« Jolie Magic fee’s »
Présente
Donald,
Daisy & la Petite !
(Scénario
Movie Cinéma)
Author(e)
Emmanuel DIGNAT
(avec ses jolies Chéries &
la jolie Daisy de Mc Do !)
Golden Spring’s Consulting
Projectives & Stratégies
Culturelles Internationales
Consulting, Creation & Publishing
… je suis épuisé, je me lève tard, il fait presque nuit, trop tard pour
aller chercher mon pain au Centre Colombia, je passe à Carrefour, je marche
quand même jusqu’à Monoprix qui vient juste de fermer… le temps est assez
clément, la Gare, solitudes, j’en ai vraiment assez, déjà plus d’argent en
poche, je passe ensuite une soirée, une nuit « assez chaude », avec
de fortes douleurs à ma blessure, je raconte alors beaucoup de « belles
histoires » (de sa vie) dans ma cuisine
« In the Kitchen »… avec les
bandes dessinées que j’ai aimé, les rapports avec le scénario de film de
cinéma, bien des perspectives culturelles internationales des plus heureuses…
ainsi je m‘amuse à « écrire un scénario », le vivre surtout tout en
le racontant, en improvisation, avec de nombreuses indications sur certains
points importants en matière de dramaturgie, narration filmique, toujours tant
de possibilités à donner à une histoire, le sens toujours avec surtout une
envie, le meilleur choix possible, celui que l’on ressent le mieux, au plus
vrai de soi… (avec « son style ! »)
… ainsi
naquît (d’après Mickey)
« Donald, Daisy &
la Petite ! »
… so beautiful
funny love story !
(en Panavision 70 mm)
... so filigrane !
(comme le petit
grain de sable dans la machine...)
... bien sûr je lisais chaque semaine
mon « Journal de Mickey » (il était abonné !) que je recevais
dans la boite aux lettres de notre petite maison du Hameau fleuri… c’est dire
aussi si je guettais le facteur (qui venait en
vélo)
« Mickey à travers les Siècles ! »
( … qui se prenait des « coups sur la
tête »)
ce qui le faisait changer d’époque !
… avec également « Picsou »…
l’Oncle Picsou qui était plein de fric… une montagne de pièces d’or (des gros billets aussi) Lingots d’or en Suisse bien sûr… comptes aux
Caïman ou aux Bahamas (ou aux îles
Canaris) mais par contre pour lui faire sortir un peu de fric ce
n’était pas chose facile !
… Donald, Daisy & « la
petite » !
(Synopsis de
film cinéma)
… justement voilà notre pauvre Donald (son neveu) qui arrive… il ne sait pas
comment payer le loyer de son appartement (déjà plusieurs
mois de retard) et sa
jolie Gonzesse « Daisy » (un peu comme
Betsy) menace de le quitter (avec leur jolie
« petite » qui a des petits papillons dans ses cheveux)… le
voilà bien triste Donald… il raconte son chagrin à l’Oncle « Picsou »
plein d’espérances mais l’Oncle Picsou fait semblant de ne rien entendre lui
disant qu’il a déjà tellement de charges lui aussi, d’Impôts de toutes sortes
évidemment sur sa fortune… faisant ainsi oublier qu’il a quand même bien des
comptes en Banques ou des coffres-forts avec bien des lingots d’ors (et des gros sacs de billets doux) un peu
partout dans le monde et justement même dans le sous-sol de sa belle propriété
mais alors qu’ils conversent tous deux voilà justement « les
Rapetous » (3 bandits bien connus) qui
portent des bandeaux noirs sur les yeux pour ne pas qu’on les reconnaisse avec
juste des trous où brillent leurs yeux avides, ils sont d’ailleurs en train de
finir de casser le mur de la salle du Coffre fort dans le sous-sol de l’Oncle
Picsou !
… commence alors la razzia « fous de
joie ! » des Rapetous qui s’affairent (avec
joie) à choisir des gros sacs de billets mais voilà soudain
qu’ils sont pris d’un doute pour savoir si l’un deux a bien mis un Ticket de
stationnement sur le pare brise de leur voiture pour ne pas se faire remarquer (ni vu ni connu) évidemment le Ticket est
bien sur le pare brise mais les Rapetous ne se doutent pas qu’au même moment deux
personnages bien mystérieux s’affairent justement autour de leur voiture,
forcent discrètement la porte du conducteur, l’un d’eux entre, il bricole
quelque chose sous le volant pendant que l’autre ouvre le coffre arrière tout
en faisant attention de ne pas se faire voir des passants puis referme le coffre,
fait signe que c’est « ok » à l’autre qui sort de la voiture mais
perd un gant qui se coince dans la portière conducteur juste avant qu’elle se
referme…
… l’Oncle Picsou si malheureux fortuné n’entends
donc pas le chagrin de son pauvre neveu Donald qui cependant avant de
partir lui donne une belle enveloppe que
« sa petite » adorable lui a demandé de lui donner…
« c’est
une surprise de « la petite »
… merci Donald, elle est vraiment adorable, je suis très content de ta
visite !
…
ainsi bien triste (mais philosophe) le pauvre
Donald esseulé se retrouve à la rue ne sachant vraiment s’il va rentrer chez
lui alors qu’il n‘a toujours pas un sou pour payer le loyer, que va-t-il dire à
Daisy alors qu’ils sont sur le point de se faire expulser ? Et la
« petite » ? Que vont-ils devenir dans ce monde impitoyable qui
ne sait entendre la poésie de l’amour ?
… là… tout comme le spectateur ou la
spectatrice qui regarde le film sur un grand écran dans une belle salle de
cinéma (avec des Pop Corns) on
pense quand même… « Quel salaud ce
Picsou !... finalement, les Rapetous ont bien fait de se servir dans le
coffre-fort ! »
… justement les Rapetous bienheureux (ils pourront aller à la Pute)
« Beach » chérie... « à la plage » ... ils se pressent alors
de sortir du tunnel souterrain juste derrière la belle propriété de l’Oncle
Picsou, complètement d’accord avec ce que pensent les spectateurs (& spectatrices !) « si tu « Picsou » on
« Rap’s tout ! » disent même les bienheureux Rapetous
portant des gros sacs de billets remplis à ras-bord (qui
débordent de billets) ils arrivent avec grâce (sur la pointe des pieds) jusqu’à leur
voiture (avec le joli Ticket de stationnement)
bien sûr celle que les deux individus bien mystérieux viennent justement de
trafiquer !
… so
what will happen ? (FBI)
… ils s’apprêtent à monter
dans leur voiture (pris de fous rires) lorsque
soudain l’un d’eux remarque le gant coincé dans la portière avant de la voiture
du côté du conducteur… un peu déconcertés ils réfléchissent, se demandent l’un
l’autre si ce n’est pas l’un de leurs gants pour en convenir qu’ils ont bien
chacun leur paire, c’est alors qu’un doute les tenaille, ils jettent discrètement
des regards inquiets à la ronde pour finalement se demander si leur voiture n’a
pas été trafiquée en leur absence
« Tu
penses que quelqu’un aurait mis des explosifs ? »
… « Fichtre !
J’ai laissé ma Carte de Crédit dans la boite à gant ! »
…
« en plus ! »
… les voilà bien
embêtés lorsqu’au bout de l’avenue bordée d’arbres arrive justement une voiture
de Police qui roule lentement, semblant chercher quelque chose (sans doute les Rapetous !) qui n’ont
toujours pas vu la voiture de Police arriver cherchant en vain une solution en
se grattant la tête « Que faire ? » se demandent-ils (en chœurs) lorsqu’ils
voient soudain sur le trottoir un gamin qui arrive un peu rêveur tenant une
copie d’écolier à la main (où il a eu une
mauvaise note) redoutant d’ailleurs de se faire réprimander par
ses parents lorsque l’un des Rapetous soudain l’appelle, lui tends un billet de
banque tout neuf avec bonheur
« Tiens petit !»
…
le Gamin le regarde
« C’est pour moi ? »
… « Ecoute Petit, c’est ma voiture, je veux juste que tu entres et
que tu démarres la voiture ! »
… le Gamin semble
tout heureux
« Démarrer la voiture ?...
facile ! »
…
Et si la voiture explosait au moment du démarrage ?... ainsi l’on pense
maintenant « Quels salauds ces Rapetous ! » qui d’ailleurs très
lâchement s’éloignent de leur voiture (à petits pas)
avec leurs gros sacs de billets, redoutant une explosion alors que le Gamin
tout heureux ouvre la portière « comme
un Pilote de course ! » il s’installe au volant, appuie sur le
bouton automatique pour abaisser la vitre avant, adresse un salut amical de la
main aux Rapetous qui l’incitent de la tête
« Vas-y
Petit ! »
… le Gamin (tout heureux)
« Pas de problème, ça
boum ! »
… il tourne la clé
de contact, juste le bruit du démarreur, le moteur tousse, le Gamin appuie un
grand coup sur l’accélérateur, le moteur s’emballe, tout heureux le Gamin fait
ensuite vrombir le moteur « Vroum,
vroum ! » quelques longues secondes en attente, toujours pas
d’explosion, les Rapetous soufflent de soulagement « fausse alerte les gars, pressons nous maintenant » ...
« le Chef nous attends ! » c’est alors que l’un d’eux
aperçoit la voiture de Police qui arrive lentement « Zut ! Voilà du monde ! »... « Vite les
gars ! » ils se pressent de charger les gros sacs de billets dans
le coffre (et sur les sièges arrières)
de la voiture « merci Petit »
dit l’un d’eux qui regarde le Gamin un peu rêveur, réalisant alors qu’il aurait
pû mourir de sa faute si la voiture avait explosé, effleuré d’un soupçon
d’humanité qui l’étonne lui-même il lui tends soudain une poignée de billets « Tiens Petits, pars vite
maintenant » un autre Rapetous l’interpelle « dépêches toi nom de nom ! » ils s’installent tant
bien que mal dans la voiture bourrée de sacs de billets ce qui ne les empêche
pas de se disputer quand même pour savoir qui va conduire et qui aura la place
avant passager (plus confortable) ainsi
l’un d’eux se retrouve seul à l’arrière, fort mécontent de son mauvais sort…
« Sale race ! »
… fais pas la gueule
… on va bien s’amuser !
… au même moment la voiture de Police
passe lentement, s’arrête à la hauteur de la voiture des Rapetous qui soudain
prennent un air enjoué (avec de grands
sourires) avec même un petit signe amical de la main « coucou ! » faisant
soudain démarrer la voiture en trombe avec les Rapetous (riant
aux éclats) alors que dans la voiture de Police c’est (une charmante policière) au volant toute
extasiée qui dit à son équipier
« Tu as vu tous ces
billets ! »
… son équipier (un flic français avec une belle casquette)
« les salauds ! »
…
la policière (toujours extasiée)
« T’oubliera
pas d’en prendre quelques liasses pour les petits pots ! »
… elle démarre en
trombe, la voiture dérape, zigzag sur la chaussée, fait demi-tour en faisant
crisser les pneus pour se lancer (à fond la
caisse) à la poursuite des Rapetous endiablés pendant que juste
à côté dans la belle propriété l’Oncle Picsou arrivant dans la salle des
Coffres jonchée de billets oubliés dans la précipitation découvre alors le vol
de son argent (levant les mains au ciel) il pousse un long cri de désespoir à vous arracher
le cœur « Aaaaah… tous mes sacs de
billets de 1000 ! » il manque de s’évanouir, vacille, tout juste
rattrapé par sa Gouvernante qui arrive à l’instant « Monsieur Picsou ! » elle le soutient tant bien que
mal alors que surgit le Majordome tout affolé « Monsieur Picsou ! » il le transporte avec la
Gouvernante en le tenant par les pieds jusque sur le Canapé du salon où le
pauvre Monsieur Picsou balbutiant des mots incompréhensibles essaye en vain de
retrouver ses esprits…
… après avoir vu son Oncle Picsou, le
malheureux Donald revenu sans un sou auprès de Daisy aurait pû s’entendre dire
… Daisy (presqu’en larmes)
« Je te quitte Donald… »
… Donald
« Mais c’est pas de ma faute Daisy !»
…
Daisy
« C’est
trop tard Donald, nous n’avons plus un sou, je n’ai même pas de quoi préparer
un Bacon Cheese Burger pour la Petite !»
…
Donald
« Aaaaah… »
… Daisy
« Tu es un manant Donald ! Vas t’en ! »
…. Donald (presque mourant)
« Aaaaaaaah… »
… il se serait senti
frappé d’injustice, aurait alors été obligé de repartir, seul, effondré sans
plus jamais pouvoir revoir sa « Petite »… en ce cas on aurait
peut-être pensé de Daisy « Quelle connasse celle-là ! »… « pauvre
Donald… »
... mais là dans notre film par
chance peut-être Donald n’a pas encore retrouvé Daisy… il marche un peu
grincheux sur le trottoir parfois prit de révolte où il se demande même s’il ne
va pas « se faire une
Banque ! » c’est alors qu’arrive en trombe dans la rue (avec crissements de pneus !) la
voiture des Rapetous toujours rieurs avec leurs bandeaux noirs sur le visage où
brillent leurs yeux de bandits
« Quel abruti ce
Picsou ! »
… (dont le chagrin fait bien leur bonheur)
Donald un peu surpris voit passer les Rapetous (en
Rap’s) « qui filent à
fond la caisse avec la caisse de Pic-sou !» suivie aussitôt par la
voiture de Police qui surgie en dérapage (et en Rap’s
aussi) « toujours à
fonds la caisse jouant aussi de la caisse claire! » avec toujours
au volant (et complètement extasiée !) la charmante policière qui justement apercevant
Donald si malheureux sur le trottoir fait une légère embardée pour passer juste
à côté de lui
« Hi
Donald ! »
Donald
… « Hi ! »
… les voitures disparaissent en trombe à
l’angle de la rue
Donald
(songeur)
« J’ai
dû la voir quelque part celle-là mais je me souviens pas où ! »
… un éclair de tonnerre résonne dans le ciel, Donald (lève les yeux au ciel) il faudrait
peut-être qu’il trouve une banque maintenant pour essayer lui aussi de se servir (dans
la Caisse) avant la fermeture car la journée est déjà bien avancée
« comme ça je pourrai même acheter une Mappemonde pour la
Petite ! »
… pas très loin d’ici justement c’est
l’heure de la sortie d’une petite école (les petits &
les petites) sortent joyeusement sur le trottoir avec justement la
jolie « Petite » de Donald & Daisy (ou
de Daisy & Donald) toute mignonne
avec son petit cartable (et son petit
copain) elle regarde aussi le ciel
alors que résonne un autre roulement de tonnerre
La Petite (à son petit copain)
... je suis sûr qu’il va
bientôt pleuvoir !
… un magnifique dessin (d’une
Petite) sort d’une belle enveloppe où l’on reconnait dessiné
notre ami Donald avec Daisy (la Petite) l’Oncle Picsou avec encore quelques
petits enfants qui jouent au Volley Ball sur la plage au bord de l’océan…
« for you
my dear Uncle ! »
… écrit en nuages colorés
dans le ciel, c’est la belle enveloppe de « la Petite » que Donald avait
donné à l’Oncle Picsou (bien triste encore) allongé sur le Sofa qui
contemple tout ému cette magnifique scène de bonheur
« elle est vraiment géniale cette
Petite !»
… surgie alors dans un virage la voiture des Rapetous (en
fous rires à fond la caisse) suivie par la voiture de Police
toutes sirènes hurlantes alors que surgie encore une troisième voiture d’une
autre rue « c’est eux !
fonce ! » on reconnait les deux mystérieux « inconnus »
qui avaient trafiqué la voiture des Rapetous
« ils
n’en ont plus longtemps !»
… l’autre inconnu (tout
en conduisant en pleine accélération)
« Tu as mis assez de Nitroglycérine
explosive ? »
… « Juste un petit bidon caché dans le coffre… à la moindre secousse
tout explose ! »
... « il faudra quand même voir si je peux pas retrouver mon
gant ! »
… cette remarque (les faits pouffer de rire) comme s’ils
étaient à bout de nerfs nous retrouvons maintenant (la
sortie de la petite école) avec les Petits & les Petites (qui gazouillent comme des petits poussins)
c’est alors que surgie la voiture des Rapetous endiablés toujours à fonds la
caisse les enfants entendent les rugissements (et
crissements de pneus) de la voiture qui se dirige tout droit sur
la route où s’éparpillent les bambins, le petit copain de la
« Petite » se retourne « Regarde !
Une poursuite ! » justement les Rapetous s’en donnent « à
cœur joie » ils se rapprochent à toute vitesse des enfants faisant hurler
le moteur toujours poursuivis par la voiture de Police (et
« les Inconnus ») le choc semble être inévitable « Et fatal » dit l’un des
Inconnus serrant le volant avec des tremblements nerveux alors que les enfants (comme des Anges) semblent médusés, la
« Petite » (si jolie
toujours) ne semble pas s’en faire
« ça fera
peut-être tomber la pluie ! »
« Tu crois ?» (répond
le gentil Petit Copain)
« Combien
tu paris ? » (dit-elle avec
un regard de petite coquine)
... les autres petits enfants par contre commencent
(à être pris de panique) alors que se
rapproche la voiture endiablée des Rapetous toujours rieurs (à fous rires) sous les cris des sirènes
mais c’est alors que l’on aperçoit (un dos d’âne)
sur la chaussée juste avant la sortie de la petite école, la voiture des
Rapetous bondit soudain (sur le dos
d’âne) et c’est soudain un grand bond dans les airs « et boum ! » dit l’un
des « Inconnus » toujours au volant pris soudain d’une crise
d’épilepsie en effet (Boum !)
la voiture des Rapetous explose dans les airs (une
gigantesque explosion) tout un gros nuage de volutes en feu (avec les sacs de billets qui explosent aussi)
comme des confettis chérie sous le regard amusé (des
Petits & des Petites !) de même que de la voiture de
Police avec la policière (toujours folle
de joie) qui essaye de freiner en zigzag sous les commentaires
de son équipier à casquette
« Zou ! Plus de
Rapetous ! »
…
la charmante Policière (en zigzag)
« Banane ! »
Le
flic français (avec sa belle casquette)
... « Pourquoi tu me traites de
Banane ?! »
…
la charmante Policière (faisant une
embardée pour qu’il se cogne à la portière)
« Et pour nos billets,
on fera comment pour les petits pots ? »
… le flic français à
casquette (réfléchissant)
« Aaaaa ! oui… »
… mais voilà soudain que
surgissant des airs au beau milieu de
l’explosion la voiture des Rapetous (ou ce qu’il en
reste !) retombe sur la route dans une gerbe d’étincelles juste
à côté de la sortie (de la petite école) roulant
juste sur les 2 roues avant (tout l’arrière arrachée
par l’explosion !) la voiture toujours lancée à pleine
vitesse fait jaillir sur la chaussée des gerbes d’étincelles toujours plus
phénoménales avec les Rapetous en folie (qui poussent des rires de folie !)
de même que le troisième Rapetous à l’arrière (son
froc déchiré) s’accroche désespérément au siège conducteur (ce sera bien sûr un cascadeur) avec mes
productions il y a toujours beaucoup de monde qui bosse chérie !
… bien sûr tous les sacs de billets de
banque « tous mes billets de
1000 ! » dit encore l’Oncle Picsou (en
soupirant de chagrin) tous les sacs ont été projetés dans les airs où ils ont
explosé, voilà justement qu’un gros sac tout gonflé (il
était pas pressé celui-là) explose encore répandant de nouveaux des
billets dans le ciel qui s’envolent avec les autres comme une pluie de
confettis ! (traitement d’incrustation avec des images numériques)
… on
peut tout faire un cinéma chérie... pour reprendre l’action voilà donc la sortie
de l’école, la voiture des Rapetous (avec des gerbes
d’étincelles) qui fonce (sur les Petits
& les Petites) à la sortie de l’école, un petit gosse attiré
par le rugissement des moteurs (et les sirènes)
s’écrit alors « Attention ! »
tous et toutes se tournent vers la voiture cabossée qui fonce droit sur eux « La voiture ! » ils (& elles) se
dispersent dans tous les sens avec des cris (d’oiseaux
affolés) s’éloignant de la chaussée, la voiture cabossée des
Rapetous fonce toujours alors que s’éparpillent les enfants laissant apparaitre
soudain la jolie « Petite » de Daisy & Donald qui traverse la
route en train de regarder le ciel « Tu as vu tous ces billets ?! »
dit-elle à son petit copain qui soudain aperçoit la voiture des Rapetous
surgissant sur eux « Viens
vite ! » s’écrit-il en l’attrapant par la main (bondissant comme Superman avec elle dans les airs)
la voiture endiablée des Rapetous passe en trombe les évitant de justesse
laissant des myriades d’étincelles c’est alors que l’on entend (une jolie musique avec des chœurs) tous les
Petits & les Petites encore en émotion découvrent avec magie la pluie de
billets de Banque qui tombe du ciel (comme les
larmes de Donald) se mettant alors à
crier de
joie tous ensemble
« Y e e e e a a a
a ! »
... ils
avec elles se précipitent en palpitant de bonheur pour les ramasser (comme les feuilles d’amour des arbres en Automne)
on retrouve alors la jolie « Petite » (avec
son gentil petit Superman) les bras déjà pleins de billets, elle
prend plutôt des liasses (qu’elle choisie
de préférence) qu’elle met ensuite à tour de bras dans son petit
cartable d’écolière regardant son petit copain adoré (qui
est aussi très beau) avec un beau sourire elle lui dit
« Je t’avais dit qu’il allait
pleuvoir »
...
Tu as gagné ton pari !
... alors tu me dois un
bisou !
... Toi
aussi, je t’ai sauvé la vie !
... Tu n’es qu’un Superman macho ! (dit-elle un
peu moqueuse)
... si jolie elle lui fait un
bisou sur la joue (de son gentil petit copain)
tout heureux lui aussi…
… ce qui n’est pas le cas des Rapetous que
l’on retrouve plus loin sur la route toujours poursuivis par la voiture de
Police suivie de celle (des Inconnus) le Rapetous qui conduit essaye
de tenir le volant de la voiture cabossée qui zigzag entre les gerbes
d’étincelles (avec toujours le troisième à l’arrière qui
s’accroche au siège !) il est soudain pris d’affolement
lorsque surgit de la gauche en face de lui un gros camion citerne avec au
volant ( le Chef Rapetous !) ils se
reconnaissent chacun au volant de leurs véhicules fonçant l’un sur l’autre
… les Rapetous (en chœurs médusés)
« le Chef ! »
… le
Chef Rapetous (stupéfait !)
« Vous ici ! »
… juste avant de se percuter dans une grosse
explosion gigantesque qui projette à nouveau tous les Rapetous très haut dans
les airs, arrivant à toute vitesse la voiture de Police s’écrase à son tour
dans les flammes avec toujours le flic (français)
à casquette qui dit à la charmante policière (en
extase)
« ça va être de la banane
flambée ! »
« Au Cognac j’espère ! »
... avec encore la voiture (des inconnus) qui arrive en rugissant le
passager (d’un rire saccadé) dit au
conducteur « Fonce,
fonce ! » toujours en crise d’épilepsie qui hurle à son tour
« c’est encore mieux que la
nitroglycérine ! » l’inconnu passager (de
passage) lui réponds « Tu
retrouveras peut-être ton gant ! » avant de s’écraser à son tour
dans le brasier faisant jaillir à nouveau des flammes gigantesques avec des
étincelles jusque dans les airs toujours où l’on retrouve justement le
troisième Rapetous (toujours accroché au siège)
qui croise la trajectoire du Chef (accroché au
volant) tout au dessus de la ville
« Bonjour Chef ! » (dit-il avec un
sourire imbécile)
« Abrutis ! »
… pour retomber ensuite ici ou là sur la ville
(avec des rires d’abrutis) l’un des
Rapetous retombe à toute vitesse juste sur le toit d’un immeuble non loin de
celui (de Daisy & Donald) où
justement Donald (n’ayant
pas trouvé de Banque) ne
sait plus que faire assis en bas sur le perron à attendre (un
signe du ciel !)
« Tiens,
un météorite ! »
… qui s’écrase avec un bruit de tremblement
de terre qui amuse beaucoup Donald, il reste songeur à la recherche d’une idée
lorsque sur le trottoir à côté de lui surgit la jolie « Petite » (toute heureuse)
« Pap’s ! »
… ma petite Chérie !
… « Regarde !»
... elle ouvre (son petit cartable) lui montre les
liasses de...
« billets de 1000 ! »
s’exclame Donald (un peu ahuri)
… ainsi l’on peut croire que Donald
est sauvé, qu’il va pouvoir payer les loyers de retard (retrouver
l’amour de Daisy) on les retrouve donc à la porte (de la porte) de leur appartement, Donald (tout content) tient le petit cartable (de sa jolie « Petite ») Daisy
ouvre la porte, embrasse sa jolie fille (la jolie
« Petite ») puis regarde Donald un peu hésitant qui ne
demanderait qu’à lui faire un sourire mais elle lui dit calmement…
« Toi tu
restes dehors »
… il
reste béa (Ba) sans même qu’il ait le
temps de dire quoi que ce soit…
… là encore on pourrait penser
« quelle connasse cette Daisy ! »… elle a un beau cul mais
quelle connasse ! » notre pauvre Donald si malheureux insiste avec
hésitation, sonne à la porte (sans réponse)
il demeure effondré de chagrin avec toujours à la main le petit cartable de sa
petite chérie…
« Snif ! »
… les yeux mouillés de larmes il s’en va,
seul, abandonné, descend les marches du grand escalier, se retournant parfois
pour voir si toutefois elle ne lui ouvre pas la porte (une
larme au coin de l’œil)
« je reviendrai peut-être… adieu ma
petite chérie… »
… il
sort dans la petite avenue, des badauds en le voyant si triste en profitent
pour dire en passant…
« Quelle
salope cette Daisy ! »
…on retrouve alors Donald à la Gare où il
prend un billet de train, marche le long du quai (vers
un destin bien incertain…)
… là ce pourrait être la fin du film ou celui
de la première partie (cela dépend
aussi du budget) mais ce
serait alors (pour lui l’auteur) un peu
trop triste de finir ainsi d’autant que certains disent déjà
«Quel
salaud ce Donald ! »
… « il est parti avec tout l’argent de la
Petite sans même avoir rien laissé pour le loyer ! »
… ou bien, plutôt que d’aller à la Gare,
Donald aurait pû entrer (dans « un
Club de Streap Teaseuses »)
…
Donald (pensant à Daisy)
« Connasse, je vais pas me
gêner ! »
…
avec bien sûr de biens jolies Gonzesses… Champagne... d’ailleurs elles lui font
déjà de l’œil sans doute aussi pressentant bien des liasses de billets (avec leur instinct féminin de survie) au lever du jour on retrouve Donald
entouré de ses bouteilles de Champagne le visage marqué de rouge à lèvres (se réveillant avec bonheur) il appelle …
« Mélissa ? »
(sans réponse)
… « Mélissa ?! »
… toujours pas de réponse, il regarde tout autour de la chambre,
personne et soudain
… « Zut, elle est partie avec le cartable
de la Petite ! »
… (sans doute
était-elle « en mal d’enfants » chéri ) sans doute
chérie mais notre magnifique (love story)
ne peut donc se terminer ainsi puisque l’on penserait non seulement que le
malheureux Donald est un salaud mais en plus (un
débauché !) c’est pourquoi l’auteur (l’un
des meilleurs au monde) merci chérie... le brillantissime auteur
pense qu’il vaudrait mieux retrouver Donald (déjà
bien chagriné) après que Daisy lui a refermé
« la
porte au nez ! »
... il est justement face à
l’océan, en larmes au bout d’une jetée près du Phare (serrant
dans ses bras le petit cartable de sa Petite) prêt à se jeter à
l’eau…
« Allo ? »
… lui dit une jolie Gonzesse qui surgit
soudain près de lui…
…Donald « Que
m’arrive t-il ce soir sous les étoiles ?»
… si jolie (and
so sexy !) elle semble passionnée de lui, les petits mots
d’amour (coulent de source) au bord
des flots, elle le raccompagne (ondulante)
le long des quais de plaisance le tenant par le bras avec une telle émotion qu’il
retrouve déjà le goût de l’amour (qui n’est pas
toujours du goût des autres) soudain tout épris de lumière avec tous
ces gens heureux, heureuses, toutes ces couleurs des lumières joie de vivre la
vie l’amour ainsi tous deux (« font la
paire ») comme font « les petites marionnettes » de
toute évidence ils s’aiment pour la vie partageant même une glace (Vanille fraise) en cornet des plus
romantiques assis sur un banc (face à
l’horizon de la vie) elle lui dit alors avec grâce
« mon bel amour… »
Donald (flying
love)
« ma chérie adorée... »
La
jolie Gonzesse (so sexy class)
« Attends moi… je vais juste passer un
coup de fil (dans
la petite cabine au coin de la rue) j’en ai pour une minute… »
Donald (flying love so far away)
… oui, oui ma jolie Chérie (répond-t-il à ses aises) … fais
vite, je suis fou de toi !
… elle
s’éloigne en ondulant (de ses
charmes) qui laissent Donald rêveur mais l’heure tourne (le manège aussi) les petits restaurants si
charmants ferment les uns après les autres ne laissant place qu’à la rumeur de
l’océan, une à une les lumières s’éteignent Donald se prend d’inquiétude, il va
voir au coin de la rue, la cabine de téléphone est vide avec juste le combiné
qui pend au bout du fil
… Donald à nouveau reste
(Béa « Ba ») il croit entendre un grésillement qui vient du téléphone,
se penche, prend le combiné pour écouter d’où l’on entend l’air d’une chanson
bien connue
« ... ainsi font, font, font, les petites
marionnettes, ainsi font, font, font trois p’tits tours et puis s’en vont !»
… Mr Donald ?
… oui ?
... il se retourne et découvre ( le Groom d’un grand hôtel voisin !)
« C’est la
note pour le Taxi… »
… « ? »
Donald pourrait dire « la
note ? » ou « quel Taxi ? » ou encore
« Pardon ? » (« je ne
comprends pas bien ? ») plein de choses encore mais là
il ne dit rien, simplement interloqué, le Groom précise
« la jeune femme qui était
avec vous… »
... bien entendu le Groom a hésité à
dire « la (jolie) jeune femme »
ou même plus audacieux il aurait pû dire (la belle Pute)
« qui était avec moi ? »
aurait répondu Donald mais là peut-être le Groom aurait pû alors (« se prendre une gifle ! »)
… Donald (sortant
de ses songes)
« Ah
oui… une minute… »
... il ouvre le petit cartable de sa
« Petite » (mais il n’y a
plus un sou !)
« ça
alors ! »
… encore en ce cas si notre (love story) se terminait ainsi ce ne
serait plus vraiment (une happy love
story) comme l’on aimerait en rêver c’est pourquoi quitte à
choisir (lui
l’auteur se dit) ... peut-être que si j’avais dû choisir une
« fin » en admettant que ce soit peut-être le troisième acte du film,
on aurait plutôt retrouvé Donald au bord du quai de la Gare (avec son billet de train à la main) sauf
qu’avant de partir il aurait laissé les liasses de billets sous le paillasson
de Daisy ne gardant qu’une petite liasse pour son départ… on aurait pensé alors
« Qu’il est gentil ce Donald …
vraiment ! »
… un homme de grand cœur !
... sans même se douter qu’à
l’approche de l’Hiver, sans un sou, il allait probablement mourir de froid ou de chagrin (loin de sa
« Petite »)
Donald (songeant à son petit confort)
Et de Daisy aussi !
... Song
« j’ai
froid, j’ai faim je suis si chagrin.. »
… cette fin là donc ne me convient pas
vraiment (à lui l’auteur) c’est bien « funny mélodramatique ! »
mais un petit peu trop « mélodrame » quand même d’autant qu’il manque
encore un certain minutage pour faire (de ce chef
d’œuvre) un film de long métrage…
… on a semble-t-il oublié l’Oncle
Picsou (qu’il gardait en réserve)
qui donc s’est retrouvé (« mourant »)
après s’être fait cambrioler dans sa belle demeure par les Rapetous endiablés qui
lui ont volé « Tous mes sacs de
billets de 1000 ! » (en pleure
encore l’Oncle Picsou) il en avait été (presque
anéanti) avait dû être transporté sur le Sofa à l’aide du
Majordome et n’avait réussi qu’à reprendre vie que lorsque la Gouvernante avait
eu la bonne idée de lui dire d’ouvrir la belle enveloppe que lui avait remis
Donald de la part de la « Petite », l’Oncle Picsou effondré avait
alors découvert un magnifique dessin au bord de l’océan où l’on reconnait notre
ami Donald avec Daisy (la Petite bien sûr) et l’Oncle Picsou avec
encore quelques petits enfants adorables qui jouent au Volley Ball sur une
belle plage au bord de l’océan…
« for you my dear Uncle ! »
…
écrit en nuages colorés dans le ciel qu’avait dessiné pour lui (avec beaucoup de talent) la jolie « Petite »
ce qui l’avait ému aux larmes (lui redonnant
vie aussi) il s’était mis d’ailleurs à réfléchir à bien des
choses comme si soudain sa vie allait prendre un « sens nouveau »…
…
Ainsi Donald est toujours dans la rue à la porte de l’immeuble de Daisy qui
vient de lui dire après avoir retrouvé la « Petite » qui revenait de
l’école « Toi tu restes dehors ! »
il attends donc (songeur) avec le petit
cartable de la « Petite » se demandant bien ce qu’il va faire
lorsque soudain il entend un coup de klaxon, se retourne, découvre une belle
voiture flambant neuve avec…
« Oh
stupéfaction ! » (s’écrit Donald)
… au volant de la voiture l’Oncle Picsou (Rayonnant de bonté) lui dit alors
« Donald… mon neveu… je suis tellement
heureux de te revoir (il sort de la voiture lui tends les clés)… Tiens, cette
voiture est pour toi ! »
Donald
« Pour
moi ?! »
L’Oncle Picsou (acquiesçant
de la tête)
… de même j’ai préparé « une image »
(il sort un
gros chèque qu’il lui tend tout sourire, lui montre le montant inscrit)
« Regarde là ! »
Donald (bondissant)
… Waooo !
mais c’est une fortune Oncle Picsou
!
Oncle Picsou (avec
le bonheur de faire plaisir)
« Oui Donald tu
pourras acheter une belle maison et même ouvrir un « Denny’s
Restaurant » pour Daisy ! »
Donald (so happy)
« Alors je pourrais manger des « Bacon
cheese burger » tous les jours ? »
Oncle Picsou (débonnaire)
... avec
même des « french-fries !»
Donald (fou de joie)
« la
Petite » sera très heureuse ! »
Oncle Picsou (magnanime)
« Comme
une Princesse… vous partirez dès demain en vacances sur une île
paradisiaque ! »
Donald (faisant mine de
refuser)
« Uncle Picsou ! »
Oncle Picsou
« Si
si Donald… prends ce chèque….. j’insiste… Tiens, j’ai même pris quelques
liasses de « petits billets »
Donald
… des billets
de 1000 !
Oncle Picsou (un peu cachotier)
.... ce n’est rien Donald,
j’en avais encore quelques sacs cachés dans le grenier !
Donald (ne pouvant contenir son bonheur)
« Oh merci... Thank you Uncle
Picsou ! »
… il bondit de joie dans la petite avenue où
s’allument déjà les lumières du soir (limelight sur
le ciel orangé) alors même qu’arrive une jolie fleuriste (avec un gros panier de fleurs) qui les
regarde maintenant se taper sur l’épaule avec compassion lorsque soudain
l’Oncle Picsou aperçoit la jolie fleuriste
« Donald, va donc prendre
des fleurs pour Daisy ! »
« Bonne idée Uncle ! »
… Donald interpelle joyeusement la jolie
fleuriste de la main, elle s’avance vers lui souriante de tendresse alors que
Donald (empressé) fait déjà son
choix « Magnifique ! Je prends
celles-là ! » elle lui donne les fleurs avec un joli sourire,
Donald (rêvant d’amour) lui donne aussitôt
un billet que la fleuriste regarde mais elle semble alors un peu chagrinée
« Oh Mr Donald, je n’ai pas assez de
monnaie pour un billet comme ça ! »
… Donald « Vraiment ?
Alors je vais juste prendre un deuxième petit bouquet… »
… la jolie fleuriste (frémissante)
« Celui-là sera bien
assorti ! »
… elle
lui tend un très jolie petit bouquet (de jolies
fleurs) « Tenez Mr
Donald, vous êtes un amour » Donald tout heureux avec ses fleurs dit alors
à l’Oncle Picsou qui attend plus loin
« Uncle Picsou ?... je monte voir
Daisy »
Oncle Picsou (qui
a l’œil sur la fleuriste)
« Oui, oui mon neveu ! Vas-y
vite !»
... la jolie fleuriste (les yeux tout bonheur) regarde le billet
de Donald
« Avec ça j’ai presque de quoi acheter une belle petite
boutique ! »
… alors maintenant plus que jamais se pose la
question du « sens » à donner à notre histoire, surtout à l’approche
des dernières minutes du film… on retrouve alors Donald tout heureux qui arrive
en haut de l’escalier sur le pallier de l’appartement de Daisy, il sonne à la
porte…
« Driling, driling ! »
Donald
(tout joyeux)
« Chérie ?... c’est
moi ! »
… Daisy entrouvre la porte… voit Donald qui
lui dit
« Regarde ces belles fleurs pour
toi… »
… le visage de Daisy se détend un peu,
Donald ajoute
« en
plus j’ai des sous pour le loyer ! »
… plusieurs possibilités bien sûr… on aurait
pû croire que Daisy allait lui sauter au coup
« Mon Chéri
quel bonheur de te retrouver ! »
… mais ce n’est pas ce que lui dit Daisy… on
aperçoit cependant « la Petite » en train de se régaler avec des
petits pots (« Blédina ») elle
lève la tête, aperçoit Donald, son visage s’éclaire
« Hi
Pap’s ! »
…
Donald (un peu Béta) lui dit « J’ai
ton petit cartable ma chérie… »
… un petit cartable que Daisy attrape aussitôt
« C’est
malin, elle n’a pas pû faire ses devoirs à cause de toi ! »
Donald…
« Je suis vraiment désolé (il lui tend les fleurs) c’est pour toi Daisy (puis
doucement) elles sont belles comme toi… »
Daisy est d’abord heureuse d’entendre ce
compliment mais elle en devient soudain toute triste
« Et où
as-tu trouvé tout cet argent Donald ? »
Donald se met à bafouiller surpris d’une telle
question
« C’est… euh… c’est … »
Daisy…
« ne dis rien… je suppose que
c’est tombé du ciel ! Ou bien l’Oncle Picsou depuis le temps ! »
Donald (avec
un sursaut de joie)
… « Exactement Daisy… c’est
justement… »
Daisy (l’interrompant)
… « Tu es un manant Donald !... je croyais que
tu étais un Prince… depuis 2 ans au moins tu ne m’as d’ailleurs fait comme
cadeau qu’un balai et une serpillière ! »
…
alors Donald se sent un peu pantois… on se disait alors (un
peu) « Quelle
connasse cette Daisy !» mais on découvre là que Donald ne s’est pas
vraiment montré galant homme par le passé… du coup, on a beaucoup de compassion
pour notre jolie Daisy qui d’ailleurs est en larmes tant elle l’a aimé…
« Je
ne veux plus te voir ! »
Donald (ouvrant son cœur en ultime seconde)
« Daisy ! »
… la porte se referme… Donald sur le pallier
est suffoqué (il aurait aussi pû dire « Tant mieux
connasse, je me casse ! ») et repartir pour une nouvelle vie mais c’était en oublier sa
« Petite » qu’il aime beaucoup… alors il en est suffoqué, il porte
ses mains à son cœur comme s’il venait de recevoir un coup terrible tout en
poussant des cris de chagrin
« Aaah… Daisy !…Aaaaaaah ! » (s’écrit Donald vacillant)
...si bien que soudain il tombe à la
renverse dans l’escalier de bois tapissé de tapis rouge aux clous dorés (c’est pour le cascadeur) le pauvre Donald
roule dans tous les sens en descendant les étages (avec
ses fleurs qui volent tout autour de lui) il rebondit encore
contre les murs faisant trembler tout l’immeuble à chaque rebond
« Aaah… Aaaah…..
Aaaaaaaah ! »
... il retombe ainsi (sur
les fesses) ou tête la première dans le hall tout éclairé de
l’immeuble…
« Gloop’s ! »
… (c’est
pas mal comme possibilité) un peu triste cependant pour la
« Petite » qui va devoir grandir toute seule avec sa Mum’s sans plus jamais
avoir le bonheur que son « Pap’s !»
(adoré) vienne la chercher à l’école avec
des petites brioches au sucre !
… celui qui s’en sort le mieux jusqu’à
présent c’est bien l’Oncle Picsou tout souriant de sa belle action (avec en plus une très jolie fleur à la boutonnière de sa
veste que lui a laissé la jolie fleuriste…) il attends toujours dans
la rue encore un peu rêveur regardant la belle voiture neuve qu’il a offerte à
son neveu Donald, il réalise alors que la nuit va bientôt arriver, sort de sa poche sa montre gousset qu’il
regarde…
« Qu’est-ce que fait Donald ? Je
vais quand même pas rentrer en Bus ! »
… effectivement
on aurait sans doute aimé que Donald & Daisy puissent retrouver (leur grand amour) alors en ce cas chérie,
autant faire de notre film une version un peu plus mélodramatique… on retrouve
donc Donald un peu déconfit sur le pallier avec ses bouquets de fleurs alors
que Daisy par la porte entrebâillée lui dit
« Tu es un manant Donald ! En 2 ans tu ne
m’as offert qu’un balai et une serpillière ! »
Donald est confus…
« Je ne sais que
dire Chérie… »
… à ce moment là arrive la
« Petite » toute joyeuse (avec ses petits
papillons dans les cheveux)
« Pap’s ! »
Donald
(soudain si heureux !)
« ma
Petite ! »
… Donald s’avance pour la prendre dans ses
bras mais Daisy (soudain plus triste encore) se déplace légèrement pour l’empêcher de voir
« sa Petite »
« Non
Donald… tu ne m’auras pas avec les sentiments… Adieu… »
… elle referme la porte
Donald (chagriné au
désespoir)
… « Aaah Daisy ! »
… il vacille, pris de vertige, tombe à la
renverse dans l’escalier s’effondre sur les premières marches avec un bruit
fracassant qui fait trembler tout l’immeuble !
… le silence revient (un
grand silence) une pluie de pétales de fleurs retombe doucement
sur le pallier, la porte s’ouvre doucement laissant apparaitre Daisy un peu étonnée,
elle voit alors le pauvre Donald inanimé dans l’escalier ouvre alors la porte
en s’écriant
« Donald ! »
…
elle s’avance vers lui (tombe à genou) soulève
sa tête de sa main « Donald… mon Donald chéri… » le
pauvre Donald a l’air si malheureux qu’il n’aurait pas fait mieux s’il jouait
la comédie… arrive alors la « Petite » à toute vitesse avec un cri du
cœur déchirant « Pap’s ! »
elle aussi tombe à genoux près (de son
« Pap’s ! » adoré) le prends par le col de sa
veste qu’elle secoue, la tête de Donald dodeline, sans réponse alors (la « Petite ») ne peut se
retenir d’éclater en sanglots pour se mettre à pleurer silencieusement ne
pouvant à peine plus crier « Pap’s ! » de sa petite voix si
triste qui maintenant n’est plus qu’un cœur meurtri à tout jamais sans même
remarquer les pétales de fleurs qui doucement retombent comme les mots d’un
amour disparu…
… la jolie Daisy elle aussi si triste
maintenant (le visage dégoulinant de larmes
silencieuses) se relève avec sa « Petite » chérie qui
se serre contre la jambe de sa Mum’s adorée qui elle-même la tient contre elle
le bras sur ses épaules… encore des larmes ruisselantes sur ses joues Daisy
lève les yeux au ciel alors que retombent les dernières pétales de fleurs…
« Mon Dieu… qu’ai-je fait à mon pauvre Donald… lui
qui a été si bon pour moi... »
… on pourrait alors montrer ses pensées
avec des images en « flashback » revenues des premiers temps de leur
amour « Donald
& Daisy courant sur la plage main dans la main au bord de l’océan plein de
bonheur avec la douce chanson des vagues
« Je t’aime Donald… »
… « Moi aussi Daisy ! »
… on pourrait très bien arrêter là le film (pourquoi pas ?) mais comme il reste
encore quelques minutes de bobines on retrouve donc Daisy avec sa « Petite »
sur la pallier avec le pauvre Donald tombé à la renverse dans l’escalier, le regard
de Daisy couvert de larmes, quelques pétales de fleurs qui volettent (ici ou là) on va d’ailleurs en profiter
pour faire un beau mouvement de caméra…
... Travelling
Avant (in) avec
un changement de focale en ouverture « Grand angle » (on était en Zoom in)
… ainsi l’espace de la scène s’élargit autours
de Daisy serrant contre elle sa jolie « Petite » (toute
triste) qui elle-même regarde sa Mum’s adorée sans comprendre
vraiment ne sachant pas même dire son chagrin mais sans doute de ses pensées (It’s a chance you are there Mum’s ) sous les pétales la jolie Daisy (alors que toute la scène continue à s’élargir)
semble maintenant inspirée par les « Divinities » sous une lumière
divine
« Mon
Donald Chéri était le meilleur des hommes… toujours je l’aimerai pour
l’éternité ! »
…
on voit alors avec le mouvement de la caméra d’élargissement de l’image du film
apparaître le visage du pauvre Donald (son visage
semble frémir) il ouvre soudain un œil complice puis sourit
doucement alors que plus loin derrière lui Daisy serrant contre elle sa « Petite »
essuie une grosse larme sur sa joue …
« Je
donnerais cher pour le voir revenir ! »
…
décors en Studio obligé, ne serait-ce que pour le mouvement de la caméra sur le
plan final…
… « c’est
juste le pallier de l’immeuble… ça coûtera pas très cher » (dit le
scénariste)
… alors cette fin n’est pas si mal
puisqu’elle laisse présumer bien des bonheurs possibles (aussi
une possibilité de suite pour « Donald, Daisy & la Petite 2 »)
mais (pour lui l’auteur) j’aurais quand même aimé
apercevoir quelques étoiles dans le ciel de la nuit si belles étincelantes
comme la lumière dans les yeux d’amour de Daisy ou bien le regard plein de vie
de sa jolie « Petite ! »
…
c’est pourquoi l’on revient donc à…
…
Daisy (en larmes)
« Je
ne veux plus te voir Donald ! »
Donald (ouvrant son
cœur en ultime seconde)
« Aaah
Daisy ! »
… la porte de l’appartement se referme
lentement laissant le malheureux Donald seul sur le pallier, il n’arrive plus à
respirer (suffoqué) il vacille même
chérie, porte ses deux mains sur son cœur en poussant des cris de chagrin…
Donald (mourant
pour de vrai cette fois)
« Aaahh… Daisy !… aaaaahhh ! »
… il vacille encore chérie, tombe alors à
la renverse dans l’escalier de bois tapissé d’un beau tapis rouge « aux
clous dorés » (toujours pour le cascadeur qui est revenu
avec une fleur à la boutonnière de sa veste…) le pauvre Donald
lui dans sa chute roule dans tous les sens sur les marches de l’escalier,
rebondissant contre les murs des étages alors que s’envolent autour de lui (comme un envol de papillons) toutes les petites pétales de ses jolis bouquets de fleurs
(on entend même en même temps un craquement sourd qui
s’amplifie) au fil des chocs de la tête du malheureux Donald et c’est soudain
vu de l’extérieur toute la moitié de l’immeuble qui s’effondre dans un
gros nuage de blancheur coton !
Oncle Picsou (Stupéfait)
« Un
Crack ! »
…
une fine poussière étincelante retombe sur toute la petite avenue (avec les pétales de fleurs) sous la
lumière de la Lune … quelques pierres blanches roulent, Donald surgit des
gravas au pied de ce qui reste de l’immeuble ...
« J’ai
dû rater une marche ! »
…
il époussette son costume, regarde en direction de l’immeuble qui ressemble
maintenant à une jolie maison de poupée où il aperçoit soudain au 4 ème étage
sa jolie Daisy juste au bord de l’appartement coupé en deux avec sa
« Petite » chérie (tendrement serrée
contre elle) qui agite aussitôt la main souriante
« Pap’s ! »
Donald (avec le visage
qui s’éclaire)
« ma Petite chérie…. Daisy ! »
Daisy (à ras du bord
de la salle à manger)
« Donald…
je t’aime ! »
… une douce musique de chœurs s’élève accompagnée
par des violons de sucre en amour soutenus par des basses émouvantes…
le
scénariste (qui est aussi musicien)
« Pour
la maison de poupée… décors obligé… ça sera peut-être un peu plus cher en effet
mais c’est tellement bien… je me suis même permis d’ajouter un grand
orchestre ! »
le cinéaste (déjà
prêt à tourner le film !)
… « Tout à fait… tout à fait… c’est magnifique… je suis tout à fait
d’accord ! »
le Producteur (magnanime)
« je
vais voir… Then after ? »
… à nouveau Daisy le regard éclairé d’amour
frémissante sous la musique…
« Donald !... si tu savais comme je
t’aime ! »
la jolie
« Petite » (toute mignonne)
« Pap’s ! »
Donald
(les larmes aux yeux)
« mes jolies Chéries… vous êtes si
belles !»
… la musique s’amplifie (travelling
Out Zoom Out…) l’immensité du ciel de la nuit la maison de
poupée tendre de couleurs éclairée par la Lune sous une pluie d’étoiles
filantes alors que l’horizon tout amour se teinte de la lumière rose orangée du
jour qui se lève…
Daisy (comme s’ils ne
s’étaient jamais quittés)
… le temps a
passé si vite !
Donald (s’écriant en bas
dans l’avenue)
i love
you !
… Plan Poitrine Daisy (émouvante) Travelling avant
léger en demi-cercle gauche-droite…
Daisy (in
love)
« me too ! »
Uncle Picsou (tout
heureux avec une deuxième fleur à sa boutonnière)
… Génial !… je produis… c’est bon,
je craque la tirelire !
la jolie « Petite » (toute heureuse)
… Tonton Picsou !
… sur l’immense décors en musique les
violons les chœurs tout de rose orangé Donald & Daisy (si
impatients de se retrouver) s’envoient de loin des petits
baisers de la main alors que le jour lentement se lève des milliers de petites
pétales de fleurs s’envolent toutes amours sous les étoiles filantes pour
dessiner peu à peu en lettres géantes d’amour émouvantes…
L o v e
« Bonus ! » Le Making-Of du film !
… Pourquoi j’ai choisi de raconter cette
histoire ? (en improvisation « in the
Kitchen ») plutôt qu’une autre ?
… a love story
… c’est le « feeling ! »
parce que « c’est ma vie aussi »… elle me ressemble….
… je ne sais pas si l‘on peut dire que la
meilleure version est celle que j’ai joué dans ma cuisine (dans
la nuit de Samedi à Dimanche) qui ne serait d’ailleurs pas
forcément la moins coûteuse chérie vu le montant de mes Cachets mais ce serait
quand même dommage de ne pas montrer au Cinéma la si jolie Daisy (avec sa jolie « Petite ») si
mignonnes toutes deux …
le Producteur, Moi (lui) l’Oncle Picsou (heureux coproducteurs associés)
« On est
bien d’accord… Ok pour le Budget ! »
le Cinéaste (so
happy déjà à l’œuvre)
… On peut donc fabriquer le décor en
Studio pour ensuite faire en sorte qu’il soit détruit « as we want »
jolie maison de poupée… pour le tournage cependant il est bien question « d’un
feeling California !»
… le Scénariste (bienheureux
de toute évidence)
… aussi une question de « flux H2O ! »
…
autre possibilité toujours, la construction d’un « décors miniature »
que l’on va filmer spécialement avec une caméra « à vitesse réduite »
c’est pas facile… très pro… on pourra ensuite « affiner » la scène
avec (un Big Computer) en « Image
3D »… les personnages Daisy, Donald ou la « Petite » seront
filmés alors dans un petit Studio soit avec un vrai décors reproduisant le
pallier ou la salle à manger avec
tous les objets de décorations (ou accessoires)
indispensables chérie... soit filmés sur un « fond bleu » qui
laissera apparaître par superposition le décors initial (miniature)
qui a été filmé, ces images d’action des personnages étant
ensuite « incrustées » dans le décors par des procédés
« chimiques » sur le film ou en Numérique par informatique (avec des gros Computers…)
…
pour avoir une petite idée de ce qu’on peut faire on pourra voir le film de
James Cameron « Titanic » qui raconte le naufrage d’un paquebot de
plaisance en pleine tempête sur l’océan qui a utilisé avec talent toutes ces
possibilités avec bien sûr un budget très « conséquent »
(au
total pas loin de 1 milliard de dollars !)
… Uncle Picsou !... Uncle Picsou ?
… on en aura bien sûr pour un peu moins cher
(en plus le film de James il en a rapporté
plus du double !)
Uncle Picsou (retrouvant
un rythme cardiaque normal)
Really ? Voilà qui me plait bien !
… Et si vous voulez pourquoi pas des Dinosaures
qui jouent au football !
Toutes ces petites pétales de fleurs qui
s’envolent dans le ciel c’est aussi un hommage à un grand cinéaste Japonais
« Akira Kurosawa »
… « Rêves »
(… magnifique)
... j’écrirai aussi un ouvrage de
120 pages rien que pour « expliquer », mettre en lumière toute la
conception, la dramaturgie, les choix de l’écriture de ce scénario magnifique
« Donald, Daisy & la Petite ! »
… j’adore les films tournés en Studio
comme cela se faisait beaucoup quelques dizaines d’années plus tôt dans le
Cinéma français ou bien d’autres pays du monde dont certains ont d’ailleurs
développé de magnifiques Studios… on pense à « Hollywood » à Los
Angeles bien sûr mais à nouveau en Europe avec l’Allemagne ou plus récemment la
France avec « les Studios de Paris » à la suite notamment des très
bons résultats du Cinéma en France depuis près d’une quinzaine d’années avec un
nombre croissant de spectateurs dans les salles (170
millions d’entrées en 2013 contre 116 millions en 1992), des
financements mieux « entendus » avec les diffuseurs Tv… cette période
faste correspond aussi aux choix professionnels que j’avais fait en 1992 de
vouloir réaliser des films mais surtout ensuite d’écrire des scénarios de
cinéma comme de Tv
(avec bien les
Bibles de série…)
… ou même des « Sitcom » chérie...
mon « feeling Business » (marketing aussi) avec bien sûr le « feeling
life » de mes envies m’avaient fait entrevoir des
« Projectives » qui se sont révélées (une
fois de plus) très prospères avec bien des bonheurs pour bien des
centaines de millions de gens mais aussi des « récompenses », profits
ou bénéfices par milliards dont je n’ai jamais eu aucun centime ! (nous non plus chéri !) malgré déjà
des œuvres magnifiques souvent
« mieux » que la moyenne à tous points de vues ce qui de toute
évidence montre bien (une fois de
plus encore) qu’il y a bien de gros différentiels entre ce que
j’investis ou je pressens qui représente bien des fortunes et une réalité de ma
vie « entravée » d’une manière ou d’une autre qui vient hélas empêcher
la réalisation de ma fortune voir tout au contraire se traduit même bien
souvent par des « difficultés » ou « Clash » ou « Choc
» supplémentaires presque systématiquement dans ma vie !
… toujours « Comme par hasard !»
( &
« l’air de rien »)
… j’avais d’ailleurs été très triste
quand ils ont fermé (« les Studios de Boulogne »)
près de Paris en 1993 je crois, j’avais alors réfléchi sur un film de
cinéma qui se déroulait dans des grands Studios avec pour personnage principal
une « Caméra » (très
« funny !)» qui se déplaçait avec ses 3 pattes de
caméra (une paire & demie de Nike !)
entourée de toute une bande de copains (copines)
qui allaient tout faire pour sauver « leurs Grands Studios de Cinéma » menacés
par des méchants escrocs qui ne pensaient qu’à l’argent contrairement à nos
gentils ami(e)s (passionné(e)s de films !)
qui voulaient à nouveau voir jouer leurs Héros favoris (ou belles
Héroïnes préféré(e)s…)
… j’ai toujours un dessin de cette
extraordinaire « Caméra sur Pattes !»
si expressive tel un personnage de Walt Disney !
… quelques dizaines d’années plus tôt dans ces
Studios de cinéma on était donc capable de reconstruire des quartiers entiers
de Paris, comme on le voit dans certains films avec Jean Gabin par exemple
« le Jour se lève » ou encore dans une grande partie des films de
cette époque comme « le Ventre de Paris » adaptation d’un roman de
Emile Zola sur le quartier « des Halles » qui approvisionnait alors tout
Paris en alimentation que l’on a transposé plus tard à « Rungis » au
Sud de Paris, gigantesques entrepôts principalement d’alimentation reliés à
toute la France ou autres lieux du monde pour approvisionner l’Ile-de-France (en nourritures…) voir même des fameuses
« glaces Italiennes » qui peuvent nous rappeler les émotions des
grands films de cinéma tournés à ces mêmes époques en Studio à la Cinecitta !
(avec lesquels Federico Fellini s’est bien amusé) il était aussi excellent dessinateur…
« la Dolce Vita », « Fellini Roma » (« les
Nuits de Cabiria ») ... c’était un autre cinéaste un peu
avant chérie... ou « la Cité des Femmes » ou même encore un chef
d’œuvre magnifique de Ettore Scola « Nous nous sommes tant aimés »
« On voulait changer le monde mais le
monde nous a changé… »
… avant je chantais des Love Songs !
… quelques larmes d’amour avec elle (et moi) devant la grande image
panoramique d’une salle (de bains)
bien agréable (larmes de bonheur) ou
larmes du bonheur
… ça fait du bien
aussi
… oui
ma jolie Chérie
(… maintenant je fais du Business mais elle
fait toujours la Pute !)
© Emmanuel DIGNAT 2015 (avec Princess Joy, Daisy & ses jolies
Chéries… « elles sont Géniales ! »)
Jolies
Magic fee’s
Présente
Au filigrane des Sentiments
(Synopsis de film Cinéma)
Author(e) Author(e)
Emmanuel DIGNAT Emmanuel DIGNAT
(avec ses jolies Chéries & la jolie Daisy de
Mc Do !) (With its pretty Chéries & the
lovely “Ô”!)
Golden
Spring's Consulting Golden
Spring's Consulting
Projectives & Stratégies Culturelles Internationales
International Projective & Cultural Strategies
Consulting, Creation &
Publishing Consulting, Creation &
Publishing
(si pratique
aujourd’hui avec les Computers !)
« Au filigrane des
sentiments »
l’Amant,
la belle (& le trompé)
... une
histoire de diplomatie en love story !
Movie
(Synopsis)
« PUB ! »
(c’est en vérité que
tu avais dû passer « par la petite porte » des cuisines chéri ...)
... qui
sait ?... parfois ma mémoire « me joue des tours »
(de passe-passe !)
.... d’ailleurs s’il en est une belle (love Song) que je ne jouerais pas ce soir
sous les étoiles c’est bien celle de ma jolie Betsy qui sans doute m’envoie
tant de messages d’amour à travers le monde (elle
a même été voir Coca Cola) « so
funny loves ! » pour lui dire de me faire passer un
message secret (a love message) d’inscrire
donc sur l’étiquette d’une grande bouteille de Coca le mot « frère » (sur une autre elle avait écrit « Chéri(e)» )
... Et sur une autre encore
« Princesse » ma jolie Chérie !
… (c’était
pour moi sans doute) ... chacun ses secrets (de
Polichinelle !) ... on comprends bien que sur Terre nous
sommes bien tous frères (bien que certains
Blancs soient peut-être un peu plus Dallas ?) peut-être... mais de toutes façons moi je n’aime pas les hommes (moi non plus) on essaye cependant de se
dire ça pour éviter de se taper dessus « tous frères » il est vrai
quelque part mais le message secret du mot « frère » que ma jolie
Betsy m’a envoyé (via Coca Cola) a un tout
autre sens que je voulais jouer par une splendide (« Bass
Voice improvisation ! ») un grand message de paix à
travers le monde chérie mais comme je n’ai toujours pas de « Sound »
sur mon Computer tout le monde hélas en a été ( privé(e)
de même mes jolies Beauties d’amour (ce qui nous a
fait verser bien des larmes) ma jolie Betsy a même demandé ensuite
(à Mlle Coca) d’écrire sur une affiche
publicitaire (en grand format) un autre
« Secrets love message »
« Emma Théo » (Tu es
Haut !)
… je dois d’ailleurs écrire une jolie
page sur un jeu que j’ai découvert « le jeu de lights & d’Ô » (ou de lights dans l’Ô) & le
temps chérie avec une jolie bouteille d’eau minérale, une autre de bon vin (de Bordeaux) la lumière d’une bougie et
bien des reflets (de lumières mouvantes) émouvantes
qui se dessinent sur le carrelage blanc de la cuisine (de
quoi passer des heures à rêver...) d’amour loves aussi chérie presque l’invention
(d’un autre cinéma) … j’ai d’ailleurs découvert
ce jeu (« like this dreaming love »)
quand ils avaient bousillé mon Computer !
… as Song’s fly !
(You, me, hum ! Ôoo’)
Film Documentaire
de Cinéma
( ...en attendant le film !) ... et
les amoureuses en retard chérie !
… je fais trop de « Tube’s ! »
(au Top
50 !)
… la Basse (« The
magic Bass ! ») fût
l’un des tous premiers instruments de musique de l’humanité… bien avant le
Piano… de nos plus lointaines origines c’était d’abord les « chants aux
champs » (Elysées) avec des cris, plus ou mois en
recherche d’accords harmoniques, ainsi que frapper dans ses mains (pour les applaudissements accompagnés là encore de cris
assez colorés) ou bien même taper dans la main de l’autre, ce
qui voulait dire « top là ! »… soit « affaire conclue ! »
soit « viens
ma chérie oui mon chéri » ou bien l’inverse « Top là ! »…. « viens mon
chéri oui ma chérie »...
voir encore frapper de ses mains son corps pour en faire naitre des rythmiques
ou résonances en accords ou en attente pour les danses de l’amour sous les
étoiles (voir ses recherches musicales rythmiques à
Paris avec des Web movies en 2005 notamment)…
après ces premiers balbutiements musicaux chérie qui pouvaient aller vers le
virtuose, il vînt à l’idée pour bien de nos ancêtres éloignés qu’au lieu de se
taper dessus avec les mains on pouvait aussi prendre des cailloux ou des bout
de bois, voir des os pour faire des percussions qui accompagnèrent aussi la
naissance des langages (sans oublier
les « love rythmics ! ») … les percussions furent
donc les tout premiers instruments de musique de l’histoire de l’humanité(e),
vint ensuite (le Pipo) qui existait déjà
dans les esprits mais ne fut révélé que bien plus tard par son invention
matérialisée en instrument de musique à l’aide d’un roseau où l’on soufflait ou
même d’un bambou pour en faire exister des plus belles mélodies d’amour…
(love)
… c’est maintenant à (« l’Ère
des As !») qu’arrive
la Basse avec une évolution majeure dans « la prise de conscience » des
feeling loves… oui la Basse, avant
même la Guitare (désolée) on pourrait dire
effectivement que « la grosse corde de Guitare » est approximativement
identique à « la petite corde de Basse » mais la tendance de la
Guitare c’est 6 ou 12 cordes (qui sans doute
contribua tout comme la Basse à inspirer le Piano avec la table d’harmonique de
92 cordes pour 6 octaves ou sur 8 octaves de 116 cordes frappées par des
percussions comme des petits marteaux…) …
généralement recouverts d’une légère feutrine ma jolie Chérie... alors qu’il en
est seulement de 3 ou 4 cordes pour la Basse, on trouve d’ailleurs toujours
dans d’autres cultures des « basse à 3 cordes » mais l’essentiel de
cette question repose surtout sur le diamètre, la (solidité)
de cette première corde qui ne pouvait être « une fine corde » mais
donc bien une corde de Basse peut-être même que certains (ou
certaines) utilisèrent une jeune liane accrochée à une branche
pour faire résonner en « consonance projective » les toutes premières
notes de Basse de l’humanité(e), il est certain que de ces notes fondamentales
l’on pouvait dire « ça sonne
loves ! » (mais cela reste
à vérifier…) bien que très plausible… je pense surtout à cette
occasion que la découverte eut lieu en été (propice aussi à
l’expression des sens) sachant qu’en hiver les Tribus
s’habillaient (de peaux de bêtes) avec
parfois même pour certaines jolies Beauties déjà (de
jolis manteaux de fourrures chéri) effectivement chérie mais qui
en cette saison ne présentait pas en soi l’occasion de (« tirer
sur la corde ») ce fût donc en été que certains eurent
l’idée de faire sonner la toute première corde de Basse (qu’on
appelle aussi « Corde de Bosses ») cela de toute
évidence quand venaient les belles soirées d’été au couchant du soleil tout
orangé de mystères en pressentiments aussi de ce que l’on appellerait ensuite « l’amour » (ou « l’amour loves ») des grands amours les jolies Beauties
portaient alors (des petits « Bikini’s ! ») avec
une corde gracieuse entre les fesses des plus (« feeling
fashion») en effet
chérie et c’est bien « cette corde » qui tenta bien des uns (ou des autres) qui fut donc la toute première
corde de Basse (ou corde de Bosses) on parle
même toujours aujourd’hui (de tirer sur la
corde) sans même parler (des rebonds de
la Basse) avec sans doute là encore les toutes premières paroles
de l’histoire de l’humanité(e)…
« Hum… »
... qui donna naissance au tout
premier « Tube’s ! »
« Toi moi
hum ! »
(You, me, Ôooo)
Au
filigrane des sentiments »
l’Amant, la belle (&
le trompé)
... une histoire de
diplomatie en love story
THE
Movie !
(Synopsis)
... j’ai encore improvisé une « love stories » alors que je
racontais mes anecdotes « d’homme de diplomatie » dans une dimension
internationale étant moi-même dégagé de tout soucis matériel, financier ou
économique (puisque qu’il est millionnaire)
plus par plaisir d’œuvrer pour faire de belles choses, étant fort heureux,
rendre les gens plus heureux (heureuses)
en harmonies (le mieux possible) je
parlais d’ailleurs d’une affaire qui avait fait « grand bruit » et
que nous avions dû prendre en charge en situation de crise avec mon homologue
diplomate... ( Gloops !) ... il
s’agit bien sûr de l’histoire d’un homme politique (un
Président) où plutôt de sa femme, plutôt jolie d’ailleurs,
lorsqu’un beau jour elle fut surprise avec un bien bel homme (et amant) qui réussi cependant à s’enfuir
par une fenêtre de la résidence présidentielle !
... vous imaginez ?
... cela rendit (le Président)
« fou furieux », bien sûr on ne sait comment l’affaire se répandit
dans les journaux (les médias) il se senti
blessé, insulté aux yeux du monde entier, lui un si grand homme trahi par sa
propre femme (qui lui avait donné d’ailleurs plusieurs
enfants pour assurer sa destinée) ... la « malheureuse » fut donc obligée expressément
d’aller s’installer dans un grand hôtel avec un service de protection
particulier car bien des citoyens ou citoyennes aussi voulaient la
« lyncher » (lui arracher
les cheveux) la traitant de câtin... l’affaire redoubla encore
de vigueur quand après l’enquête qui fût menée très rapidement en toute
priorité notre « Président » appris qu’il s’agissait en vérité de son
homologue d’un autre pays !
... Nom
de Dieu ! Putain !
(Putain de Nom de Dieu !)
... il se demanda bien comment sa femme et son amant avaient pû
entretenir une liaison amoureuse « dans son dos » (on his back) alors qu’il était protégé
par ce qui se faisait de mieux en matière de sécurité (renseignements)
une deuxième enquête révéla alors que (les lovers)
réussissaient à s’échanger des mails ou des texto par le Web ou sur leur phone (on retrouva même des lettres manuscrites avec des
photos !) si bien que le Président se sentit trahi de
toutes parts, se demandant bien à longueur de journée (ou
de la nuit) comment ils avaient pû déjouer tous les systèmes de
sécurité informatique !
« in my back ! »
... si tout cela provoqua tout d’abord bien des
réserves en raison de son rang il en fût ensuite bien des rires sur la scène
internationale quand on apprit qui était l’Amant, la belle (&
le trompé) certains ou certaines en profitant même pour se
moquer, présentant l’Amant comme un héro, véritable expert (pour
le « saut de fenêtres ») venant chanter sa romance
le soir au clair de lune, parfois même au bout d’une liane emportant sa belle
dans ses bras (on le surnomma même « Tarzan »)
le grand Président ne décolérait pas du jour au matin, il cassa même à chaque
pensée pour elle des objets dans leur résidence (devenu
un véritable champs de bataille) si bien qu’il finit par mettre
tout le pays en alerte, sur le pieds de guerre, les chars (les
bateaux) les avions sortirent des hangars, la tension devint peu
à peu de plus en plus perceptible à travers le monde entier, certains cependant
cherchaient un peu à « détendre l’atmosphère » c’est pourquoi dès que
le Président apparaissait en public on entendait toujours de ci de là venant du
public...
« Awouawoua ! »
En tant que diplomates nous étions
bien évidemment très embêtés, presque toutes les affaires entre nos deux pays
furent mises en standby(e) (ou interrompues)
les pays avoisinants prirent aussi des attitudes de réserve, les uns se
ralliant plutôt derrière « le Trompé » les autres vers « l’Amant »
(ou la belle) les Bourses en tension commençaient à se prémunir d’un nouveau Crack,
si bien que toute l’économie mondiale s’en trouva légèrement ralentie, du coup
les rires se firent moindre, des délégations diplomatiques vinrent tour à tour
essayer (de résonner le grand Président)
alors qu’il venait même de faire exploser des missiles aériens en guise
d’avertissement s’attirant par là même la colère mondiale (des
écologistes) ... les
populations commencèrent à bouder ou boycotter tous les produits en provenance
de son pays, les recettes extérieurs commencèrent à dégringoler, le grand
Président (en devint encore plus furieux)
lui qui avait pouvoir de détruire le monde entier de se retrouver ainsi obligé
de ne rien pouvoir faire pour venger son honneur blessé (par
son ex-épouse) de qui il avait déjà demandé le divorce (qui lui fut aussitôt accordé) pouvant
ainsi maintenant l’appeler
« Sale pute ! »
... ce qui le défoulait un peu, on
lui présenta même de jolies « créatures » (passant
par la petite porte) mais il ne pensait bien toujours qu’à
vouloir « faire la peau !»
de l’Amant « Tarzan », toutes ses armées maintenant déployées étaient
« prêtes à tirer » (en
chorégraphies) de plus en plus de par le monde l’on vit apparaître
des « petits coqs » faire de
même à vouloir jouer au grand jeu de « c’est moi le plus fort » (non c’est moi) les uns les autres à force
d’armes se sentant devenir davantage plus puissants, tout puissants même (à l’égal des Dieux !) ...donc « tout
permis » (y compris la déloyauté) ou
pire encore... la tension devint épouvantable, de même le ralentissement de
l’économie mondiale (déjà des famines s’annonçaient)
on se demandait même s’il ne fallait pas mettre « quelques
substances » discrètement dans les mets du Président (pour
le calmer un peu) mais cela n’était bien sûr pas possible en
raison de l’engagement de confiance absolu des êtres de notre « niveau
d’influence » tout ça pour dire qu’on en était quand même à « deux
doigts » d’une nouvelle guerre mondiale !
Ainsi la joie de vivre et l’abondance
s’estompait peu à peu pour laisser place à de grandes inquiétudes des
populations, nous faisions bien sûr de notre mieux pour aller aux nouvelles,
chacun à l’écoute de nos Présidents respectifs, chercher à comprendre un peu
mieux « le fond des choses » (ou le
« filigrane des sentiments ») nous revenions ensuite
nous retrouver régulièrement, continuant toujours à partager de belles idées (ou des gourmandises) élargissant notre
table, essayant de dédramatiser la situation, ce qui finalement relève aussi
« d’incidents relationnels affectifs » qui en l’occurrence peuvent
aussi sembler bien « naturels » comme il en est sans doute chaque jour
(ici ou là de par le monde) nous
avions même été trouver tour à tour le
Président « entre hommes », rappelant aussi
« Tu sais bien comment sont les
Gonzesses... »
(Diaboulicus
creatures)
... mais il en eut au contraire une réaction toute à l’opposée, se
souvenant de leurs premiers temps de l’amour, lui trouvant à nouveau les plus
grandes qualités (regrettant même son divorce)
... quelques temps plus tôt si chaque fois qu’il disait « sale pute ! » nous devions répéter après lui
« Ah oui, quelle sale
pute ! »
... il ne fallait plus
maintenant prononcer ce mot, on le voyait parfois « ébahi » regardant
au loin par la fenêtre de son Office après avoir coléré toute la journée à
crier après ses Généraux (ou autres
domestiques) d’autant qu’on lui reprochait maintenant « la
note » de tous ces grands mouvements militaires qui agitaient le monde,
cela ne fut donc qu’un soupir dans cette symphonie tragique car il appris de
plus, alors que tout avait été fait pour en garder le plus grand secret que le
Président « Tarzan » avait une fois de plus réussi à retourner dormir
dans les bras de son ex-femme en passant par les toits du Grand Hôtel au bout
d’une corde après avoir réussi à survoler tout le pays en Montgolfière !
(Pour un bel envol)
... à nouveau ce fut des tirs de
missiles aériens pendant toute une nuit où il détruisit entièrement son Office
en poussant des cris de rage (entre deux
coups de téléphone) par manque de chance les missiles avaient
massacré des milliers d’oiseaux migrateurs qui se rendaient (en vacances) dans les pays chauds,
hirondelles ou jolies Colombes blanches (en plus
symboles de la paix) l’opinion
mondiale en fût presque révoltée, depuis ce jour il l’appela alors
« Salope ! »
...et nous eûmes le
droit de répéter (en chœurs)
« Quelle salope ! »
... ce qui contrastait quelque
peu avec notre « étiquette » (ou notre bonne
tenue) mais nous apportait aussi parfois en secret un peu comme
une sorte de « récréation », dans tous les cas, alors que nous
faisions tout pour éviter que bien d’autres « disputes latentes » ne
ressurgissent, l’économie mondiale était bien en train de perdre en quelques
semaines tous les efforts de bien être (bien vivre)
améliorations, création de richesses ou dynamiques de croissance que nous
avions mis plusieurs années à construire, c’est dire alors que nous en perdîmes
même le goût de nos gourmandises, il se mit même à pleuvoir sur le monde
pendant des jours et des nuits une pluie parfois torrentielle, nous en étions
donc à espérer un miracle, jonglant avec les sceaux, bassines (ou serpillières) car les toits fuyaient
de toutes parts jusqu’au jour où après une nuit fracassante sous les foudres de
l’orage l’aube à la fenêtre laissa présager la venue (d’une
nouvelle ère) par l’immensité d’un ciel de lumière d’or aux
nuances orangées de rose amour où s’envolaient avec majesté des milliers
d’oiseaux blancs magnifiques, véritable symphonie virtuose en mouvement de ces
grands oiseaux de lumières aux belles destinées...
Ce qui réussi tout d’abord à désamorcer ce
climat de « tension mondiale » qui en était à la limite de tout faire
éclater, c’est... (chose étonnante) la sortie
d’une chanson étonnante d’ailleurs qui devint très vite un Tube planétaire...
« You, me Hum ! »
(« Toi, moi oui »)
... on l’entendait partout sur les radios (les Tv) ou le Web, les gens se mettaient
à danser dès les premières notes de la mélodie, il s’en fût la renaissance d’un
grand mouvement de joie de vivre, le Président (Trompé)
lui-même se laissa prendre au jeu, il fit une brillante interprétation du Titre
en Karaoké, dansant même sur une seule main « Hum,
hum » entouré de trois jolies « Pom Pom
Girls ! » si bien que sa côte de popularité remonta (d’un grand bond) il se senti à nouveau
aimé du peuple, nous en profitâmes alors pour lui dire qu’il serait apprécié
davantage si les soldats pouvaient avoir quelques jours de permission pour
rentrer chez eux s’essayer à la jolie chanson « You,
me hum ! » qu’il fredonnait lui-même du soir au matin,
il s’exclama soudain
« Diable !
Je les avais complètement oubliés ! »
... il demanda alors aussitôt
le retour des navires (des chars)
des avions, sa popularité remonta encore davantage bien que certains maintenant
commençaient à lui demander des comptes sur la facture colossale (des « frais de déplacements »)
nous n’insistâmes pas trop cependant par peur d’une « rechute »,
d’autant que (« la
belle divorcée ») se permettait de ci de là des apparitions
dans les magasines (parfois même de charme) nous le laissions donc « à sa renaissance »,
un peu comme « un grand enfant » qui a besoin de caprices après aussi
bien des années d’usure du pouvoir (qui sans doute
parfois agite un peu les neurones) dès qu’il sortait en public
c’était un véritable attroupement joyeux de jolies Gonzesses (ce qui l’amusait beaucoup) suite à son
interprétation de « You, me, hum » en dansant sur une main il en
était devenu « LA » Star mondiale de « You me hum ! » (éclipsant même l’auteur) toute cette
belle fraîcheur colorée lui redonna même de l’appétit, si bien qu’il en vint à
penser...
« Après tout ce n’était qu’une
connasse ! ... j’ai bien fait de divorcer, en plus j’ai de quoi payer la
pension alimentaire pour les enfant(e)s (ils disent tous ça) maintenant je peux enfin avoir la paix (être
tranquille) et avec toutes ces jolies Gonzesses j’ai vraiment de
belles heures à vivre pour mon plus grand bonheur ! »
... à ces mots nous bondîmes presque de
joie... le danger d’une rechute semblait maintenant écarté, il fallait cependant
nous affairer (à « réparer les dégâts »)
car les relations entre nos deux pays (ainsi que bien
d’autres) avaient été mises à rude épreuve... il s’en trouva un
véritable (soulagement mondial) revint
l’allégresse des foules en chœur qui avec lui chantaient « You
me hum ! » l’ air « funny
feeling ! » le business, les affaires furent relancées,
l’économie libérée de ses doutes repartit de plus belle (avec
aussi tant de bonheurs a rattraper !) nous reprîmes goût (à leurs
gourmandises) notre Président (Trompé)
se plaisait plus que jamais à fredonner « son » Tube constamment
entouré d’un essaim (de jolie muses) qui ne le
quittait pas du soir au matin (jusqu’au soir)
si bien que l’on envisagea de préparer une « rencontre officieuse» avec le Président « Tarzan » en vue
de pouvoir présenter prochainement à toutes les populations du monde la
symbolique d’une réconciliation entre nos deux pays ce qui apporterait aussi un
grand soulagement pour le monde entier !
Ainsi, après avoir frisé (une catastrophe mondiale) il apparût à la
sagesse de ce répit que nous en avions oublié l’un des aspects les plus
importants de cette affaire, trop préoccupés à modérer la colère de notre grand
Président (Trompé), c’est que « la belle »
(ex-femme du grand Président) était en vérité belle et bien amoureuse
du beau Président « Tarzan » (son Amant)
de même qu’il s’était épris d’elle au plus chaud de son cœur (d’Artichaut)
... ou « Show » ... avec
le relâchement des tensions, l’amitié retrouvée entre les peuples, les
« langues » commençaient à se délier, l’on apprit alors que (« la belle ») était tombée
amoureuse du beau « Tarzan » à l’occasion d’une rencontre « au
sommet » (bien sûr) au-delà des
préoccupations économiques ou sociales internationales, réfléchissant aussi sur
le réchauffement climatique ou à l’extraordinaire essor (de
l’énergie solaire) les jolies femmes pour qui tout bien sûr
n’est toujours semble-t-il qu’évidence en sont de même très ouvertes à de
nouvelles ententes (accords ou partenariats)
avec toujours l’espérance de concourir à générer de belles prospérités (sur l’ensemble du globe) elles en sont
d’autant plus émues qu’elles se montrent à l’occasion davantage séduisantes au
regard du monde entier (sensibles à la
beauté des esprits virtuoses) voilà pourquoi « la
belle » fut bien charmée par le magnifique talent d’orateur du Président
« Tarzan » qui cependant
portait un beau costume d’élégance (et non un
pagne en peau de Panthèse) ... son sens poétique pour les
grandes visions « projectives » de l’avenir du monde doté d’un grand
talent d’écriture, il paraissait même que c’était un musicien virtuose,
écrivant des Tubes ou jolies « love Song » (à
ses heures perdues) ... aussitôt après le premier regard où
toute la journée elle fût (en
« apesanteur ») combien d’années s’écoulèrent (ou bien rien qu’une seule seconde)
aussitôt toutes les questions qu’elle semblait se poser tout au long du jour déjà
quand vint le soir à la lumière rougeoyante de son amour enflammé s’étaient évanouies
déjà de ses pensées car plus rien n’existe plus alors de ce qui pourrait
empêcher l’amour, son cœur en secret ne vécu que de palpitations, on ne sait
pas vraiment qui d’elle ou lui alla au devant de l’autre...
« Awoua (woua )»
... certains
prétendent qu’ils auraient bien aperçu le Président « Tarzan » sauter
d’un arbre pour rejoindre « la
belle » au balcon de sa suite à l’hôtel (sous
les étoiles) à ce que l’on raconte il fit d’ailleurs semblant de
se blesser au Tibia en retombant sur le balcon (pour
que « la belle » en émoi fut obligée de le réanimer...)
il n’en fût ensuite que de rencontres secrètes aux fils des voyages, sommets (ou rencontres diplomatiques) rien que
pour elle il
murmurait (de douces chansons d’amour à l’oreille de
« la belle ») tendre
messages d’amour toujours à rêver « dreaming
a better shining world !» bien des mails encore (avec
tant de complicité(e)s informatiques)
car beaucoup déjà savaient qu’il en était bien d’un grand amour comme peuvent
le ressentir (si naturellement) deux êtres
des plus (charmant) ou charmante...
deux êtres des plus complices qui maintenant chaque jour se cherchent à
longueur de temps ou se rejoignent avec grand bonheur à travers le monde (ou les déplacements Présidentiels)
... c’est donc la sincérité de
ce grand amour qui émue les populations du monde entier, l’immensité du désir
d’amour aussi lorsque l’on passe sa vie « à la
suite » du grand Président menacé à chaque instant de
perdre la vie, entouré presque à chaque pas (d’une
cohorte de Bodyguards) plus même une seule seconde d’intimité (ou presque), toujours devoir se présenter
malgré tout sous son meilleur jour (quoi qu’il
arrive) que reste-t-il alors comme liberté pour une jolie femme
autre que celle de rêver d’amour au plus fort de son cœur ? (... l’attente presque à chaque seconde)
... que se réalise enfin... (« la
grande lumière de ce monde ») ... c’est exactement ce
qu’elle ressentit lorsque son regard croisa celui du Président
« Tarzan » dès leur première rencontre (« au
sommet ») ainsi les journaux, la presse (les magasines) ... chaînes de Tv,
Satellites, Web ou radio ne parlèrent plus que de cette magnifique « love
story » (ce qui fit couler bien des larmes)
le grand Président lui-même reçu des millions de lettres du monde entier écrites
en toutes les langues l’incitant à la plus grande compassion pour son
ex-épouse, il en fût ému au plus profond de son être prenant conscience par là
même qu’il en avait peut-être bien lui-même (« oublié
de vivre ») pleurant alors toute une nuit à chaudes larmes
sous les étoiles en demi Lune d’amour puis dans le silence des grandes âmes alla
trouver refuge dans les bras de ses jolies Muses en émotions...
« Si
j’avais sû ! »
... au lendemain déjà sa bonne humeur était revenue (sans
doute ses jolies Muses l’avaient-elle consolé) car il se promena
toute la journée en peignoir blanc fredonnant « You, me Hum ! » avec un feeling « funny jazzy » nous en
profitâmes alors le soir venu à l’occasion du dîner (en
petit comité) je venais d’ailleurs de lui remettre une petite
caisse de bouteilles de vin de Saint-Emilion que lui avait offert mon homologue
diplomate, nous en profitâmes pour lui proposer un rendez-vous (informel) avec le Président
« Tarzan » en vue d’officialiser leur amitié retrouvée et quelle ne
fut pas notre surprise lorsqu’il nous dit soudain après nous avoir laissé
parler pendant plus d’une heure à essayer de le convaincre pendant qu’il
dégustait son vin de Saint-Emilion (un Château
Montrachet 1987) il nous
dit soudain...
« C’est exactement ce que je voulais faire, j’ai déjà pris
rendez-vous ce matin avec le Président Tarzan »
... nous en fûmes « baba !»
légèrement inquiet cependant car l’une de ses jolies Muses était venue nous
dire qu’avant de prendre sa décision le Président (Trompé)
lui avait demandé pendant toute une semaine de lui rapporter discrètement tous
les journaux (magasines) ou articles qui
parlaient de la liaison de son ex-femme (« la
salope ! ») avec... (« Quelle salope J ! »)
... avec le Président
« Tarzan », il parcouru alors l’ensemble de la Presse, fût
complètement bouleversé de lire les interviews (confidentiels
exclusifs !) qui ne parlaient plus que de son grand amour
pour le beau « Tarzan » à la fois grand visionnaire pacifiste du
futur s’investissant de tout son être pour générer (une
société d’abondance) pour le monde entier mais aussi des plus « Charming Prince » d’une
belle élégance, un bel homme romantique
doté d’un extraordinaire talent de musicien qui l’émouvait (comme
jamais elle ne l’avait été dans sa vie) quand il lui chantait
ses magnifiques « love Song » parfois même de douces larmes d’amour love
ruisselaient sur la douce peau de son visage tendresse, elle en était redevenue
rêveuse (comme il en est d’un premier amour)
et si toutefois elle avait un regret, comme on lui posait souvent la question,
c’est bien de ne pas l’avoir rencontré plus tôt dans sa vie !
... à ce que nous dit la jolie Muse le Président en devint « pâle
comme un linge », elle crut même qu’il allait (tomber
dans les pommes) si bien que la jolie Muse un peu affolée ne
trouva rien de mieux à faire pour le divertir que de lui montrer alors un
magasine de charme où justement « la
belle » posait (dans toute sa
splendeur) la jolie Muse jura avoir vu ses yeux « sortir de
ses orbites », il resta quelques instants à essayer d’avaler sa salive
puis se releva en poussant des râles (de « grand
Cerf blessé ») trois autres Muses accoururent aussitôt pour
venir aux nouvelles, il leur dit alors comme si le monde venait de
s’effondrer...
« Je n’avais
jamais vu qu’elle était si belle ! »
... tout ceci ne nous inquiéta pas outre
mesure mais ce que nous dit ensuite la jolie Muse nous préoccupa davantage...
elle nous dit alors qu’il fit mine de faire croire que tout allait bien (se donnant des airs un peu enjoués) un
peu comme celui qui fait semblant de ne pas savoir alors que tout le monde
autour de lui sait très bien qu’il sait ce que chacun sait (ou
chacune) il se montra de même un peu trop « poli »,
attentif sans l’être aucunement même pour expédier la soirée au plus vite
« l’air de rien » afin que tout le monde puisse aller se coucher sans
que l’on puisse éveiller le moindre soupçon ce qui n’échappa pas cependant à la
finesse d’analyse de la jolie Muse qui était venue nous confier son inquiétude
car si elle avait bien compris que le cœur blessé du Grand Président n’en avait
plus que faire de l’amour elle éprouvait cependant pour lui (un réel désir de l’aimer) avec déjà en
secret l’audace peut-être de lui donner un jour (un
« baby love ») qui serait peut-être même sans doute
« LE » (ou « LA ») « baby light » tant attendue de
l’humanité(e)
toute entière !
... ainsi, elle aussi fit
mine de ne rien montrer de sa clairvoyance avec toutefois la volonté sincère de
veiller sur lui ayant pressentie une attitude assez ambigüe des plus
inquiétante chez les hommes lorsqu’ils reprennent conscience après un gros choc
(qui les a terrassé) une attitude comme
issue d’un sens atavique de survie mais annonce bien souvent un règlement de
comptes des plus (« hard ») qui ne
trouvera probablement d’issue que dans la mort de l’un ou l‘autre des
antagonistes, c’est dire si notre jolie Muse en éprouvait bien des tourments
pour le « baby light » de ses envies dont ses rêves avaient enflammé
le corps si bien qu’elle fit semblant de s’endormir dans le grand lit
présidentiel en compagnie des autres jolies Muses pour s’apercevoir au beau
milieu de la nuit alors qu’elle s’était assoupie que le Président n’était plus
dans le lit !
« le
mâlin... il a dû attendre que je m’assoupisse ! »
... sans faire le moindre bruit elle se
couvrit d’une jolie descente de lit en soie brodée puis alla à sa recherche (pieds nus) à travers le Palais Présidentiel,
elle ne tarda pas à le trouver d’ailleurs mais elle avait fait un détour par la
Suite réservée aux invité(e)s qui comportait dans la salle de bain (un joli bidet en faïence bien commode pour rafraîchir
ses secrets) elle le trouva donc ensuite très rapidement (avec son petit trésor) prêt
à l’usage car il n’était pas loin
dans une pièce attenante à son Office qui lui servait à la fois de bibliothèque
de complément mais aussi de lieu où il entreposait les cartons de ses propres
livres généralement invendus qu’il récupérait ensuite (en
douce) pour les revendre discrètement aux bibliothèques municipales
contre des enveloppes de Cash qu’il utilisait généralement (pour
ses « faux frais ») bien souvent aussi pour
récompenser ses proches collaborateurs tout aussi « macho » que lui
lorsqu’ils allaient ensemble (voir « les
filles ! ») comme tout un chacun d’ailleurs (si l’on peut dire) ... quand la jolie
Muse le trouva il semblait tout d’abord chercher quelque chose qu’il ne
trouvait pas, prenant ici ou là un livre qu’il regardait à peine pour le
remettre aussitôt à sa place c’est alors qu’il se retourna et la vît soudain (si belle sous un rayon de Lune) qu’il en
laissa tomber sur l’épaisse moquette moelleuse deux ouvrages précieux qu’il
tenait sous son coude tout en réussissant à en rattraper un troisième au vol...
« you
me hum ! »
...
lança-t-il alors (avec grand style)
« enfin je te retrouve !»
... dit-il encore (en ouvrant les bras...)
« Viens
ma douce que je t’embrasse... »
... elle se demanda tout d’abord s’il
n’était pas (frappé d’hallucinations) et
s’imaginait voir son ex-femme (la
salope !) mais à cette heure personne n’était là pour
répéter « Quelle
salope ! » il lui dit alors
« C’est bien à toi que je pense en
t’appelant si tendrement... (Really ?) ...viens donc me faire la
lecture de ce livre des merveilles que je croyais ne plus avoir car je
craignais qu’elle ne l’emportasse dans ses bagages... »
... il parlait bien sûr de son
ex-femme avec la certitude selon elle qu’il n’en aurait plus jamais rien à
faire d’elle surtout après le traumatisme (du magasine de
charmes) avec les photos de sa
belle !
« ... Qu’elle ne l’eusse
emporté »
... lui dit la jolie Muse avec
une petite moue pulpeuse qui s’apprêtait à donner suite au regard torrentiel
qu’elle lui lançait tout en s’approchant contre son torse velu (et approuvé !) ils se câlinèrent
ainsi comme deux êtres qui enfin se retrouvent enfin (ou
se trouvent si beaux) ou belle si jolie la jolie Muse se sembla
pas tout dire de ce qui se passa vraiment sous le rayon de Lune à l’exception (« qu’ils s’assirent bien sagement »)
selon elle sur l’épaisse moquette pour qu’elle lui fasse la lecture de ce petit
« livre des merveilles » alors qu’il l’écoutait les oreilles grandes
ouvertes comme s’il contemplait (un(e) Ange d’or
venue des Cieux) bien que
ce livre dont parlait la jolie Muse n’était en vérité (après
bien des aveux) rien d’autre qu’un « simple recueil »
si l’on peut dire de textes dits (« plutôt
salaces ») qui aimeraient bien être qualifiés d’érotiques
bien qu’il n’en serait plutôt toujours selon la jolie Muse que de lectures discrètes
(« plus appropriées pour les toilettes d’une Gare »)
... ainsi tout ceci n’est toujours pas
trop inquiétant sinon le fait que la jolie Muse avait bien compris qu’il
faisait bien semblant de chercher quelque chose juste avant (« qu’elle n’arrivasse ») dans
« la bibliothèque des invendus présidentiels », elle ne chercha
d’ailleurs pas vraiment à comprendre davantage trop heureuse d’être à nouveau (l’heureuse élue) dans le cœur du grand
homme de qui son corps enflammé attendait déjà la venue du futur(e)
« baby light », ce ne fût qu’au matin alors qu’ils s’étaient endormis
tous deux sur l’épaisse moquette l’un contre l’autre après s’être épanchés tout
le reste de la nuit qu’elle le vit sortir furtivement (juste
quand elle ouvrait l’œil) juste le temps d’apercevoir un petit
paquet de la taille d’un livre selon elle qu’il glissa rapidement dans son
pantalon ce qui là encore n’aurait rien de très l’inquiétant si l’on ne savait
que les services de sécurité du Palais avait déjà découvert par deux fois dans
cette pièce (grâce à leurs détecteurs de métaux)
des armes de poing de type (« Revolver
11 mm ») dissimulées derrière des livres de la bibliothèque
de complément (alimentaire) mais que ni le
Président interrogé ni même son ex-femme juraient n’avoir (« jamais
vu ça de leur vie ! ») ce qui laissait alors présager
une « hypothèse » des plus inquiétante quand à l’issue de sa
rencontre « de réconciliation » avec le Président « Tarzan »
annoncée déjà (bien que tenue « top secret »)
dans toute la sphère diplomatique mondiale ainsi que les médias les plus
influents de la presse (du Web)
ou de la télévision qui avaient déjà commencé à rédiger leurs articles d’après
notre « dossier de presse » alors que la rencontre « au
sommet » qui aurait lieu d’ailleurs
(dans une Bergerie) d’un des plus hauts
glaciers du monde était prévue dans quelques jours seulement, le Président
avait d’ailleurs dit à sa jolie Muse toute amusée...
« Tu viendras avec moi en
Jet’s ! »
... « vraiment ? »
avait-elle répondu...
« J’en
profiterai pour enregistrer un nouveau Clip de « You me hum ! »
(« dans
la neige... »)
... suite « in my memory »
Emmanuel DIGNAT
© Emmanuel DIGNAT 2015 (avec Princess Joy & ses jolies
Chéries… « elles sont Géniales ! »)
Jolies Magic
fee’s AS &D Movie
Présente
Pupee
(la jolie)
Comedy funny (en cours)
2015
Author(e)
Emmanuel
DIGNAT Emmanuel DIGNAT
(avec
ses jolies Chéries & la jolie Daisy de Mc Do !) (With all his pretty Chéries, the lovely “Ô” & la jolie Pupee !)
Golden
Spring's Consulting Golden Spring's Consulting /
International Projective & Cultural Strategies / Consulting, Creation &
Publishing Projectives & Stratégies Culturelles InternationalesConsulting, Creation & Publi
… sur honoraires !
(si pratique aujourd’hui de ne pas payer
avec les Computers ?)
Pupee
(la jolie)
(sous
l’incroyable indifférence de « francia la puta ! »)
C’est sans doute
aussi chérie parce que j’ai repris mes concerts (de
love song) depuis une semaine avec
encore des magnifiques « BassVoice improvisations » mais que je joue
sans brancher l’amplificateur !
(c’est très bon pour les oreilles !)
... dire aussi ma
sensibilité et ce que j’endure à devoir subir une telle situation de vacarme
environnant (alors qu’il devrait habiter une belle
villa au bord de l’océan) avec piscine
& comptes en Banque bien remplis chérie...
d’ailleurs quand j’avais acheté ma première Bass avec mes petites
économies (à 15 ans) je n’avais pas de quoi me payer l’amplificateur...
... il a donc commencé à jouer de la Bass sans ampli
« à l’oreille !»
J’étais donc
déjà bien parti pour devenir (The best crazy
bass player in the world’s !) ... Qui sait d’ailleurs ce que peut nous réserver une telle
destinée mes chéries !
(des comptes en banques bien garnis)
... comme
heureusement certains de mes associés qui sont venus bosser un peu en passant (très « cool filegree ») toujours pour de grands succès... j’ai d’ailleurs complété
récemment ma symphonie en images « Shining Wall People (friends,
Associates & Partners)» avec (de magnifiques
photos choisies) de bien des artistes,
managers, friends, amies (chéries) ou partenaires culturels dans le monde entier (même s’il en manque encore beaucoup) en vue bien sûr aussi du développement international (partout dans le monde) de nos magnifiques œuvres, sociétés ou actions humanistes (avec notre fondation « Be Happy ! »)
... make peoples happy !
... Que les meilleur(e)s !
Je
réfléchissais justement à un scénario magnifique que j’étais en train d’écrire
en 1992 à Paris « Murder 607 (jalousie de
femmes) » avec l’histoire d’un scénariste renommé de série
Tv dans un syle de thriller remarquable avec une intrigue des plus captivantes
qui pourrait d’ailleurs même intéresser mon ami « Mickael Douglas »
en reprécisant bien sûr le rôle (à sa mesure) c’est d’ailleurs un acteur très « peace &
love » dans la vie de tous les jours... j’ai commenté cette œuvre par une
véritable réflexion « psychologique » aussi sur les bienfaits (& plaisirs)
d’un bon Thriller comme « The Game » par exemple, un genre qui
demande une grande finesse avec une construction dramatique
« parfaite »... c’est aussi en ce cas des rôles à 40 ou 60 millions
de dollars pour Mickael par exemple...
(Hi Mickael ?)
MICKAEL (as a magic man)
Hi Pupee… it’s the game !
C’est ensuite « Sylvester » qui est venu
plaisanter en prenant un Thé
(il lui ai dit...)
... Et toi « Sylvester » j’adore quand
tu joues des rôles suspendu au bout d’une corde à 300 mètres du vide en
traversant une falaise (« Je fais c’que je peux Mimi
Lion’s ») ... alors que
d’autres te tirent dessus depuis un hélico, que la corde casse et que tu
manques de te fracasser contre la paroie rocheuse pendant que la jolie chérie
que tu veux sauver est en train d’attendre (suspendue
à la branche d’un arbre) qui menace de
casser tandis qu’une meute de loups enragés lui tourne autour !
SYLVESTER
(as an
Angel working so hard)
... c’est rien Baby... i’m coming !
(c’est là qu’on voit
« l’homme ! »)
...
absolument chérie... mais il y a aussi des infirmières sur le tournage, de
toute façon c’est pas mon problème, je lui dis à chaque fois
« C’est TON job
Sylvester ! »
... en
général il se débrouille bien, sinon d’ailleurs il ne serait plus là
aujourd’hui mais il lui arrive parfois d’aller voir quand même l’infirmière
pour lui montrer son biceps avec 2 égratignures
SYLVESTER (as an Angel after working so hard)
... j’ai mal là
LA JOLIE
INFIRMIERE (si jolie après diagnostic)
... mais il y a rien !
SYLVESTER (as an Angel who can’t
lie)
... si, c’est un bleu... au dessous
Comme on rigolait bien c’est ensuite « Arnold » qui a
débarqué, il passait justement en Jet au-dessus de notre villa...
ARNOLD (Avec
un gros paquet de dragées)
... J‘ai vu qu’il y avait de la lumière !
(& des Gonzesses au bord de la piscine)
... on a donc préparé un nouveau film !
Pupee
(la jolie)
Déjà
l’idée d’une poursuite en voiture tout d’abord avec « Arnold » en
train de poursuivre un fuyard qui s’enfui au volant d’une grosse voiture, il
lui tire dessus, la vitre arrière explose (« faut pas oublier les rétros
aussi »), bonne idée « Sylver », une poursuite un peu acharnée
donc (il devait lui en vouloir) « Arnold » cartonne aussi les pare-chocs (« avec
des balles qui explosent ») pour faire des trous dans la carrosserie,
le fuyard heurte une voiture (« qui fait quelques tonneaux »)
... ça c’est pour les jeunes cascadeurs « juste quelques tonneaux »...
pour le budget on a d’ailleurs la productrice avec nous (« qui tient la
calculette ! ») la poursuite devient endiablée, le chauffard
se met à tirer à son tour en se retournant
par la vitre (tout en
conduisant d’une main) il accélère de
plus belle, prêt à tout pour échapper à « Arnold » qui ne le lâche
pas d’une seconde quand soudain surgit une moto à toute vitesse qui percute le
fuyard (« là il faut un cascadeur plus expérimenté ») sûr
« Sylver » le motard fait un bond de 20 mètres dans les airs (« avec
la moto aussi ») (ça ferait plus
« d’effet ») sur la freeway c’est alors l’affolement
« Arnold » est obligé de conduire en zig zag pour éviter les
véhicules (comme sur une piste de danse !) un véritable slalom chérie
ARNOLD (as a charming Prince)
... il commence à m’énerver celui-là !
(« This bastard
begin to make me nervous ! »)
… il accélère
davantage alors que le fuyard en a profité pour prendre de l’avance mais voilà
que le fuyard sort brutalement de la freeway (« tout en dérapage »)
dans une courbe pour rejoindre une route perpendiculaire qui passe au-dessous
de la freeway où « Arnold » l’aperçoit soudain juste à temps, ce qui
le fait enrager
ARNOLD (faisant une
mimique consternée)
Bastard ! Just
a minute !
(« Bastard ! Attend voir une minute ! »)
.... il
accélère alors à fond, prends de la vitesse puis heurte la rambarde de sécurité
qu’il pulvérise en éclats, sa voiture fait un vol plané de 50 mètres (« avec
le moteur qui rugit à fond »)
ARNOLD (n’étant pas
vraiment sûr du résultat)
Rhaaaa !
... pour
retomber en rebondissant sur la route transversale (comme
sur des coussins d’airs) avec des
crissements des pneus sur le point d’éclater, il donne quelques coups
d’accélérateur (« pour décrasser le carburateur ») puis mets la
gomme à fond tout en rechargeant son revolver (« de gros calibre »)
la route est plus dégagée, il rattrape rapidement le fuyard qui roule toujours
à pleine vitesse puis recommence à le cartonner par la vitre ouverte (« une vraie grêle de grêlons »)
lorsque soudain le coffre arrière de la voiture s’ouvre et valse dans les airs
« Arnold » voit alors apparaitre du coffre la tête étonnée (d’une jolie chérie) qu’il reconnait soudain avec stupéfaction, elle est
bâillonnée (les mains ligotées) aussi surprise que lui de le voir ici, elle essaye alors de
lui parler avec les yeux sans que l’on puisse comprendre vraiment ce qu’elle
dit (elle a peut-être envie de faire
pipi ?) « Arnold »
stupéfait se ressaisi
ARNOLD (qui en a
presque les larmes aux yeux)
Bastard of the
bastards !
...
il regarde son revolver en se disant qu’il a eu bien de la chance, le range
sous sa chemise
SYLVESTER (qui ne veut pas
dépasser le budget)
C’est toujours bon pour la calculette ?
LA PRODUCTRICE (qui se régale
en même temps)
Ça tourne, ça tourne !
...
« Arnold » se dit alors (au fond de lui) qu’il trouvera bien l’occasion de griller encore quelques
cartouches, il accélère à fond pour se rapprocher à hauteur du coffre arrière
de la voiture du fuyard et dit à la gonzesse...
ARNOLD (gentiment & consterné, presque les larmes aux yeux)
Qu’est-ce tu fous là toi ! Je te cherchais partout
!
(« What are you
doing there Pupee ! I was looking for you everywhere ! »)
La jolie Pupee (lui fait ses grands yeux d’amour) un peu apeurés mais si heureuse de le voir enfin
LA
JOLIE PUPEE (bâillonnée les yeux palpitants)
Hummmm mummummm !
ARNOLD (gentiment &
consterné mais de bonne inspiration)
Dont’ worry Pupe !... j’arrange ça tout
de suite !
(« T’inquiètes pas
Pupee ! I have the solution »)
... un
coup de feu résonne, tiré par le conducteur fuyard, « Arnold » baisse
la tête et donne brusquement un grand coup de frein pour se placer de l’autre
côté de la voiture du fuyard qui essaye de le canarder « Arnold »
fait rugir le moteur (« il
ressort discrètement son revolver de sous sa chemise »)
arrive à hauteur du fuyard et tire aussitôt (« une bonne série de balles »)
pour faire sauter les vitres de sa voiture côté passager
ARNOLD (consterné, qui
a trouvé la solution)
Hey Monkey !
... il
s’élance soudain à travers sa voiture qui n’a plus de vitre, attrape le
chauffard par la tête (« sa voiture fait une
embardée ») il en profite pour le tirer par la tête hors de sa
voiture malgré ses résistances (« et il le jette sur la route »)
sa voiture qui roule toujours à grande vitesse commence à s’éloigner de l’autre
voiture (qui n’a plus de chauffeur) la jolie Pupee bâillonnée lui lance des regards affolés,
« Arnold » donne rapidement un
petit coup de pied sur le volant pour se rapprocher de l’autre voiture alors
que la jolie Pupee le regarde toujours (« avec une certaine angoisse il est
vrai ») mais soudain « Arnold » fait un bond in extremis
dans l’autre voiture qui fait une embardée brutale, il reprends tant bien que
mal le volant, essayant ensuite en vain de ralentir la voiture emballée, il
retourne alors quand il entend sa jolie Pupee
LA
JOLIE PUPEE (bâillonnée les yeux impatients)
Hum mummum mum !
ARNOLD (un peu confus
mais presque sûr de trouver encore une solution)
Je suis là Pupee... mais y a plus de freins,
don’t worry !
Il n’a pas le temps
de se questionner qu’il aperçoit soudain juste en face de lui un barrage du Sheriff
avec 9 voitures de Police qui bloquent toute la route (« alors qu’il roule à
fond ») près d’une vingtaine d’hommes (« avec aussi des
fusils ») « Arnold » un peu affolé sort sa tête par la
portière en faisant des grands signes de
la main tout en donnant des grands coups de klaxons
ARNOLD (Espérant que
s’ouvre la voie)
Dégagez ! Dégagez !
LA JOLIE PUPEE (bâillonnée,
priant pour lui)
Hummumum mumm !
ARNOLD (Espérant que
s’ouvre la voie in extremis)
Vous voulez
peut-être que je vous envoie un email !
... mais au lieu
de s’écarter les hommes du Sheriff se mettent en joue, prêts à tirer
« Arnold » se rapproche à toute vitesse (« un vrai hors bord »)
juste au dernier moment les hommes aperçoivent (la
jolie Pupee) ils bondissent alors de
côté aussi surpris que consternés, « Arnold » lancé à pleine vitesse
ne peut plus rien faire d’autre que de heurter les voitures (« qui valsent à la
ronde ») sa voiture traverse le barrage puis fait encore un
tête-à-queue (« comme une toupie ») avant de se renverser sur le
flanc puis s’immobilise sur la chaussée alors que les Sheriffs (plutôt médusés)
se demandent ce qui vient d’arriver...on entend des grands coups dans la
voiture, la portière avant saute « Arnold » se hisse pour sortir, il
saute sur la route, se dirige lentement vers l’arrière où la jolie Pupee
toujours bâillonnée est assise contre le coffre, elle le regarde avec des yeux
pas contente
LA
JOLIE PUPEE (bâillonnée, les yeux capricieuse)
Hum mum mum mumummm !
ARNOLD (gentiment & consterné, en tout naturel)
J’ai fait ce que j’ai pû Pupee !
(« i done my best
Pupee ! »)
... mais
voilà que les Sheriffs toujours consternés
se rapprochent un peu hésitants
LE SHERIFF
(Avec prudence, cherchant à comprendre ce
qu’il se passe)
Please Don’t move
« Arnold » se retourne, l’air de ne rien y comprendre
LE
SHERIFF (Avec prudence mais détermination)
Hands- up Sir
« Arnold » s’avance pour s’expliquer mais on entend une
vingtaine de clics de revolvers qui s’arment prêts à tirer
LA JOLIE PUPEE (bâillonnée, qui
roule des grands yeux d’amour)
Hum mummum mummmum !
ARNOLD (charming, tel un innocent de toute évidence)
It’s no me !
(hooop’s !)
SYLVESTER (funny, un peu
moqueur)
On se demande vraiment s’ils vont
le croire que c’est pas lui !
MILMI LION’S (qui doit préciser le budget avec la productrice)
... c’est son Job !
(la suite bientôt dans toutes les salles de
cinéma !)
(uniquement les bonnes salles !)
SYLVESTER (funny, un peu
moqueur)
... c’est peut-être le début ou la fin du
film !
© AS & D Movie (avec Pupee)
FBI – EUROPOL
Encore bien des étranges
coïncidences avec des situations inacceptables que certains « pouvoirs » me
font endurer à Rennes, encore des caricatures ou « antithèse » de ce que
j’écris qui mettent ma vie en jeu à grands renfort de cruauté, moqueries,
provocations...
© Emmanuel DIGNAT
2015 (avec
Pupee & ses jolies Chéries… « elles sont Géniales ! »)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire