17 à 18
heures par jour avec 12 ou 16 heures de travail avec 5 à 7 heures de sommeil
mais à la suite de ce « traitement » je me suis retrouvé ensuite à
dormir avec difficulté environ 10 heures par jour, obligé même de prendre des
somnifères, c'était effroyable, écroulé encore chaque jour pendant 7 ou 8 heures,
j'avais à peine 4 ou 6 heures de survie, chaque geste demandait un effort
considérable (poison flux) se
retrouver dans un tel « état » était un véritable calvaire à subir, j'essayais cependant de redémarrer peu à peu (avec la volonté de pouvoir ensuite quitter
la France) en suivant un bilan de compétences & d’aptitude avec une
société « Adequation » à Paris, j'étais vraiment très abimé, sous
« contrôle » avec obligation de suivi de santé sous menaces, perte de
l’usage de mon compte en banque, mise en place d’une curatelle, je me suis
retrouvé suite à ces crimes dans l’impossibilité de pouvoir reprendre mon
travail d’auteur, musicien, créateur de société ou toutes les autres pistes qui
étaient en cours (ma thèse de sociologie,
un job salarié en production, un job de consultant...) j'étais tellement
abimé que je cherchais à reprendre une formation professionnelle courte pour
essayer de me rétablir dans l'attente que cesse cet effroyable calvaire qui me
rendait la vie insupportable à chaque instant, en plus j'avais perdu mon
logement à Paris, il y avait cependant le temps d'en retrouver un autre car
j'avais été prévenu 7 ou 8 mois à l'avance mais tout à été fait pour contrarier
ma volonté de rester à Paris ou dans la région parisienne, sachant aussi que j'avais
peu de latitude d’action, tout avait été fait avec préméditation pour me mettre
« KO » (knock out) ça s'appelle aussi un meurtre « l'air de rien » sans
possibilité de demander Justice, ni vraiment de pouvoir réagir, en me
déracinant ensuite malgré en déportation à
Rennes, une ville que je ne connaissais pas, où je ne voulais pas aller
pour y être venu une seule fois, je me retrouvais le cœur en sang, ma vie
déchirée, mon avenir brisé tout comme ma fortune, loin de Paris « ma ville » où je pouvais
disposer de beaucoup de ressources, d'ami(e)s, de relations, de possibilité de
rebondir, toujours de pouvoir faire fortune, un déracinement des plus cruels
avec une volonté conscience d’essayer encore à nouveau « de m'arracher le cœur » puisque j'avais tant de liens
affectifs, à la fois avec ma famille des « Champs
Elysées » mais aussi surtout avec « mes jolies love Beauties
de Château-Rouge » (love life flux)
BG° Crash Car !
Toujours à
m’envoler vers le succès je me suis retrouvé soudain à venir habiter dans
l'Ouest de la région parisienne alors
que j'ai tout juste 17 ans (& une
belle Bass) il y a bien
sûr dans toute la région de très beaux coins de banlieue très sympa (comme des
petites îles...) c'est déjà mon 3 ème déménagement ma 7
ème école « new
loves new feelings » je compose peu après mon premier « Tube's » à la Bass
devenu « One day in my life » avec encore des idées magnifiques pour réaliser
des « Clip's
Vidéo » (de charme)
c'était assez nouveau à l'époque, je n'avais pas renoncé pour autant à piloter
un avion avec même la chance d’avoir un aérodrome tout près d'Osny où
j'habitais où l'on pouvait apprendre à piloter un petit avion (un petit Jet !) il faut aussi un
niveau minimum de capacités, suivre des cours (sur
simulateurs de vol) avec
encore des heures de vol ou examens & vol plané (flying loves) ... en ce même
temps si l’on avait pû faire un « Tube's » avec mon Groupe Alice cela
aurait été un bon départ dans la vie avec
« Cocotiers » par exemple
... feeling so funky !
A 21 ans déjà je
commence à créer un Studio de musique pour produire des Packs «
Star Tube's !» avec mon ami & associé « Golden Boy » & sous
la bénédiction (du grand philosophe « Richard ») alors
que j’étais tout juste en première ou deuxième année de mon école de management
aussi en soi (une shining
ways...) en jouant avec mes relations pro du Show
business, celles de mes associés, déjà des « Star’s !»
ou Studios d’enregistrement, financiers potentiels, musiciens ou compositeur
mais surtout une charmante productrice...
(& bien d'autres encore...)
Je compose
ensuite mon premier album « Optimistic »
avec mon
petit « music home studio » (4 pistes)
un album surtout de musique (avec des
chœurs) mais aussi quelques chansons comme « You went so fast... »
je voulais même présenter un titre musical pour le gala de fin d'année
de l'école qui a lieu dans une grande salle à Paris comme la salle Wagram (ou l’hôtel Intercontinental ?) ... j'avais
fait un dessin magnifique de la scène avec en décors des colonnes romaines (pour une internationale Touch !) ...
un « Manneken Pis » sur l'une... (une tour Eiffel
sur une autre) peut-être encore une « Tour de Pise » ou
bien « la Statue de la Liberté » (c'est un
lien...) je voulais jouer avec quelques musiciens l’une de mes
compositions, une musique spatiale jouée essentiellement avec des synthés &
séquencers sur un groove « disco soul » un peu « générique »...
(en rebond) & en élan vers l'avenir sans
oublier une Bass « plutôt
funky » j’avais d’ailleurs préparé (en
cachette) encore un tout nouveau « Tube’s ! »
international pour ma jolie Nelda (la belle Noire
de Californie)
(And to take the plane !)
Fracture
du Scaphoïde
L'année précédente j'avais été ennuyé
avec une fracture ancienne du scaphoïde au pouce de la main droite qui a
demandé une intervention avec greffe de moelle osseuse (qui a été prise dans l'os de mon bassin) par un très grand
professeur vraiment bien à tous points de vue « le Pr Benoit »
(Ambroise Paré à Boulogne) c'était
avant les grandes vacances, je suis plâtré jusqu'à l'épaule pendant au moins 2
deux mois autrement j'aurais pû perdre la mobilité de mon pouce et articulation
du poignet ce qui aurait compromis très fortement mon avenir de musicien, le
Professeur me dit de continuer à jouer de la basse en virtuose ça veut déjà
dire beaucoup (c'était l'os illiaque) comme
Lilliade & l'Odyssée...
... après une
épreuve
(Réflexion de synthèse)
A l'origine de la fracture du scaphoïde une
chute dans le parc d'un château le soir en été j'ai voulu prendre un raccourci
je suis tombé de 4 mètres 50 dans des buissons, je ne m'y attendais pas,
c'était avec la bande des proches, une jolie « gonzesse » parce qu'on
s'était embrassés avec en plus elle était belle, cool, sensuelle, sans
complexes (je me préparais à partir pour
Paris) (...
de tendres au revoir) on devait aller à la ville en mobylette
avec « la bande des proches » qui est partie devant en prenant
un sentier que je connaissais pas qui descendait en pente douce le long d'un
mur, il n'y avait pas d'éclairage, j'étais donc en retard, j'ai voulu les
rattraper, bondissant de joie, je suis allé tout droit, je croyais que c'était
un muret d'un mètre 20 je suis tombé de 4 mètres 50 dans des buissons avant de
taper le sol (en terre) j'ai pas eu
le temps de réaliser, j'ai eu très mal sur le coup (et
après) mais j'ai encaissé le choc, la jolie
« Gonzesse » elle a bien dû me porter chance car j'aurais pû me faire
beaucoup plus mal...
J'avais été voir un
médecin un ou deux ans (à Osny) après
qui pensait que c'était pas grave, c'est pas toujours facile à détecter, plus
de 4 ans plus tard alors que je souffrais toujours, j'avais déménagé (à Rueil Malmaison) j' ai connu un autre
médecin vraiment très bien qui m'a fait passer des examens, il y avait une
nécrose de l'os suite à la fracture...
« Nécrose » c'est aussi
un terme sociologique
Une sorte de
« mort de la vie » quand une société ou un groupe social ne s'ouvre
pas aux autres, à la nouveauté aux progrès, à l'avenir, aux évolutions (aucune société ou groupe n'y résiste) c'est
de l'archaïsme qui peut devenir assassin avec toutes les perturbations
génétiques, comportementales et psychologiques qui peuvent en résulter... cet
incident qui a entrainé tant de réflexions et de recherches est aussi l'une de
mes motivations que j'ai commencé à « appliquer » aussi au sein de ma
propre famille ou des groupes socio que j’ai rencontré (aussi pour m’en défendre) en parlant toujours de pistes et d'idées
d'évolutions au sens large (là encore on s'est bien nourri de moi) comme aujourd’hui à Rennes dès 2007...
On profite
de moi quand je suis en plein essor ensuite on se sert de moi comme exutoire !
Par exemple dans la
réalité depuis le deuxième « bang Psy
! » (en 2006 Maison de Santé d’Epinay) on voit aussi les mauvaises
incidences des lieux nécrosés dans le comportement et l'attitude de gens avant
acceptables qui ont eu le malheur de venir y habiter, l'autre réaction des
archaïques nécrosés c'est la vampirisation des lumières, des leaders avec encore
le phénomène d'essayer de s'approprier des « miettes de lumières » et
ensuite d'assassiner celui ou celle qu'ils ont vampirisé ou de s'en servir
comme exutoire, de véritables « poches critiques » qui génèrent des « non life flux »...
le « book Crash
Car »
(à tout
juste 23 ans en juin 1987)
Après, très vite rétabli,
je voulais écrire un livre sur mon expérience, la chance que j'avais eu « Quand on a vu ce que j'ai vu malgré
ce que j'avais » (Rap's) cela me
semblait très relatif pourtant j'étais quand même bien abimé, j'avais manqué de perdre la vie, j'aurais donc
pû gagner « un
bon pactole » pour
me relancer, l'éventuelle conséquence et récompense d'un bel ouvrage mais
surtout, je pense que chez moi c'est « instinctif »
de toujours vouloir m'en sortir quoi qu'il arrive avec ce que je sais faire de
mieux, « intuitif » aussi « feeling light » surtout, l'expression
artistique qui puisse me permettre de vivre donc gagner de l'argent (comme tout le monde) mais avec une volonté de bien faire (je ferai pas n'importe quoi pour de
l'argent... la preuve c'est que j'en ai toujours pas mais si on m'avait payé je
serais millionnaire) comme tout le monde mais avec à mes yeux une portée
plus importante pour en gagner plus, cela rejoint ma volonté de pouvoir « avoir la paix » faire ma
musique avec mes loves beauties par
exemple...
… as i
love (« if we love» )as you love
En
synthèse...
Faire d'une
épreuve, d'un chagrin quelque chose de positif, ce beau book « so bobo » de plus,
stratégiquement aurait pû financer une relance « Business dans un sens artistique » qui aurait pû rejoindre la musique, je
pensais m'en sortir vite mais j'ai eu des complications de santé qui semblaient
au départ « explicables » mais au vu des « répétitions » en
série permettent aussi qu'on se pose bien des questions (8 interventions chirurgicales au crâne) c'est aussi pour ça que...
« ce je pense, ce que je crée coûte cher » (Rap's)
Oui c'est cher mais...
ANGE (The miracle Mimi lion's)
Toujours à essayer de
tenir le coup tout en buvant la tasse...
MIMINOU
(so
lovely)
C'était pas une
tasse de Thé à la Vanille !
Chance toujours & projectives
Quelques mois plus
tard après mon hospitalisation suite au Crash Car, revenu à la maison je me
sentais un peu culpabilisé... je reprends mes études dans mon école de
management, l’envie bien sûr de pouvoir
ensuite faire un grand voyage, je revends alors tout mon matériel de musique (un petit « home studio ») sauf
ma Basse, je fais des placements en Bourse qui s'avèrent ultra rentables, je
suis aussi très informé de l'économie bien sûr aussi « formaté pour faire du fric !»
avec plus ou moins d'éthique, ressentir les « shining ways » (70
% de gain en Bourse sur l’équivalent d’ une année de Décembre 1987 à Juillet
1988 avec mes actions « Matra » / « Bouygues » /
« TF1 » & « Société Générale » revendues plus tard en
1989 avec léger bénéfice où j’avais mon Compte Bancaire au Siège à
Neuilly-Sur-Seine Avenue Charles de Gaule) un grain très appréciable pour
financer mon voyage aux USA en Californie, si j'avais pû placer 5 millions
d'euros par exemple qu'on m'aurait prêté (une goutte
d'eau dans la finance) pour certain(e)s c'est un caprice, je serais
devenu millionnaire avec 3 millions et demi d’euros de « plus value »
(à 24 ans) il m'aurait fallu vite filer en Suisse (où
ailleurs sous les cocotiers)
le Crash car
En y
repensant j'ai d'ailleurs écrit qu'au moment du crash j'ai « puisé »
de la force dans le pylône et les piliers d’un pont en béton environnant (il y avait un pont 150 mètres plus loin)
j'étais en pleine forme physique, à tous points de vues (voir les recherches
dans le dossier « Accident Car » en 2001-2002)
Plus
tard encore d'autres « incidents »
Après avoir été victime de graves chocs, une
vie brisé, déraciné ici contre ma volonté à Rennes (je n'étais pas à Saint-Tropez) un homme brisé en plein succès (en 2004 puis 2006) humilié, maltraité,
coups au cœur, à la dignité, avenir brisé, empoisonné par des médicaments, un véritable
meurtre, une situation insupportable pour un gentleman aussi brillant devant
endurer une telle situation de souffrance qui m'a placé en toute cruauté à devoir
envisager l'hypothèse du suicide (et c'est
pas drôle à endurer...) quand on est très intelligent on est d’ailleurs capable
de tout envisager, à tous points de vue, il faut aussi trouver en soi une
sacrée force pour survivre
« how we done to survive !»
(un livre à écrire, pas gratuitement... il a des charges)
... à propos d'idées libres sur « la
religiosité ?»
(T'es un beau mec)
Et
toi une belle Nana
Un mec
de platine
Une Nana d'As
Du velouté...
Avec l'As des As
Une Nana d'As
Si
belle comme le monde...
Crash Car « Rolling Time »
Témoignage Paris 2001 à 2004
All Rights
Reserved !
L’écriture
de ce témoignage a lieu dans un studio privé fermé aux publics et sans
diffusion publique. Les textes, à caractère confidentiel, sont susceptibles
d’être précisés, ajustés.
Chronologie
Fragments
Hypothèses
Démonstrations
Recherches
Liens
Dans la période qui a précédée
« mon » « accident » de voiture (Crash
Car) je peux dire que j’étais plutôt heureux, en forme et que
j’avais beaucoup d’espoir pour mon avenir… Ce qui m’est arrivé est effroyable
et scandaleux. J’ai beaucoup souffert, je suis très triste. Je ne souhaite pas
de scandale médiatique car j’ai l’espoir que des solutions conciliantes seront
trouvées sans atteindre cette extrémité… Je ne souhaite pas qu’une profession
soit mise en doute, « salie » par des mauvais éléments, surtout si ce
sont des assassins. De toute façon il y a tellement de « choses » qui
se savent quand même qu’il y a tout avantage à ce que tout ça soit clarifié (24/04/2004)
La nuit du 21 au 22 Juin 1987 « around
midnight »
(fête
de la musique)
La voiture que je conduis
s’écrase contre un pylône, je suis très gravement blessé, la voiture commence à
prendre feu, des policiers sont là, leur extincteur est vide, c’est un
commerçant réveillé par le bruit du choc qui arrive et commence à éteindre le
début d’incendie avec son propre extincteur, avant que les secours, SMUR et
Pompiers n’arrivent...
Le sang
Les Policiers qui sont les premiers
sur place ont à faire à une urgence vitale et ils ne peuvent y répondre
L’extincteur était-il déjà vide
pour être sûr que le sauvetage serait vain ?
Quelle a été la dernière utilisation de cet
extincteur ?
Pourquoi ? Par qui ?
Pourquoi n’y a-t-il pas eu de demande de rechargement comme le prévoit
le règlement ?
La voiture est en feu, le temps que
les Pompiers arrivent, interviennent, même s’ils arrivent dans les délais habituels
rapides qui demandent quand même 10 à 20 mn… ça laisse largement le temps que
la voiture s’embrase et que tout disparaisse, moi y compris...
Est-ce que par hasard, les Pompiers
qui sont intervenus ont rencontrés des « difficultés » sur leur route
ou des informations embrouillées ?
Qui sont arrivés les premiers ? Le SMUR ou
les Pompiers ? (D’après les dires de
ma mère c’est les pompiers qui ont ensuite appelé le SMUR)
Pourquoi la
Police n’a pas appelé directement le SMUR ? (malgré une gravité d’urgence vitale extrême visible)
Ensuite il y a eu d’autres
intervenants, une « dépanneuse » et comment, par qui la route a été
« nettoyée » ?
Il y a eu probablement ensuite d’autres
voitures de police qui sont arrivées, certains ont dû se « poster »,
mettre des voitures de signalisation, sur les 2 routes, en amont, pour prévenir
d’autres accidents… Vu tout ce remue-ménage, cette agitation vitale et extrêmement
urgente et puis des habitants alentours après avoir été réveillés, inquiétés,
attirés par la force du choc, le bruit du choc, les bruits des secouristes qui
arrivent, s’affairent, des gens sont sortis dans la rue, ont regardé par les
fenêtres, des voitures aussi sont passées au ralenti… il y avait un arrêt de
bus sur la droite de la chaussée, peut-être un bus aussi car le dernier devait
passer vers minuit 10 ou minuit 30… ou bien si le bus était passé juste avant,
y a-t-il eu des passagers qui auraient vu, entendu quelque chose, de près ou de
plus loin ?
Y a-t-il eu
des photographies, vidéos, enregistrements sonores ?
C’est une chance qu’un commerçant soit
intervenu, et qui avait un extincteur… ainsi il a réussi à éteindre le début
d’incendie alors que j’étais coincé dans la ferraille, les os brisés, le corps
et la tête en sang… je suis transporté par les Pompiers je crois, aux urgences
de l’hôpital de Saint-Germain-en-Laye, après l’intervention sur place du SMUR je
reçoit les premiers soins, on me met en « coma soporifique » et puis
je reste plusieurs heures à attendre car on ne sait pas si je suis atteint à la
rate ou aux reins (il faut attendre
a-t-on dit que le corps se vide de son eau)
Qui a appelé les Pompiers ou le Samu ? A quelle heure ?
Quelle « descriptif », « diagnostic » a été donné ?
Quel médecin régulateur ?
Des témoins (que j’ai « connu » ensuite) qui habitent à 400 mètres
environ sur les hauteurs ont entendu le bruit du choc, un effroyable fracassement
de tôles. Il est probable que la nuit le choc, ou d’autres
« bruits », avants ou après le choc, dans cet endroit calme, se soit
entendu jusqu’à 800 mètres à la ronde et probablement plus car le lieu est
environné de collines avec de nombreuses constructions, routes, ouvrages
solides (grande résonnance, amplification
des sons, projection exponentielle des sons).
Réminiscences
Quand je préparais ma Comédie
Musicale de « Orphée » vous pouvez imaginer les pressions, avec déjà
un public attentionné, mon vif désir de changer de situation, le poids que cela
représente… surchauffe cérébrale, suractivité de la mémoire, surexcitations… si
bien que suite à une succession d’événements il m’est revenu à la mémoire les
fragments d’un très grave accident de voiture dont j’ai été victime 12 années
auparavant L’accident a été d’une telle gravité que ma vie relève presque d’un
miracle. J’ai donc été un peu effrayé, « traumatisé » par la
résurgence de ces « souvenirs » d’autant que dans les derniers
instants qui précèdent le « choc » j’ai le souvenir fragmenté d’avoir
été surpris par l’arrivée soudaine d’une voiture de Police, tous phares
allumés.
Or cela n’a pas été dit et le procès (et bien avant aussi) a ensuite été
orienté pour me culpabiliser sans qu’il y ait eu de véritable enquête. Cette
implication de certains éléments de la Police dans l’accident est d’ailleurs
confirmée par une analyse attentive du rapport. Cela pourrait aussi expliquer
bien des événements qui ont eu lieu par la suite...
Blessures, Plaies, Traumatismes
A quoi est du l’éclatement de ma
rate ? Quel choc ? Il y a eu des doutes entre le rein et la rate… Qui
a diagnostiqué l’éclatement de la rate ? Sur quels éléments ? La splénectomie
a-t-elle ensuite confirmée ce diagnostique ? Des « signes », des
« meurtrissures » ont-ils pu donner des indications sur l’origine du
choc, la « manière », sur ce qui a provoqué cet éclatement, si tel
est le cas ? (25/03/2004)
Pourquoi ce flessum au genou gauche
? (blocage de l’articulation à 90 degrés
suite à une immobilisation)
Ostéite
Qu’est-ce qui a provoqué
l’hématome extradural ? Quel type de choc, d’impact ? Pourquoi cette
localisation ?
Une ostéite qui se déclare 3 à 4 mois
après la cicatrisation alors que l’organisme se renforce, s’est déjà renforcé,
dans un cadre aseptisé, très bien entretenu, professionnel ?!
Ostéite sur l’os crânien,
« endroit » du corps très protégé par l’épaisseur, la solidité du
cuir chevelu, bien plus solide et résistant que la peau… Pourquoi cette infection ? D’où provient
ce type d’infection, je crois qu’il s’agit d’un staphylocoque doré ? Dans
quels autres lieux y en a-t-il d’autres ?
Quel est le
« vecteur » ?
Une description, analyse, existe. Elle a
été faite par l’Institut Pasteur qui a essayé de « mettre au point »,
de « fabriquer » un antidote « sur-mesure » au début 1988…
La série de piqures tous les jours pendant 3 à 6 mois, 1 à 2 piqures par jour…
Le volet osseux a été irradié 3 ou 4
fois… Dans quel « Centre de Traitement » le volet a-t-il était
traité, irradié ? Le Centre était-il toujours le même ou y en a t-il eu
d’autres ? Qui s’en est occupé ?
(7 Mars 2004) Désinfection, enlèvement du volet osseux, traitement
antibiotique puissant, plusieurs mois, cicatrisation complète, traitement du
volet par irradiation, il n’y a donc plus aucune forme de « vie » et
de vie microbienne ou de bactéries sur l’os… ni « d’emprise »
possible
(donc
normalement pas de nouvelle ostéite possible)
Intervention chirurgicale en Neurochirurgie,
théoriquement extrêmement aseptisé, pour la repose du volet osseux, à nouveau
antibiotiques puissants, hospitalisation en neurochirurgie, soins intensifs,
avec désinfection, pansement quotidien, « emballage » de la tête,
style « homme invisible », puis remontée des soins intensifs pour
chambre seule en neurochirurgie… Poursuite du traitement… Idem cicatrisation,
puis ablation des fils à la cicatrisation complète, on attendait toujours deux
ou trois jours de plus, par précaution (9
à 12 jours) A l’extérieur, traitement antibiotique puissant, évolution dans
un cadre de très bonnes conditions d’hygiène et de vie…
Comment
infection possible ?
Et cela 4 ou 5
fois, et toujours exactement au même endroit ?
(9 Mars 2004)
Conclusions
L’accident (Crash Car) dissimule bien
et permet (à l’occasion semble-t-il et à
défaut d’essayer de tuer quelqu’un lentement) le début des expérimentations
sur un jeune être humain que « des salauds » ont désigné et utilisé
comme cobaye de laboratoire, in vivo… ça commence par un coup violent sur la
tête, très localisé… ensuite, plusieurs « tests » des plus cruels
sont expérimentés simultanément… (10 Avril 2004)
Si j’ai réussi à m’en sortir de cet
accident, d’où généralement on ne revient pas, c’est aussi parce que j’avais
déjà été « rodé » à toute une palette, un peu complémentaire,
d’accidents variés… mon « organisme » avait appris et développé une
façon de réagir, des réflexes de survie profonds, plus facilement
« stimulables » et rapidement réactifs… (20 Mars 2004)
Conduite,
Aptitudes, Capacités
Quand on apprend à conduire en 2 roues,
en mobylette, on apprend à sentir le sol, la route, le revêtement… j’avais déjà
glissé sur des feuilles d’arbres, juste au bord d’une route (Grenoble 1978 fracture ouverte poigné
gauche) Cet apprentissage à ressentir peut aussi être développé avec le
ski…
Pour la « Crash Car » de Juin
1987 je connaissais très bien ce parcours de jour comme de nuit, le virage,
l’inclinaison, la pente, les circonstances possibles en fonction des accès,
sorties, événements imprévues éventuels... j’étais calme, j’avais de bons yeux,
d’excellents réflexes, je connaissais aussi très bien la voitures, ses
possibilités et limites...
Quand j’étais « tout petit » déjà
de 3 à 6 ans nous avions souvent fait de longs voyages en voiture, j’étais très
participatif de la conduite de mon père qui conduisait très bien. Parfois je
montais à l’avant et je faisais le copilote avec une carte sur les genoux, pour
indiquer les directions à prendre, prévenir de la route… Une très grande
habitude des virages sur les routes de montagnes, un grand apprentissage de la
prudence, la mesure…
15 mois après le « Crash car » de Septembre à
Novembre 1988 j’ai conduit en quelques semaines plus de 5000 km (3500 miles) dans un pays que je
découvrais, dont je ne connaissais pas ni les habitudes de conduites, ni les
« règles », le code de conduite (la Californie
aux USA) j’étais en plus blessé avec une jambe en souffrance
chargée de matériel d’ostéosynthèse et un peu « affaibli » par les
antibiotiques et tous les chocs que j’avais encaissé cette année là. Il m’est
arrivé de conduire 8 ou 10 heures en seule journée. Je n’ai jamais eu de problèmes
ni le moindre incident. Ce qui ne m’a pas empêché quand j’étais en grande forme
et que les conditions le permettaient, de rouler à plus de 190-200 km/h par
exemple entre Flagstaff, Phoénix et Tuckson sur des routes en ligne droite à 4
voix séparées par un large terre-plein central, dans des zones de nature… (7 Avril 2014)
Ma conduite est beaucoup basée sur
« l’observation », l’écoute, l’anticipation, c’est à dire aussi le
déchiffrage de l’attitude, de « l’état » d’un conducteur en fonction
du comportement de sa voiture, de ce qui se « dégage » de sa
conduite. L’observation, voir tout ce qui se passe, devant bien sûr, mais aussi
tout autours, « sentir » avec de nombreux regards courts, dans les
rétroviseurs, j’avais appris à « compter les secondes »… 3 secondes,
attention… De même, sentir la voiture, les suspensions, l’adhérence, le moteur,
les bruits éventuels… j’ai pu acquérir et développer le sens de l’observation,
du ressenti à maintes occasions, dans maintes disciplines et c’est ainsi déjà que
la monitrice de conduite nous avait appris à conduire en stage de conduite sur
une « Visa Chrono » quand j’ai passé mon permis en 15 jours à 18 ou
19 ans (7 Avril 2004)
On a pu voir aussi que je suis toujours un
excellent conducteur notamment quand je suis parti 2 fois avec mon ancienne
petite-amie « Carole » en « vacances surveillées » alors
qu’on louait une voiture…
Souffrance
Au bout de l’Enfer. Un étau
d’acier me comprime le crâne, j’ai l’impression que l’os de ma tête va craquer,
toute ma tête, mon crâne me brûle à l’intérieur, comme si j’avais en dedans un
« casque d’acier brûlant », j’ai l’impression d’avoir le
« cerveau » à vif, comme si on m’avait arraché toute la peau… je
sentais que mon cuir chevelu était tranché dans toute son épaisseur… (28 Mars 2004)
L’hôpital « La Salpétrière » à
Paris. Service « Babinski » après une repose du volet crânien (en 1988) On me remonte des soins
intensifs, réanimation, en fin d’après midi… je souffre beaucoup, la nuit vers
minuit, insupportable souffrance, j’appelle… il me faudra attendre au moins
deux heures ou deux heures et demi avant que je puisse avoir une piqure de
calmants… Je n’ai jamais oublié cette souffrance qui aurait pu être évitée (j’ai eu le temps de compter entre les
secondes)
En général en famille (et avec qui que ce soit) nous avons
très peu parlé de « mon » accident tant les souffrances ont été
violentes ce n’était pas racontable. Tous ces moments de « plaie
vive » qui se sont accumulées, sans pour autant laisser de traumatismes,
du Crash Car j’en ai parlé de temps à autre avec une Psychologue de « la
Salpétrière » qui m’avait d’ailleurs fait remarquer que j’avais eu
beaucoup « d’incidents » dans ma vie puis en 1989 j’ai eu une consultation
régulière avec un Psychiatre à Rueil-Malmaison (un homme de lettres) qui avait l’air très bien pendant 6 mois
environ (avant qu’il déménage trop heureux à Paris) il avait parlé dans ses
« conclusions » d’une certaine « peur de la mort » selon
lui ce qui m’avait plutôt étonné mais pourrait plus être lié à une
« impression familiale » de séquelles de ma propre mère qui a notamment
souffert de l’absence de son père parti en « champs de travail
obligatoire » dans son enfance, peut-être aussi y avait-il des
traumatismes davantage lié aux souffrances ou peurs que j’avais vu autours de
moi durant mes séjours d’hospitalisation (avec des cas
parfois très graves) ces
consultations de une à deux fois par semaine m’avait quand même bien rassuré et
« soulagé l’esprit » de savoir surtout que j’allais plutôt bien,
peut-être s’agissait-il d’une « ultime provocation ? » pour en
étudier mes réactions qui se sont révélées de toutes façons forts positives
J’avais
surtout trop envie de vivre, de rattraper le « temps perdu »,
d’oublier ces moments où je n’ai pas pu vivre vraiment…
Le lieu du Crash Car
C’est un endroit où il y avait souvent eu des accidents, des
accrochages, l’endroit idéal pour une embuscade…
Je connaissais bien cet endroit, je
savais que c’était dangereux, régulièrement il y avait de nouvelles traces de
freinages, de pneus sur la route, je savais qu’il ne fallait surtout pas y
passer « par habitude »… j’avais d’ailleurs toujours en tête cet
accident de voiture dont nous avions été victime un dimanche en famille, à la
sortie d’un virage dans un village alors que nous cherchions un restaurant, une
voiture a surgie derrière nous et nous a percuté sans faire de blessés. Le type
avait dit « Je comprends pas, je
connais bien cette route, je la prend tous les jours »... Mon père lui
avait dit « Justement, c’est
dangereux, on s’habitue à ce que tout se passe bien, on ne fait plus attention,
et le jour où survient quelque chose on ne sait plus réagir »
Je n’ai
jamais oublié cette remarque de conduite…
Bien des mois plus tard sur le lieu de
l’accident des glissières de sécurité ont été installées à l’endroit du pylône que
j’avais percuté qui porte un « portique » de signalisation. Pourquoi
cela n’avait-il pas été fait plus tôt ? Alors qu’il y avait déjà eu tant
de problèmes, accidents, incidents, à ce même endroit ? (27 Mars 2004)
Je me demande si l’un des
« buts » de cette expérimentation n’était pas de trouver un moyen de
me faire rappeler une certaine « émotion » sensible lorsqu’on vient à
naître, à sortir du « ventre » de sa mère… Sauf que là, c’était
« fabriqué », cruel, mécanique… Peut-être inconsciemment, pour
essayer de « fuir » cette souffrance terrible, j’ai été obligé de
puiser en moi, au plus profond de moi, une sorte de « source »,
« d’exaltation » de la vie… (30
Mars 2004)
Avant le
Crash Car
Tout semblait étrangement
« désert »… je n’ai pas eu le temps de « réaliser » ce qui
arrivait, tout c’est passé très vite, en quelques secondes avec une efficacité
implacable
... c’est « joué » d’avance !
1. Action 2.
réaction 3. Renforcement de l’action 4. Crash…
Début d’incendie...
Était-il prévu de me tuer ?
Plus tard 2 ans et demi environ,
j’évite par 2 fois des « tentatives d’accident » pour essayer de
faire « tomber » le sursis… (7
Mars 2004)
Est-ce que des gens ont
entendu des bruits de verres brisés, des « chocs » contre des vitres,
pare-brise…
Blessures, plaies, traumatismes,
chocs : à quoi sont-ils dûs ? Quel mouvement du corps ? En
impact avec quoi ? Avec quelle chronologie ?
Dans quelle « position » les
secouristes ont-ils trouvé mon corps ?
Comment
peut-on expliquer un début d’incendie ?
(11 Mars 2004)
(Page 30 cahier 2 bis)
« L’ostéite dont j’ai été victime
quelques temps après mon accident doit être mise en cause aussi. Quand j’y
repense, toujours le même principe : tu as un gros carton en voiture, tu
t’en sors, presqu’en forme (à part la jambe qui demande du temps) et Paf !
tu te ramasse une ostéite, infection de l’os crânien… terrible et redoutable
bactérie mutante, staphylocoque doré qu’on attrape notamment dans les hôpitaux.
Et Paf ! On te rajoute 6 ou 7 interventions chirurgicales très
douloureuses et risquées dans la gueule… ça fait un peu gros quand même !
Comment des « comités » de médecins, de chirurgiens, de professeurs
ont-ils pu laisser faire ça ? Une chose que je ne comprends pas :
comment un morceau d’os « irradié » de façon scientifique peut-il
encore être infecté, alors que « l’irradiation » consiste à
« tuer » toute forme de « vie » (la « vie » des
bactéries, des microbes…) ?
Comment est-ce possible ?
A part si ça a été « voulu »… n’était-ce pas là les prémisses
d’un « marquage » psychologique d’acceptation à servir de
cobaye ?
(19/12/2003)
Les « ponctions
lombaires » étaient-elles réellement justifiées ? Qui en a
décidé ? Sur quels éléments ?
Ma lèvre se déchire, coupée jusqu’au
menton, choc, hurlement atroce, douleur, ma bouche arrachée, à vif, pisse le
sang… l’os de la mâchoire craque, juste à côté du nerf, fracture aigüe, un goût
de sang atroce dans la bouche… immense désespoir… (23 Février 2004)
Conditionnement en « amont » du
Crash Car /… « Champs de captation » sur le lieu…
Synthèse
Quand il se passe quelque chose de
grave, que tout est bâclé, expéditif, c’est que ça cache quelque chose.
Quand ensuite des moyens d’importance sont
utilisés pour vous « maintenir » la tête sous l’eau, vous « casser »
et vous ne savez même pas pourquoi, c’est que vraiment il y a un truc pas
clair, injuste, et grave…
Pour ce qui est de « mon
accident » de voiture je me suis toujours posé la question de savoir si je
n’avais pas reçu un projectile dans le pare-brise… si on n’avait pas
« lancé » ou « tiré » quelque chose… voir même si on ne
m’avait pas « tiré » dessus en me prenant pour un autre… ou bien même
si ce n’était pas un « coup monté »…
J’ai eu souvent le sentiment que j’ai
cherché à « éviter » un « truc » qui venait de la
« droite »… Toujours cette idée d’une « moto », de la
présence d’autres personnes autours du « lieu » comme en « encadrement »
du lieu…
Toujours est-il que cet
« accident », tout ce qui s’est passé avant, après, autours, n’est
vraiment pas clair et laisse présager bien des choses... (20 Février 2004)
Et comment
ont-ils pu dire que j’avais une « conduite dangereuse ?»
Cela
veut donc dire qu’ils (les flics) m’ont
vu conduire…
S’ils m’ont vu conduire juste avant
et qu’ils arrivent juste après, ça veut donc dire qu’ils ont vu l’accident se
produire…
Or
ce n’est pas ce qu’ils ont dit…
Et pourquoi n’ont-ils pas dit la vérité ?
Parce qu’ils étaient très impliqués…
(21 Février 2004)
On
sent bien qu’il n’est pas raconté ce qui a été « vu »
On sent bien, au rapport
truffé de fautes, d’erreurs, que cela ne correspond pas à la réalité de
l’accident
La
« mentalisation » des circonstances montre qu’il y a
« omission » donc fabrication.
Le jeune homme est mourant, il perd tout son
sang, on se dépêche de faire une prise de sang pour contrôler le taux
d’alcoolémie… comme pour déjà essayer de se « couvrir »… (Préméditation)
On dirait : il y a une route
à 3 voies, en ligne droite, sans aucun danger, un conducteur arrive en roulant
très vite et soudain, comme ça, il fonce sur un pylône…
Ah oui, il avait 1.14gr…
Et bien non. C’est faux
(22 Février 2004)
Pourquoi
ont-ils « négligé » à ce point le « rapport » de
police ?
Parce qu’ils
« misaient » tout sur le 1.14 gr d’alcool, ça devait être
« l’explication » en cas de survie…
La loi venait juste de changer (de 1.20 gr toléré à 0.90gr) un
durcissement, et ils étaient sûr qu’ils feraient des « exemples » … (un exemple est d’ailleurs une injustice
flagrante puisqu’il s’agit d’un durcissement d’une sévérité supplémentaire
volontaire à caractère « publicitaire » de prévention) D’où
l’empressement de faire une prise de sang malgré un « état »
extrêmement grave, vu les blessures et vu que j’ai manqué de perdre la vie, que
j’étais mourant… Rien à foutre. Tout semblait prévu comme ça… ultra prémédité… et
quand on voit les moyens mis en place, la recherche
« d’implacabilité », la capacité de dissimulation, de mensonge, de
cruauté, j’en viens à douter que les échantillons de sang qui ont été analysés
étaient vraiment les miens.
Car ils voulaient « être sûr »…
(25 Février 2004)
Et puis il est vrai que quand on a un
peu d’alcool dans le sang on est d’autant plus vulnérable… les réflexes sont
plus lents (même si on est « persuadé
d’être en pleine possession de ses moyens), la vigilance, l’attention aussi
peut être « modifiée », des « signaux », peuvent ne pas
être vu… Cela je le savais, j’en étais conscient, même si j’ai une capacité de
« résistance » qui relève de « l’extraordinaire »…
L’adaptation consiste à être extrêmement prudent, à ralentir sa vitesse
habituelle, à respirer, oxygéner la voiture, se concentrer le plus puissamment
possible, savoir qu’on roule en « situation de faiblesse » et « au
cas où » qu’il faut « laisser la place »… et bien sentir les 3
points d’appuis de la conduite : la jambe gauche, les deux mains sur le
volant…
Étude de trajectoire voiture
Taux d’alcoolémie : ne pas
confondre un « état » et une cause…
Les différents types d’alcool
Trajectoire du mouvement du corps
/ Impacts successifs ou simultanés (chronologie)
(23 Février 2004)
Ma tête a reçu un choc violent,
localisé, ce qui a provoqué un hématome extradural, c’est à dire entre la dure-mère,
qui enveloppe et protège le cerveau, et l’os crânien, protégé aussi par
l’épaisseur du « cuir chevelu » qu’on appelle aussi le scalp.
J’étais très prudent, je faisais très
attention à la voiture de ma mère, cette voiture était très « utile »
pour les déplacements, « vitale » pour ma mère, mon frère et moi…
La tôle froissée est impressionnante à
l’avant car c’est une petite voiture. L’armature a cependant bien résisté,
ainsi que le déplacement latéral du moteur pour protéger les passagers…
Je roulais à 70 km/h peut-être
80 ?
Je connaissais bien cette voiture, ses
« possibilités », ses « limites », sa tenue de route, de
freinage… Dans l’heure qui précède l’accident, la voiture avait été un peu
« surchargée », ce qui m’avait incité à la prudence. J’avais fait 2
kms avec 3 autres personnes jusqu’au RER de Saint Germain, j’avais ensuite
raccompagné Christophe et Pascale avant de repartir pour rentrer chez moi… Je
n’étais pas très content qu’ils se soient imposés pour monter dans la voiture
alors que je raccompagnais une fille au RER… (* il n’y avait pas de surcharge de poids autorisé par le constructeur,
mais il faut toujours tenir compte qu’un supplément de poids entraîne une
distance de freinage plus longue, une moins bonne adhérence notamment en raison
des suspensions qui sont plus fortement sollicitées, de la pression plus forte
sur les pneus et cela quelle que soit la voiture).
La voiture avait été révisée peu de temps
auparavant
(freinage, suspensions…).
Je disais que je conduisais comme un
« bon chauffeur de Taxi », j’avais le principe de « penser à
moi » et de « laisser pisser »… j’avais bien d’autres choses et
d’autres atouts pour me valoriser, espérer faire fortune et
« m’offrir » une superbe voiture…
(5
Avril 2004)
Je m’étais inquiété des éventuels risques de contagion, vis à vis notamment
de ma famille, des autres, de mes relations intimes… « Tant que vous
prenez vos antibiotiques vous n’êtes pas contagieux… »
Rencontre psychologue Salpétrière, prépare une thèse…
Qui
a fabriqué le « volet artificiel » en remplacement de l’os?
LE SUPPLICE
Avec cette infection sur mon os du
crâne, proche de mon cerveau, je me sentais en « danger », je
redoutais « d’attraper » une méningite… une « propagation »
de l’infection… (je crois d’ailleurs que
j’avais rencontré un ou une patiente à la Salpétrière qui avait souffert de ça,
j’en avais parlé avec d’autres personnes aussi…) Et ce « martèlement »
incessant, toujours au même endroit, exactement, c’était un véritable supplice,
c’était épouvantable, j’étais obligé à chaque seconde de « prendre sur
moi », de faire abstraction… mais ce qui est positif c’est que j’ai appris
par la même occasion à avoir une grande maîtrise de moi-même…
« le supplice de la goutte d’eau »
(29
Mars2004)
Hypothèse
La Police a-t-elle été
« manipulée » ? Qui les a appelé pour que ma voiture soit
recherchée ? A-t-on essayé de me faire passer pour quelqu’un de
« dangereux » ? Y-a-t-il eu des « gens » autours, ou
certains policiers qui ont « chauffé » la recherche de la
« cible » pour que « l’intervention » soit effectuée avec
« force » voir « catégorisme » ?
Ou bien y-a-t-il eu une
« confusion » avec un autre véhicule recherché qui aurait commis des
« choses graves ? » Cette confusion, si c’est le cas, est-elle dûe au
« simple hasard » (à une simple
erreur) ou bien a-t-elle été « provoquée » par une
« embrouille volontaire » ?
(05/05/2004)
Les 2
Inspecteurs au Vésinet
Comment la
police a-t-elle su que j’étais en rééducation au Centre Médical du
Vésinet ? Pourquoi ont-ils débarqué au cours d’une séance de kiné très
douloureuse ? Était-ce réellement des inspecteurs de police ? Où
appartenaient-ils à d’autres « services spéciaux? » Leur visite
a-t-elle été « consignée » sur un registre lié à cette affaire, comme
le demande le règlement ? Quel était le motif « officiel » de
cette visite ?
Culpabilisation « publique »,
devant les autres patients… toujours cet objectif de « m’écraser »,
de me faire admettre que je suis l’unique responsable… « coupable »…
surtout me dissuader de porter plainte contre X
Ensuite, l’homme armé…
Revenu d’Afrique, un jeune de moins de
30 ans, un bras cassé je crois, il m’avait dit qu’il avait eu un accident de
voiture sur le périphérique à Paris, ils étaient à 4 dans la voiture, peut-être
avaient-il trop arrosé la soirée mais l’une des passagères avait été tuée par
cet accident, il avait une arme avec lui un pistolet automatique de calibre
moyen (7.65 ?)
Carlos
Ensuite un patient, qui est venu 2
ou 3 jours, après mon retour de la Salpétrière, dans une chambre deux places,
qui me raconte qu’il a ramassé en voiture une vedette bien connu qui avait
tenté de se suicider, s’était tranché les veines, qu’il l’avait pris dans sa
voiture toute neuve, qu’il pissait du sang, heureusement il y avait encore les
plastic sur les sièges, et qu’il l’a conduit à l’hôpital… c’était dans le sud…
Je croiserais d’ailleurs la vedette en question, un chanteur, quelques années
plus tard à l’Odéon, place Henri Mondor…
Walter
Et puis ce patient, qui parfois
avait l’air de « disjoncter » un peu et qui répétait sans cesse qu’il
avait toute une partie de son os crânien en plastic en disant « c’est
horrible » c’était pour me « préparer » ? m’annoncer ce qui
allait suivre… la poursuite des expérimentations…
Séquelles
& conséquences
Défiguré, jambe abîmée à vie… risque de
problèmes aux vertèbres…
Ma famille, rude épreuve…
J’ai toujours dit, je ne m’en suis jamais
caché, que dès que j’en aurais les moyens, financiers, je m’occuperais
d’éclaircir cette affaire, je le croyais et je l’ai dit aussi à chaque fois que
je venais de terminer un beau projet, que je le présentais, et que j’espérais
un financement et une rémunération conséquente. Le travail d’écriture, de
réflexion, de conception, de direction artistique, rapporte beaucoup d’argent…
Est-ce aussi pour cela que certains ont
« cassé » systématiquement chacun de mes projets ? Alors qu’ils
auraient du me rapporter beaucoup d’argent ?
Dans un même temps toujours des
expérimentations de résilience ? Ce qui n’empêche pas non plus un
« pillage » ou une revente du projet en d’autres lieux…
Cela montre que ces gens-là sont
très informés et disposent de moyens d’importance…
LA Préméditation
Sur le même lieu, cette même route, il est
arrivé une fois…
Il est très possible que cet acte de
violence avait aussi pour but de me dissuader de porter plainte pour toutes les
autres violences, vols et cruautés que j’ai subis. Il est possible aussi que
cet acte avait pour but de faire un « marquage » émotionnel, comme il
y en a eut d’autres, dans le but d’essayer de « renforcer » une
attache affective, dans le sens d’un emprisonnement affectif.
A chaque opération au fond de moi j’ai assez
peur, je redoute d’attraper une infection, une maladie du sang, je suis parfois
un peu effrayé… je ne veux pas y aller, j’ai déjà trop souffert, 160
centimètres de cicatrices recousues sur tout le corps, je ne veux pas me faire
recoudre, on m’a déjà ouvert la peau du crâne 5 fois, au même endroit…
L’endroit
semblait étrangement calme, d’un faux calme annonciateur qu’un
« coup » est en train de se jouer, le genre d’ambiance inquiétante,
l’air de rien, où l’on se sent la proie, on a le sentiment autour de soi que
d’autres attendent, guettent, savent ce qu’il « doit » se passer, ce
qui est déjà calculé par avance, ou ce qu’ils ont « prévu » de faire
faire par personnes interposées, par la manipulation…
A l’époque je n’étais pas en mesure de faire le décryptage que je peux
faire actuellement
CAUCHEMAR
La scie électrique… une lame
circulaire, dentelée de pointes coupantes, qui tourne à toute vitesse, se rapproche
de moi, veut me « porter » des coups…
Nouvelle infection, nouvelle opération
chirurgicale. Je suis en état de choc, ma vie bascule, je n’ai même plus la
force de hurler de chagrin, je sens la peau de mon crâne fendu, le sang, je
sais qu’il faudra…
Évidemment,
l’histoire d’un jeune homme qui a servi de cobaye humain, c’est effroyable
CHRONOLOGIE
(à compléter)
. 21 juin,
ou plutôt le 22 juin 1987 après minuit. Accident de voiture. Hospitalisation à Saint Germain en Laye. Interventions
chirurgicales, rate, jambe gauche
. 27juin
1987 passage d’un scanner à l’hôpital Beaujon. Transport en hélicoptère / Hospitalisation
en neurochirurgie à La Salpétrière /
Intervention chirurgicale : opération hématome extradural / Plusieurs semaines en réanimation soins
intensifs
. 3 aout
1987 / Hospitalisation Saint Germain en Laye. Observation / Retour à la maison
2 jours ?
. 18 aout
1987 Centre de rééducation du Vésinet
. 26 août
1987 retour Salpétrière. Intervention chirurgicale pour nettoyer infection
blessure tête (en anesthésie locale)
. 30 août
1987 Retour Centre rééducation du Vésinet
. 17
septembre 1987 Hospitalisation Salpétrière. Retrait du volet osseux pour
désinfection, traitement antibiotique puissant. Volet osseux en centre de
traitement pout irradiation
. 05 octobre
1987 Rééducation Vésinet
. 30 octobre
1987 sortie Vésinet
Rééducation avec kiné jusqu’en janvier 1988 ?
. 01 au 12
février 1988 Salpétrière remise du volet osseux / Mise au point
« vaccin » Insitut Pasteur
. 02 au 15
mars 1988 Salpétrière /Intervention chirurgicale, nettoyage infection,
traitement antibiotique puissant, piqures
Septembre 1988 USA / AGENCE
« BDDP » MARSEILLE
. 06 au 11
février 1989 Hospitalisation Saint Germain en Laye / Retrait matériel
ostéosynthèse jambe / Reprise rééducation jambe jusqu’en septembre 1989
. 12 au 21
avril 1989 Hospitalisation Salpétrière / Retrait définitif du volet osseux (Psychiatre jusqu’en octobre 1989)
. 13 au 22
septembre 1989 hospitalisation Salpétrière / Plastie / Rendez-vous de
« contrôle » Salpétrière, électro-encéphalogramme…
Ensuite plus aucun maux !
. 2012 OSTÉITE
VOLET CRÂNIEN RENNES / Opération chirurgicale en Avril 2013 / Traitement
perfusion pendant 2 mois 24/24 heures / Attente repose nouveau volet crânien
hors de France suite menaces mort ou accident
. 2014
JUILLET / INFECTION BACTÉRIENNE CRIMINELLE TIBIA (Jambe droite) / Guérison en Février 2015 / Rechute en AVRIL 2015 (en complément des mauvaises nouvelles
corruption tribunaux, reprise de harcèlement, fautes grave curateur, forte
série de choc au moral / Reprise de soins en voie de guérison totale au 10
Juillet 2015 demandera encore un à deux mois de suivi)
« UN
« COUP DE VOLANT », « BRUTAL » (REFLEXE ?)
… SUR
LA GAUCHE… »
Pourquoi « sur la
gauche » ?
- parce qu’il n’était pas possible
« d’aller à droite »
- parce que « quelque
chose » venait de la droite et me « coupait la route »… (ou en face et en ce cas qui se permet de
rouler « en face » sur une route ?)
- parce que un
« projectile » m’a atteint et j’ai « basculé » sur la
gauche…
Pourquoi « brutal » ?
- parce que quelque chose a surgit rapidement
- effet de « surprise »
-
« choc », impact soudain ultra-rapide de « quelque chose »…
Pourquoi n’y a t-il pas eu apparemment de
« freinage » « brutal » de ma voiture qui aurait
éventuellement laissé des traces de gomme sur la route ? (j’étais habitué au « triple
freinage » / frein à pieds / frein à main / rétrogradation)
-
« séquence » ultra-rapide
la « déviation » de mon véhicule
était « prioritaire »
- le freinage « brutal »
était-il rendu impossible » par la présence ou l’arrivée rapide du
« véhicule » qui me suivait ? Voir me collait ?
Il
n’y avait paraît-il pas de traces de freinage sur la route… mais il est
possible, éventuellement, « d’effacer » des traces de gomme sur la
route…
(le coup du « bout de ferraille »
sur la chaussée qui
« déchiquette » un pneu… comme le Concorde… comme par hasard…
c’est un peu gros)
Les fractures de la jambe gauche (qui a
encaissée le choc) et du bassin montrent et prouvent que j’étais en
« posture », en attitude de « bon conducteur », avec les 3
points d’appuis… cela prouve aussi mon « état » d’éveil et de vigilance,
un état de réactivité potentielle…
J’ai toujours pensé, j’ai
toujours eu l’intime conviction que l’accident de voiture dont j’ai été victime
n’était pas dû de mon seul fait…
A part la « conséquence »
d’une ou plusieurs « actions extérieures » je ne vois vraiment pas
d’autre « explication » possible… Je ne me mets pas « hors de
cause », peut-être n’ai-je pas su réagir d’une manière mieux adaptée, si
toutefois cela eut été possible…
Les
conditions météorologiques…
Un temps très
« tempéré », ni trop chaud ni trop froid, il n’y avait pas eu de
pluie depuis plusieurs jours, pas de vent non plus, un temps aéré, une
« adhérence » tout à fait normale et bonne de la route…
Les pneus
Les pneus étaient en bon état, il n’y
avait pas eu de surchauffe, je ne pense pas que cela soit dû à
« l’éclatement » d’un pneu… si tel avait été le cas je suis certain
que j’aurai pu « tenir » la voiture, j’avais déjà eu des expériences
de « conduite sur neige » où je m’étais « entraîné » sur
des chemins de campagne, au bord des champs, à faire des
« demi-tours », des « zigzag », des « tête-à-queue »,
à étudier, sentir, analyser le comportement de la voiture… trajectoire, courbe,
« sens » des roues, actions sur le volant… rétrogradation…
« écouter » le lieu de
l’accident
Plusieurs fois je suis retourné
« méditer »… de jour mais aussi de nuit, aux alentours de minuit… et
je suis resté pour « écouter » le lieu… en essayant d’adopter
plusieurs « regards » possibles… Sur le « pylône » il y
avait seulement une légère trace de choc, à peine enfoncé, j’ai d’ailleurs été
surpris de cette simple « égratignure »…
C’est un
endroit « dur », il y a beaucoup de fer, de métal, d’acier…
La première fois que j’étais
repassé « devant » en voiture mon père m’avait dit « C’est
là… »… « Où ça ? »… J’ai été un peu étonné…
Il semble y
avoir une « INCOMPATIBILITÉ de BLESSURES »
Suite à un traumatisme crânien,
qui se signifie pas particulièrement qu’il y ait un hématome extradural,
pourquoi et quand a t-on décidé de placer un « cathéter » ?
Suivant quel diagnostic ? A quel « endroit » place-t-on
habituellement cet « appareil de mesure » ? Pourquoi le choix de
cet emplacement sur ma tête, mon crâne ? (en plein front)
fracture de la mâchoire
Mes parents sont venus me voir 2 ou 3
jours plus tard. Je les ai reconnu (selon
eux) j’avais beaucoup de mal à parler puisqu’on venait de me recoudre la
bouche, j’avais des fils… Je « rouspétais » car j’avais très mal à la
mâchoire… je souffrais énormément en raison de la proximité du nerf… Effectivement
j’avais une fracture de la mâchoire qui n’avait pas été diagnostiquée…
Comment
cette fracture a-t-elle pu échapper au diagnostic ?
Cette fracture a-t-elle
eu lieu après le diagnostic ?
Comment ? A quoi est-elle dûe ?
Peut-on
« dater » avec précision une fracture ? un Choc, un impact sur
le corps ?
C’est un dentiste qui a pris une radio
et a apporté la preuve de cette fracture… Pourquoi des fils ont-ils été oubliés
dans ma lèvre… ce qui a entrainé une véritable opération chirurgicale très
douloureuse… il y avait même un bout de verre qui était resté dans la lèvre…
Pourquoi est-ce que n’ai aucune
« blessures » ou égratignures aux avant-bras ou aux mains ?
Je suis quelqu’un qui a
d’excellents réflexes, notamment de « protection » du corps, du
visage, cela aussi car j’ai pratiqué le karaté intensément pendant plusieurs
années…
Je n’ai pas eu non
plus de blessures au dos, à la nuque, à la colonne vertébrale
Le
« coup » sur la bouche c’était pour m’empêcher de parler ?
Si toutefois je retrouvais rapidement la mémoire ?
CONCLUSIONS
On dirait « qu’on » veut
faire croire à un « accident » alors que ce n’est pas vraiment un
« accident »… et en tous cas vraiment pas par hasard…
J’ai eu parfois le sentiment d’avoir vécu des « horreurs »
qui n’ont rien à voir avec la souffrance d’un simple accident…
Cela dissimule-t-il un « règlement de
comptes » ? Pourquoi ?
Y-a-t-il un lien possible avec cette
affaire d’agression à Grenoble dont j’ai été victime ? Ou bien est-ce pour
tenter de lancer sur une « fausse piste » ? Faire croire
justement à un « règlement de compte » éventuel ?
Cela n’empêche qu’il y a justement un
lien avec cette affaire d’agression, ne serait-ce par les informations
actualisées disponibles (la chaine de
moto rue de Clignancourt, l’agresseur lame de rasoir Paris qui ressemblait à
l’un d’eux à Grenoble...) et les deux agresseurs de Grenoble, dont le plus
violent, qui n’a pas été retrouvé (relation
de flics ?)…
Il semble certain que beaucoup de
« choses » ont été faites ou oubliées pour causer un maximum de
douleur…
Il semble certain que
des « expérimentations » ont-été réellement pratiquées (plutôt résilience ou
« comportementales »)
Le véhicule accidenté
Quand « l’expert » est-il passé ? Qu’est-il advenu de la
« carcasse » ? La « destruction » a eu lieu sous quels
délais ? Où ? Comment ? Par qui ?
L’expertise du véhicule
/ L’expertise du « pylône » / Les phares / La ceinture de sécurité
Qui a enlevé et transporté la voiture accidentée ?
Qui a fait le « nettoyage » de la chaussée ?
ACTUELLEMENT
(Janvier à
Avril 2004 à Paris)
Bien entendu des
« attitudes » très inquiétantes dans la rue, de la part de certains que
je ne connais pas. Je me sens toujours « pisté », « épié »,
« ciblé », « proie »… j’ai parfois l’impression qu’on me
demande « Dis-nous tout ce que tu sais sur cet accident … »
Certains ont même placé dans ma rue,
presqu’en face de l’immeuble où j’habite, une voiture rouge-bordeaux de couleur
similaire à celle que je conduisais, avec un gros choc de tôle sur la portière
droite, côté passager (Peugeot 309 – 296
MEW 75)
Et pourquoi me demande-t-on maintenant, de
dire tout ce que je sais, alors que j’ai bien d’autres choses à faire et que le
moment n’est pas spécialement propice pour moi ?
Parce qu’il est facile dans ce studio
piégé, étudié et prévu pour « l’observation », la
« surveillance », l’espionnage, facile de surveiller mon travail, de
copier, de voler et de savoir où j’en suis dans mes « recherches »…
et de pouvoir ensuite et bien sûr « anticiper »,
« fabriquer », « effacer », « faire
disparaître »… « sur-mesure »…
Ceci est donc bien la preuve que des
« gens influents », des réseaux qui ont des moyens d’importance sont
bien impliqués dans cette « affaire »… et qu’ils n’ont vraiment pas
la conscience tranquille….
Dans tous les cas
« ils » sont coincés, ils savent que leur coup a raté, qu’ils sont
démasqués, il n’y en a plus pour longtemps… je redoute qu’ils me tapent dessus…
JE VEUX PARTIR D’ICI…
« ILS » ME TUENT… C’EST UN
MEURTRE…
24/04/2004 ANALYSE DES BLESSURES
J’ai parfois eu le sentiment de
« mettre fait casser la gueule »… Un coup dans la mâchoire, sous la
mâchoire, c’est généralement utilisé pour mettre quelqu’un KO… demandez aux
« Boxers »… Un coup sur l’arcade sourcilière c’est pour que ça
« pisse le sang »… là encore, demandez aux boxers… Un coup sur la
bouche c’est pour défigurer… et pour « abimer » l’envie d’embrasser…
Synthèse
Je suis en parfaite condition physique (natation, conditions de vie…), j’ai bu
quelques pastis mais je ne suis pas « sou » ni ivre, je suis
quelqu’un d’exceptionnellement résistant, comme je l’ai prouvé, j’ai bu aussi
des cafés, j’ai grignoté, je suis très conscient de mon « état » et
je m’adapte en conséquence, avec prudence. J’ai une très bonne expérience de la
conduite, dans différentes situations, je suis un bon conducteur, très attentif,
j’ai des capacités physiques, sensibles, et intellectuelles largement au-dessus
de la moyenne…
Et il y a le Crash…
J’avais
ma ceinture de sécurité, je la mettais toujours, systématiquement, même pour
les petits trajets, et j’obligeais aussi le passager à la porter.
C’est la jambe et le bassin qui encaisse le
choc, et puis aussi les bras, les mains, les épaules… je suis en excellente
condition physique et j’ai beaucoup de force, j’ai donc réussi à tenir le
volant de mes deux mains et c’est probablement pour cela que je n’ai pas été
blessé aux avant-bras, cela prouve encore que j’étais en parfaite situation de
conduite… la ceinture de sécurité aussi permet d’encaisser le choc, ce qui
provoque quand même, vu la violence du choc, une contusion pulmonaire… et
peut-être aussi un éclatement de la rate… je dis bien peut-être…
J’avais bien ma ceinture de sécurité,
autrement j’aurais été « tué » directement (regardez les dégâts d’une petite voiture lancée à 40 km/h contre un
obstacle fixe… voir crash tests…).
Cela
montre et prouve aussi que je n’aurais pas dû être atteint à la tête et au
visage comme je l’ai été…
Or la police qui est arrivée tout de suite
après a dit que je n’avais pas ma ceinture, ils ont dis aussi que je l’avais
peut être détachée moi-même pour essayer de me libérer… en raison notamment du
« début d’incendie »…
Pourquoi
ont-ils fait cette supposition ?
Nous rappelons que l’extincteur des policiers
était déjà vide, inutilisable… et qu’ils ont menti en disant s’en être servi
pour que le rechargement soit payé par l’assurance…
Parce qu’ils savaient très bien que
j’avais ma ceinture de sécurité, et que quelqu’un l’a détachée… et s’ils sont
arrivé 2 mn après le choc, comme ils l’ont écrit dans leur déclaration,
l’incendie n’avait pas eu le temps de démarrer…
Pourquoi a-t-on détaché ma ceinture de
sécurité ?…
Pour pouvoir me donner un uppercut à la mâchoire
afin de me faire perdre connaissance, me mettre KO, puis me taper la tête
contre le volant de la voiture ou bien me déchirer la bouche avec un objet
métallique tranchant…
Il est possible aussi qu’on m’ait cassé
un morceau de pare-brise sur le visage… ce qui expliquerait le bout de verre
sous la paupière, ceci aussi pour que ça pisse le sang et « faire croire
que »…
Le bout de verre retrouvé dans ma lèvre
n’est pas du verre de pare-brise… c’était un bout de verre plus
« fin »… et « cassable », de faible épaisseur, transparent légèrement
grisâtre, plutôt tranchant… contrairement au bout de verre retrouvé sous ma
paupière et qui ressemblait bien à un bout de verre
« caractéristique » d’un éclat de pare-brise…
L’éclat de verre ne provient pas
d’une « projection », il était trop « enfoncé » sous la
paupière…
Lèvre déchiquetée par quelque
chose qui « arrache » et coupe aussi… un tesson de bouteille ?
Est-ce que je « sentais »
l’alcool quand les sauveteurs sont arrivés ? Est-ce qu’on m’aurait
« forcé » à ingurgiter de l’alcool alors que j’étais blessé ?
Pour renforcer le « prétexte » du « taux d’alcoolémie » ?
Il y a eu une telle « fixation » sur ces 1.14 gr… Regardez, c’est ça…
qui expliquerait tout !
Le choc à la tête a-t-il été donné pour essayer de
m’achever, de me tuer ?
Ou
au moins essayer de provoquer des « dommages » sur mon
« cerveau », ma mémoire, voir de me plonger dans le
« coma » avec tous les risques de dégâts que l’on sait ?
Ou bien ai-je reçu un « projectile »
qui m’aurait atteint sur le front ?
Qu’est-ce
qui a causé ce choc à la tête ?
Mon
visage, ni ma tête n’a pas heurté le pare-brise, ni le toit…
Le « cathéter » a-t-il
été placé là, précisément, pour « masquer » la trace, la cicatrice
d’un « impact » sur mon front ?
Ce choc ne semble pas être dû suite
a un contact avec du « fer », ni du métal, ni du verre… ni du bois…
mais avec un « matériau » plus « souple »… plastique
souple, « caoutchouc »… un choc très violent mais qui ne
« déchire » pas la peau…
Il est impossible que ce
choc ait eu lieu ni simultanément ni dans une
chronologie « mécanique » de la « trajectoire » du
corps suite au choc et aux « mouvements » de force physique que cela
entraîne, avec les autres blessures, bouche, œil, mâchoire… et puis surtout la
jambe gauche…
il y a
bien incompatibilité de blessures…
Si ma tête, mon visage
avait heurté le pare-brise, j’aurais certainement eu d’autres éclats de verre
sur le visage… (voir hôpitaux, blessés au
visage par pare-brise…) et non pas un seul bout de verre qui est là comme
pour « faire croire que… »
Un endroit sans
« témoins » potentiels, sans vie, isolé, qui ne sert que pour des
gros flux de circulation…
Cette nuit là, aux alentours
du lieu de l’accident, des gens en voiture ont-ils été détournés de leur
itinéraire, c’est à dire « qu’on » leur a « fermé » des routes ?
MA TÊTE N’A
PAS PU HEURTER LA VOITURE
Si je n’ai pas eu de blessure au dos c’est que j’ai fait
« corps » avec mon siège… par conséquent ma tête, mon visage, n’a pas
pu « heurter » ni le volant, ni le pare-brise, ni le toit…
J’ai fait « bloc » avec la
voiture…
Autre preuve que ma tête
n’a pas pu heurter quelque chose c’est la jambe, qui était bien
« ancrée » en force avec mon corps, le sol (la route), toute la charpente solide de la voiture dans laquelle
j’ai « puisé » une certaine « énergie », en
« onde », lien, « ressenti » avec le centre de gravité de
la voiture… probablement un « petit coup de volant » de
« dernière seconde » sur la droite je pense… qui a évité un choc
« frontal », a permis aussi de faire dévier la « masse » du
moteur sur le côté… j’étais en « ultra-réceptivité »… Cela montre une
position du corps « basse », « ancrée » au sol… « prêt
à encaisser » le choc, en « repli » contre le siège, en appui 3
points (2 mains volant, jambe gauche)…
J’ai eu peur qu’on me
blesse les mains, qu’on me coupe les doigts… C’est aussi une peur qui m’est
arrivé d’avoir ces derniers temps suite à des menaces et intimidations…
Le chirurgien m’a dit… il y avait un « léger » hématome extradural,
on a hésité à opérer, mais on l’a fait quand même pour ne pas prendre le
moindre risque ( ! )… et puis comme vous êtes jeune… on connaît la
suite…
Pouvez-vous prouver la réalité de cet
hématome ?
Les cicatrices que j’ai à
l’œil gauche ressemblent à des « coups de couteaux »… est-ce qu’on a
voulu me crever un œil ? Et que ces plaies ont ensuite été déguisées en me
cassant sur le visage du verre de pare-brise ?
D’où m’est
« venu » toute cette « force », physique, nerveuse, pour
que mon corps soit aussi « mobilisé » et que je puisse « faire
face » à un tel choc ?
En plus des autres
« explications », une blessure « ardente » juste avant le
choc ?
Une balle de 7.65… je fais le
rapprochement avec le type qui avait un flingue au Centre Médical Vésinet, épaule
et bras dans le plâtre, à l’époque cheveux plutôt courts, un peu blond, environ
1 mètre 75, un peu maigre…
Indépendamment de « comment c’est
arrivé » j’ai toujours eu le sentiment qu’il s’agissait d’autre chose que
d’un « simple accident »… que j’avais été victime de cruautés,
d’autres violences…
Qu’est-ce
qui relève du Programme ESCH ? Qu’est-ce qui relève des
« opportunités » d’expérimentations ?
Est-ce une tentative de
meurtre « déguisée » en accident de voiture ? Qui me
visait ? Qui visait ma famille ? Qui voulait « empêcher »
des projets que d’autres avaient sur moi ?
Y a-t-il eu volonté de « tuer » ? Ou bien de
« massacrer », me défigurer, essayer de « m’handicaper »,
de m’infliger une grande souffrance ?
Ce soir là je m’étais très bien habillé, j’avais mis mes plus beaux
habits, je ne sais pas pourquoi, j’étais comme un Prince, c’était un Dimanche,
jour de la fête de la musique, premier jour de l’été…
CHRONOLOGIE
DES BLESSURES
Les « chocs » reçus,
le « traumatisme » ne correspond pas à un « accident de
voiture »… Cet accident est bien « fabriqué », car il y a trop
une « recherche » de « il faut que ce soit « ça »
absolument », mais c’est sans les « détails »… et c’est trop
« réfléchi »… « assemblé »… recherche d’un
« schéma » qui se veut d’être « trop évident »… trop
« propre », trop « facile », pour une « lecture »
« facile » aussi…
On dirait que ça a été « tracé » sur un « papier »
par avance, un « croquis » des lieux a été dessiné… pour établir le
« plan »… le plan du crime…( 07/05/2004)
Une « embuscade »
sournoise, beaucoup de lâcheté, une violence effroyable, une attaque de lâches,
de médiocres, à plusieurs contre un… de la traitrise, par des lavettes armées,
des brutes, violentes, des assassins… mensonge, tromperie, dissimulation… ils
sont moches, laids, idiots, criminels…
J’ai cru revoir un assassin qui conduisait
une voiture de police avec deux autres personnes quand j’attendais le bus vers
22h05 rue Custine, un tortionnaire que j’avais le sentiment d’avoir déjà
« vu »… qui en tous cas semblait me connaître… il a « dissimulé »
son visage… Faisait-il parti de ceux qui sont impliqués dans l’affaire de
l’accident de voiture ? (07/05/2004)
Il
y a des témoins… certains savent ce qui c’est passé… ils ont
« entendu », ils ont « vu »… ils en ont parlé à d’autres…
qui en ont parlé à d’autres… Voilà pourquoi beaucoup de « choses »
commencent à se savoir… même s’il a fallu du « temps »… (08/05/2004)
Le
but de cette série incessante de souffrances, n’est-ce pas aussi pour
m’empêcher d’y voir clair, de m’empêcher de me souvenir de souffrances
« initiales », de vouloir m’empêcher de me rappeler des souffrances
antérieures qu’on m’a infligées… et puis vouloir me forcer à
« accepter » un « triste sort », d’avoir été
« utilisé » pour des « expérimentations » et essayer de
« casser » mes « ressorts de réactivité »… Je suis bien
victime de tortionnaires, d’assassins…
Le
fait « qu’ils » te maintiennent dans une situation difficile, en
« accusé », et en usant pour cela des moyens les plus violents,
effroyables, c’est aussi pour t’obliger à rédiger une « défense »
juridique par « avance », sous « surveillance », cela
prouve qu’ils n’ont pas la conscience tranquille… et que mon domicile, mes travaux
sont bien aussi sous « surveillance »…
Ils ne font
qu’essayer, une fois de plus, d’inverser les rôles…
Le fait qu’ils utilisent autant de
moyens, aussi violents, effroyables, prouve aussi qu’ils ont beaucoup de choses
à se reprocher, qu’ils sont donc très impliqués, et pour des choses extrêmement
graves… Leur culpabilité est à la hauteur des violences qu’ils ont exercées
contre moi ainsi que des effets de tromperies, « d’embrouilles »… Ils
sont donc coupables. N’inversons pas les rôles. Je ne vais pas redouter d’être
« accusé » suite à des supercheries de flics et de truands… de toutes
façons il y a des témoins… et depuis longtemps… (08/05/2004)
Mon arcade sourcilière a été ouverte par un
« coup de couteau » ou de rasoir.
A quelle
heure précisément les témoins ont entendu le « choc » contre le pylône ?
L’éclatement de la rate
provient-il de coups de poings violents, ou de coups avec une « matraque »,
un manche de pioche, ou quelque chose comme ça, un « cric », une
manivelle ? Ou bien de la ceinture de sécurité ? Il faut voir avec
des cas similaires, si la ceinture de sécurité peut faire « éclater »
la rate…
Pourquoi avoir décidé de m’opérer de
l’hématome aussi rapidement, alors qu’il s’agissait selon le chirurgien et ceux
qui ont établis le diagnostic, d’un « petit « hématome, pour ne pas
« prendre de risque » ? et cela alors que je venais de subir une
intervention chirurgicale de 15 ou 17 heures et que j’étais gravement polytraumatisé…
que mon corps, mon cœur, mes capacités de résistance avaient déjà été fortement
mises à l’épreuve ? Pourquoi ne pas avoir attendu quelques jours que je me
« rétablisse », que je reprenne des forces ?
C’était prendre le risque de me tuer, que je
ne me « réveille pas »…
Deux ou trois jours après le choc je
commençais déjà à parler, je savais qui j’étais, je reconnaissais mes parents,
je n’avais aucun signe de « troubles », je pouvais difficilement me
faire comprendre car j’avais la lèvre arrachée qui venait d’être recousue, et
une fracture de la mâchoire qui n’avait pas été diagnostiquée, mais dont je
souffrais j’ai essayé de dire plusieurs fois « j’ai mal à la mâchoire… »
Cet empressement à me
faire subir une opération chirurgicale très risquée, très douloureuse, très
éprouvante, très « dangereuse », c’était par peur que je me
« souvienne » de ce qui c’était passé réellement ?
Par peur que je puisse « parler » ?
Pourquoi le chirurgien
qui m’a opéré de la jambe, et qui a réussi presque un « exploit », en
tous cas un travail remarquable, pourquoi a-t-il été atteint de
« maladie » quelques années plus tard, comme on me l’a averti par
courrier ?
Les fractures de ma
jambe gauche, et notamment la fracture du fémur en « biseau » et du
bassin, peuvent-elles provenir d’un autre type de « choc »,
latéral ? Mon pied gauche a été retrouvé « tordu », « vrillé »,
comme le montrait ma chaussure, en cuir très solide…
Est-il possible que j’ai été victime d’une
agression, alors que j’étais « descendu » de la voiture ?
Que j’ai été renversé par une voiture ? où
cela a-t-il eu lieu ? Pourquoi la voiture que je conduisais a-t-elle été
ensuite « nettoyée » ? Y avait-il des traces de poussière sur la
carrosserie, les pneus ?
Célia, hôpital de Saint
Germain en Laye, en août, elle avait été renversée par un automobiliste alors
qu’elle était sur un passage piéton, elle avait eu la jambe cassée...
Comment expliquer les blessures, les
cicatrices que j’ai sur l’intérieur de ma cuisse gauche (et droite)
Est-ce que la mise en « valeur » dans les médias de ces
histoires de « sévices » en Irak n’ont pas aussi pour
« but » de « faire oublier », ou « faire
dériver » les tortures réciproques qui ont eu lieu pendant la guerre
d’Algérie ?… Y a-t-il un « rapport », une relation, avec les
« expérimentations » dont j’ai été victime et qui relèvent bien de la
torture, physique, psychologique, d’une grande violence, d’une terrifiante
cruauté ? Avec en plus « l’application calculée » d’un
« plan », d’un « programme » de souffrances infligées, de
« tests » de « survie »…
le programme ESCH…
(10/05/2004)
LES FRACTURES
J’ai les os très
solides. C’est d’ailleurs inscris dans le rapport chirurgical. Le fémur, est un
os important, de taille, déjà très solide dans la « charpente »… cet
os particulièrement solide, va « casser », va se briser sur environ
une vingtaine de centimètres, en « biseau », ce qui démontre un choc
particulièrement fort et violent… Pourquoi si le choc est
« frontal », le fémur casse et je ne suis pas blessé au genou qui est
pourtant une articulation plutôt fragile, alors qu’il aurait dû être aussi
fortement éprouvé, de même que les deux os tibia et peronnet qui ont cassés…
Pourquoi n’y a t-il pas de blessure au genou, plutôt fragile, suite à un choc
tellement fort qu’il a brisé sur 20 cm le solide fémur ?
La double fracture du tibia et du peronnet est-elle
« compatible » avec la fracture du fémur ? C’est à dire, est-ce
que le tibia, le peronnet et le fémur peuvent casser en même temps de cette
manière en conséquence d’un choc frontal très violent ?
Est-ce que ce type de fracture en
« biseau », sur le fémur, ne correspondrait pas plutôt aux
conséquences d’un choc latéral sur le côté ? A comparer avec d’autres cas
de fractures : fémur choc frontale et fémur choc latéral, oblique ou
autres... une « torsion » de la jambe vers l’intérieur ou
l’extérieur… Comment réalise-t-on une « torsion » de la jambe pour en
faire casser tous les os jusqu’au bassin ? Comment le corps est-il placé, positionné,
« retenu »… qu’est-ce qui peut « coincer » le pied et/ou le
corps … faire tourner le corps et/ou le pied dans deux sens différents ?
(10/05/2004)
En tous cas j’ai été piégé par surprise par des « pros », qui
n’en étaient surement pas à leur coup d’essai…
CHRONOLOGIE
DES BLESSURES
Sur l’œil gauche la cicatrice
ressemble fort à celle laissée par une « lame », un couteau, ou un
rasoir qu’un criminel aurait tenu appuyé contre l’œil, en menace
« d’arracher » l’œil… La blessure, le coup de couteau ou de rasoir
sur la paupière a dû être faite après, pour que le visage soit couvert de sang…
dissimuler aussi éventuellement des « hématomes » et puis
« faire croire que… » ma tête avait percuté le pare-brise… quand ce
coup de « lame » a été donné, ma tête avait déjà
« chavirée », était probablement retombée sur la poitrine…
Pour pouvoir « coincer » quelqu’un
et lui appuyer une « lame » sur l’œil, il faut déjà avoir « l’habitude »
de ce genre de tactique, et puis surtout il faut s’y prendre en
« traitre », sournoisement, c’est l’agissement d’un fourbe sanguinaire,
d’un hypocrite, d’une « brute » inhumaine, quelle que soit sa
« corpulence », quelqu’un de plus petit que moi, de taille, et à tous
points de vues… Il faut aussi avoir une certaine « nervosité »,
« rapidité » peut-être… à moins que l’approche n’ait été faite sous
la menace d’une autre arme, on pense bien sûr au « révolver », au
« flingue »… mais il n’est pas dit qu’il n’y ait pas eu aussi
d’autres armes encore, ou d’autres « menaces »…
Il
s’agit bien d’une tentative de meurtre. Les assassins qui ont fait ça se
« connaissaient », au moins la plupart, ils étaient
« liés » pour avoir déjà commis d’autres crimes ensembles… ils n’en
étaient pas à leur premier meurtre…
Pourquoi a-t-on voulu me tuer ?
(voir Journal des étoiles 2014 à 2015)
RÉANIMATION
On est en France, à
Paris, en 1987. Quand je suis sorti de réanimation, j’ai été placé dans une
chambre… j’ai réussi à me trainer sur une jambe pour aller dans la petite
« salle de bains », et je me suis vu dans le miroir pour la première
fois… le crâne rasé, tondu, je ressemblais à un « rescapé » de
« camps de… »… j’étais terriblement amaigri, que des os avec de la
peau, on voyait toutes mes cotes, tous mes os, ma cage thoracique, mon visage
avait presque disparu, c’était juste un « crane » avec de la peau dessus,
ma peau était toute bleue, livide, tuméfiée, j’avais encore plein de sang dans
mes yeux, les plaies, sur mon visage, étaient bleues rougeâtres très foncées…
Est-il possible que je me sois
retrouvé la « tête en bas » pour provoquer une très forte affluence
de sang dans la tête, le cerveau ? Dans le but de provoquer une
« hémorragie » cérébrale ? La violence du choc, du coup dans le
ventre, qui a provoqué l’éclatement de la rate, pas très loin d’une artère,
avait-il aussi pour but d’essayer de provoquer une hémorragie interne ?
Est-il possible que j’ai reçu ce coup alors que j’avais la « tête en
bas », le « corps en bas », « renversé » ?
Et ce coup, cette blessure
« arrachée » à l’intérieur de ma cuisse gauche, une plaie issue d’un
coup brutal, « enragé », violent, avec peut être un morceau de fer,
ou bien avec les « dents » tranchantes d’une bouteille de verre
cassé, ne visait-il pas plutôt à me trancher l’artère qui passe juste à cet
endroit de la cuisse ?
Pourquoi
est-ce que j’avais perdu tant de sang ?
Mon corps avait déjà été
« vidé » de beaucoup de mon sang… Était-il vraiment possible que je
perde autant de sang en si peu de temps ? En ce cas, les sauveteurs ont dû
voir autour de mon corps une marre de sang… est-ce qu’ils ont vu en
arrivant ?
Et encore eut-il fallu que ce soit bien mon
sang…
Combien de « litres »
de sang m’a-t-on transfusé ?
Une curieuse blessure à la cheville droite…
une trace de « brûlure », laissée par le frottement d’une
corde ? Ou d’un projectile ?
Ma jambe droite aurait dû aussi
être « blessée », « fracturée »,
« contusionnée », vu « théoriquement » la violence, la
force du choc « mécanique »… or il n’en a rien été… ma jambe droite
est intacte …
Pourquoi ?
Il n’y a strictement rien
avec cette voiture et avec ce type de choc, le « déplacement du
corps » qui s’en est suivi, qui aurait pu blesser ainsi,
« déchirer » ma cuisse droite… cette blessure provient donc
« d’autre chose », elle n’est pas consécutive à « l’accident de
voiture »…
Tu fais de belles choses, tu ne fais de mal
à personne, et puis soudain, la violence débarque dans ta vie… tu ne sais même
pas pourquoi… cela m’est arrivé plusieurs fois dans ma vie…
Je ne sais pas s’il y en a
beaucoup parmi vous qui savent vraiment ce que c’est que d’avoir envie de
mourir. Je parle de mourir en « toute lucidité », parce qu’il y a
trop de souffrance dans votre vie, trop de désespoir, trop de chagrin dans
votre cœur, une absence presque totale « d’intelligence », de « compréhension »,
d’amour vécu autours de vous, et que vous n’espérez plus rien ni de personne ni
de la vie… trop de déceptions, d’injustices, de bêtise, de cruautés…
« L’envie
de mourir », qui est injuste pour un homme de bien, peut aussi se
« transformer » en « envie de tuer »… Sans doute est-ce ce
que veulent ces criminels, ces assassins qui me harcèlent… (Voir aussi Rennes
2014 & 2015)
J’ai eu envie de mourir après
une opération chirurgicale… et plus tard aussi… la violence, les chocs que
j’avais reçu, les traumatismes, le traitement inhumain dont j’ai été l’objet…
plusieurs fois ils m’ont placés dans des conditions de souffrance
effroyables... je ne sais pas comment j’ai fait pour survivre… (21 Mars 2004)
La
voiture sur un « rail »
Des « patients » pas par hasard…
Les sauveteurs ont été de grands
professionnels… ils et elles ont fait un travail remarquable, ils ont
« écarté » le « danger »…
Il y
avait donc un « danger » alentours…
SCANNER
Les médecins, chirurgiens, ceux qui ont
dévidé de l’opération du soit disant « hématome » extradural ont-ils
pu être abusés par une « falsification » des radios, prises de vues
du scanner que j’ai été passé à l’Hôpital Beaujon ? Est-il possible qu’il
y ait eu une erreur d’examen ? Qu’ils aient décidé d’opérer sur moi un
hématome qui était sur quelqu’un d’autre ? après une
« confusion », une erreur d’identification de radios, de
clichés ? Est-il possible de « falsifier » une radio, un cliché
de scanner, par des effets « d’incrustations » graphiques, de
« modifications » graphiques, visuelles ?
L’EXPERTISE
DE LA VOITURE
Bâclée, sans aucune pertinence,
une bête « application » de ce « qu’il fallait dire »
prévue d’avance…
SYNTHÈSE (Hypothèse)
J’étais
« poursuivi », arrivée rapide d’une voiture de police
Une moto aurait surgie
de la droite, il y aurait eu aussi une chute de moto… était-ce le type qui
avait l’épaule cassée et qui m’a montré un flingue quand j’étais au Centre
Médical du Vésinet ?
Un autre
véhicule me « serre », me pousse vers la gauche
Une balle dans la tête ou dans le pare-brise…
Le terre plein central
Le crash contre le pylône
jambe et bassin fracturés… la rate ?
la voiture rebondie, s’immobilise
Un coup
de poing violent dans la mâchoire
De l’alcool qu’on me
fait boire après avoir cassé le goulot de la bouteille
Des coups
de couteau ou de rasoir sur l’œil, le front
Arrachage, coupure dans la cuisse pour essayer de trancher l’artère,
avec la bouteille cassée ?
Tentative d’allumer un incendie
(Suite next page)
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